«Ce sont des accusations extrêmement sérieuses, l’a prévenu le juge avant de renvoyer le prévenu au pénitencier de Saint-Jérôme. Je vous recommande fortement de faire appel à un avocat.»
La Couronne a aussi fait savoir qu’elle s’opposait à la remise en liberté de l’homme dans les circonstances.
À cette étape-ci de l’enquête, cet individu fait face à des accusations de bris de condition lui interdisant notamment d’avoir des contacts avec une personne âgée de moins de 16 ans, à moins de le faire sous supervision, sinon de se trouver dans un parc public, près d’une école, garderie, un terrain de jeu, ainsi qu’une zone publique où l’on peut se baigner; sans compter l’interdiction d’utiliser Internet ou tout autre réseau numérique, à moins de le faire en conformité avec les conditions lui ayant été imposées par le tribunal.
Arrêté le 3 mai, le suspect serait déjà inscrit au registre national des délinquants sexuels pour des événements remontant à 2013, sur la Rive-Sud de Montréal. Les actions qui lui sont aujourd’hui reprochées se seraient déroulées dans Chomedey, entre décembre 2016 et le 2 mai dernier, parfois en présence d’une fillette de 18 mois ou d’un garçon de 9 ans.
«C’est un soulagement de le voir rester en dedans, de confier le père du petit garçon et oncle de la fillette. J’espère que la justice va garder les yeux ouverts et prendre très au sérieux ces accusations, comme l’a dit le juge.»
Le Directeur de la protection de la jeunesse et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels de Laval ont été approchés pour soutenir la famille dans cette histoire.
«Ce sont des accusations extrêmement sérieuses, l’a prévenu le juge avant de renvoyer le prévenu au pénitencier de Saint-Jérôme. Je vous recommande fortement de faire appel à un avocat.»
La Couronne a aussi fait savoir qu’elle s’opposait à la remise en liberté de l’homme dans les circonstances.
À cette étape-ci de l’enquête, cet individu fait face à des accusations de bris de condition lui interdisant notamment d’avoir des contacts avec une personne âgée de moins de 16 ans, à moins de le faire sous supervision, sinon de se trouver dans un parc public, près d’une école, garderie, un terrain de jeu, ainsi qu’une zone publique où l’on peut se baigner; sans compter l’interdiction d’utiliser Internet ou tout autre réseau numérique, à moins de le faire en conformité avec les conditions lui ayant été imposées par le tribunal.
Arrêté le 3 mai, le suspect serait déjà inscrit au registre national des délinquants sexuels pour des événements remontant à 2013, sur la Rive-Sud de Montréal. Les actions qui lui sont aujourd’hui reprochées se seraient déroulées dans Chomedey, entre décembre 2016 et le 2 mai dernier, parfois en présence d’une fillette de 18 mois ou d’un garçon de 9 ans.
«C’est un soulagement de le voir rester en dedans, de confier le père du petit garçon et oncle de la fillette. J’espère que la justice va garder les yeux ouverts et prendre très au sérieux ces accusations, comme l’a dit le juge.»
Le Directeur de la protection de la jeunesse et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels de Laval ont été approchés pour soutenir la famille dans cette histoire.