«Ce salon s’adresse à quiconque veut trouver de l’information, des ressources et partager ce qui se passe dans sa vie, que ce soit la dépression, toxicomanie, l’alcoolisme, l’anxiété ou autre maladie, confie François Massicotte, porte-parole officiel de cette première édition. Au Québec, une personne sur cinq va éprouver un trouble de la santé mentale au cours de son existence.»
Depuis 15 ans, l’humoriste est l’un des premiers à parler publiquement de ses problèmes de bipolarité.
«Je vais présenter ma conférence et raconter comment j’ai d’abord vécu avec un père bipolaire, car ce salon concerne aussi les proches des gens ayant un trouble de santé mentale, d’ajouter François Massicotte. On accepte ça, on veut en parler et on affronte les préjugés qui subsistent malgré tout le chemin parcouru.»
Duo féminin
Deux jeunes femmes, Marie-Ève Nadon et Émélie Hébert-Poulin, sont à l’origine du salon qui accueillera exposants, conférenciers et visiteurs entre 9h et 18h, au 2440, autoroute des Laurentides.
«Étant depuis l’enfance toutes les deux émétophobes (phobie de vomir) et vivant également avec un trouble de l’anxiété généralisé, la maladie mentale a eu un impact destructeur sur nos vies, de raconter Mmes Nadon et Hébert-Poulin. Armées de force, courage et persévérance, nous avons trouvé la voie de la guérison. Nous avons appris à vivre avec la maladie mentale et ne la laissons plus guider notre vie.»
Cette initiative est venue de leur désir de secourir les gens comme elles et faire en sorte que plus personne n’ait à se battre pour trouver le mieux-être. Le salon aura donc pour but de faire connaître les vrais visages de la santé mentale, d’en briser les tabous et d’outiller les gens pour mieux vivre avec un trouble de santé mentale, en plus de sensibiliser les visiteurs, dont les professionnels de la santé, à la stigmatisation vécue par les patients dans le système québécois.
«Apprendre, comprendre, trouver des ressources peu importe le type de maladie dont on souffre, ce salon va aider énormément de gens, j’en suis persuadé», de conclure François Massicotte.
Information sur le premier salon VDSM pour la santé mentale: salon@visagesdelasantementale.com.
«Ce salon s’adresse à quiconque veut trouver de l’information, des ressources et partager ce qui se passe dans sa vie, que ce soit la dépression, toxicomanie, l’alcoolisme, l’anxiété ou autre maladie, confie François Massicotte, porte-parole officiel de cette première édition. Au Québec, une personne sur cinq va éprouver un trouble de la santé mentale au cours de son existence.»
Depuis 15 ans, l’humoriste est l’un des premiers à parler publiquement de ses problèmes de bipolarité.
«Je vais présenter ma conférence et raconter comment j’ai d’abord vécu avec un père bipolaire, car ce salon concerne aussi les proches des gens ayant un trouble de santé mentale, d’ajouter François Massicotte. On accepte ça, on veut en parler et on affronte les préjugés qui subsistent malgré tout le chemin parcouru.»
Duo féminin
Deux jeunes femmes, Marie-Ève Nadon et Émélie Hébert-Poulin, sont à l’origine du salon qui accueillera exposants, conférenciers et visiteurs entre 9h et 18h, au 2440, autoroute des Laurentides.
«Étant depuis l’enfance toutes les deux émétophobes (phobie de vomir) et vivant également avec un trouble de l’anxiété généralisé, la maladie mentale a eu un impact destructeur sur nos vies, de raconter Mmes Nadon et Hébert-Poulin. Armées de force, courage et persévérance, nous avons trouvé la voie de la guérison. Nous avons appris à vivre avec la maladie mentale et ne la laissons plus guider notre vie.»
Cette initiative est venue de leur désir de secourir les gens comme elles et faire en sorte que plus personne n’ait à se battre pour trouver le mieux-être. Le salon aura donc pour but de faire connaître les vrais visages de la santé mentale, d’en briser les tabous et d’outiller les gens pour mieux vivre avec un trouble de santé mentale, en plus de sensibiliser les visiteurs, dont les professionnels de la santé, à la stigmatisation vécue par les patients dans le système québécois.
«Apprendre, comprendre, trouver des ressources peu importe le type de maladie dont on souffre, ce salon va aider énormément de gens, j’en suis persuadé», de conclure François Massicotte.
Information sur le premier salon VDSM pour la santé mentale: salon@visagesdelasantementale.com.