Au cours de la semaine du 15 mai, l’élu âgé de 30 ans a participé à pas moins d’une vingtaine de rencontres personnalisées de haut niveau avec des acteurs clés de l’Hexagone liés à ses champs d’intérêt, à savoir la gouvernance, l’aménagement du territoire, l’environnement, le logement social et le développement économique.
«J’en ai tiré des enseignements concrets et un enrichissement personnel me permettant de mieux comprendre la France, a commenté M. Boyer en partageant son expérience au Courrier Laval. Ça m’a donné une autre perspective sur plusieurs enjeux.»
Trié sur le volet
Cette semaine de rêve s’inscrivait dans le cadre du Programme d’invitation des personnalités d’avenir, visant à apporter à des personnalités étrangères de tout horizon une connaissance approfondie de la France et de ses institutions.
Stéphane Boyer était du club sélect des quelque 50 leaders mondiaux de demain identifiés par le réseau diplomatique français.
La surprise fut totale lorsque le Consulat général de France, à Montréal, l’en a informé par courriel au retour de la période des fêtes, lui qui n’avait aucune idée de l’existence d’un tel programme.
Enjeux
Au fil de ses rencontres en terre parisienne, Stéphane Boyer a découvert, entre autres, des approches différentes dans la façon de mener des consultations publiques, gérer de grands projets d’infrastructure en transport collectif et développer des accélérateurs de startup en étroite collaboration avec des sociétés étrangères.
«On est en train d’implanter des incubateurs d’entreprises», rappelle celui qui a été particulièrement séduit par la façon de faire des cousins français qui les accueillent pendant un mois en tissant des séances de maillage avec les partenaires du milieu.
«Je trouve ça intelligent et c’est quelque chose qui pourrait être applicable [à Laval] pour le développement entrepreneurial. Ça ne coûte pas cher à mettre en place, mais c’est un programme qui fait toute la différence.»
Bien en vue
S’il a été identifié «personnalité d’avenir au Canada» par la diplomatie française c’est notamment en raison de ses multiples implications dans les sphères politiques, sociales et économiques.
Personnalité de la relève municipale québécoise en 2016, Stéphane Boyer préside aux destinées de la Commission de l’environnement de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
À ce titre, il a dirigé les consultations sur l’oléoduc TransCanada et s’est fait valoir au colloque «Villes et changements climatiques» qu’avait tenu, en 2015, l’École nationale d’administration publique (ÉNAP) en marge de la Conférence de Paris.
Sa conférence devant l’Ordre des urbanistes du Québec portant sur la démarche lavalloise de consultations publiques, en décembre dernier, et l’application mobile qu’il a développée afin de connaître le temps d’attente dans les urgences auraient également motivé le choix du ministère des Affaires étrangères.
Au cours de la semaine du 15 mai, l’élu âgé de 30 ans a participé à pas moins d’une vingtaine de rencontres personnalisées de haut niveau avec des acteurs clés de l’Hexagone liés à ses champs d’intérêt, à savoir la gouvernance, l’aménagement du territoire, l’environnement, le logement social et le développement économique.
«J’en ai tiré des enseignements concrets et un enrichissement personnel me permettant de mieux comprendre la France, a commenté M. Boyer en partageant son expérience au Courrier Laval. Ça m’a donné une autre perspective sur plusieurs enjeux.»
Trié sur le volet
Cette semaine de rêve s’inscrivait dans le cadre du Programme d’invitation des personnalités d’avenir, visant à apporter à des personnalités étrangères de tout horizon une connaissance approfondie de la France et de ses institutions.
Stéphane Boyer était du club sélect des quelque 50 leaders mondiaux de demain identifiés par le réseau diplomatique français.
La surprise fut totale lorsque le Consulat général de France, à Montréal, l’en a informé par courriel au retour de la période des fêtes, lui qui n’avait aucune idée de l’existence d’un tel programme.
Enjeux
Au fil de ses rencontres en terre parisienne, Stéphane Boyer a découvert, entre autres, des approches différentes dans la façon de mener des consultations publiques, gérer de grands projets d’infrastructure en transport collectif et développer des accélérateurs de startup en étroite collaboration avec des sociétés étrangères.
«On est en train d’implanter des incubateurs d’entreprises», rappelle celui qui a été particulièrement séduit par la façon de faire des cousins français qui les accueillent pendant un mois en tissant des séances de maillage avec les partenaires du milieu.
«Je trouve ça intelligent et c’est quelque chose qui pourrait être applicable [à Laval] pour le développement entrepreneurial. Ça ne coûte pas cher à mettre en place, mais c’est un programme qui fait toute la différence.»
Bien en vue
S’il a été identifié «personnalité d’avenir au Canada» par la diplomatie française c’est notamment en raison de ses multiples implications dans les sphères politiques, sociales et économiques.
Personnalité de la relève municipale québécoise en 2016, Stéphane Boyer préside aux destinées de la Commission de l’environnement de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
À ce titre, il a dirigé les consultations sur l’oléoduc TransCanada et s’est fait valoir au colloque «Villes et changements climatiques» qu’avait tenu, en 2015, l’École nationale d’administration publique (ÉNAP) en marge de la Conférence de Paris.
Sa conférence devant l’Ordre des urbanistes du Québec portant sur la démarche lavalloise de consultations publiques, en décembre dernier, et l’application mobile qu’il a développée afin de connaître le temps d’attente dans les urgences auraient également motivé le choix du ministère des Affaires étrangères.