L’élue provinciale était de passage chez Précision J.L.M. une compagnie de pièces de précision pour les secteurs de l’aérospatiale et avionique ainsi que les systèmes satellitaires. Les autres projets choisis proviennent de Félix Homme (boutiques de vêtements) et Airpura Industries (épurateurs d’air).
Ces trois entreprises bénéficieront des services d’accompagnement d’une équipe d’accélération de projets chapeautée par un conseiller en développement économique du ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation. «Ils auront également un accès simplifié au capital financier requis afin de réaliser leur projet», a mentionné la ministre Thériault lors du point de presse, rappelant du même coup le fonds de 50 M$ créé par cinq partenaires dans le cadre de la stratégie performe.
Chez Précision J.L.M. l’adoption du virage numérique menant à une usine sans papier a retenu l’attention parmi les projets proposés. «On veut mettre en place un système de gestion manufacturière afin que les employés aient accès à toute l’information en ligne, explique Mariana Miglioli, vice-présidente et directrice générale de Précision JLM, dont le père Julio fut le fondateur en 1989. Nous développerons une interface pour les employés sur le plancher et elle servira à communiquer les normes des clients ainsi qu’à éliminer tout ce papier en trop qui provoque parfois des entrées en double, de la perte de productivité ou de l’information qui n’est pas en temps réel.»
L’entreprise de la rue le Chatelier, qui emploie 42 personnes, prévoit débuter son virage à l’automne. «On se donne six mois pour l’intégration parce qu’il y aura notamment beaucoup de formation à faire avec les employés. Éventuellement, il y aura de la création d’emplois parce qu’actuellement, dans la façon de fonctionner avec le papier, nous faisons beaucoup de suivi et on ne maximise pas notre capacité. Le souhait est d’offrir encore plus de capacité à nos clients, pouvoir acheter plus de machinerie et avoir plus de main-d’oeuvre», ajoute Mme Miglioli, qui évalue l’investissement du projet entre 200 000 et 250 000 $.
Exportation
Chez Félix Homme (Vincent d’Amérique), on projette d’exporter les collections de vêtements aux États-Unis dès l’an prochain. «Nous avons une exclusivité de produits et ça va bien, alors on a décidé d’en faire profiter d’autres marchés, souligne Michel Grondine, vice-président et directeur général. Nous avons commencé par le Canada pour la saison printemps-été 2017 et nous nous attaquerons ensuite au marché américain, tout d’abord dans le Midwest.»
Pour le moment, aucune ouverture de boutique n’est prévue chez nos voisins du sud. «Le risque est moins élevé en vendant nos collections à d’autres détaillants. Pour ce qui est de l’investissement, il est difficile à chiffrer puisque nous avons déjà une structure en place. La seule chose à faire sera de trouver des représentants», indique M. Grondine.
La compagnie Félix Homme existe depuis 1980. La première boutique s’est installée au centre-ville de Montréal et une deuxième a vu le jour au Carrefour Laval en 1983.
En 2004, Mario Lamanque, président-fondateur, a acheté Vincent d’Amérique et fusionné les deux bannières. Aujourd’hui, le nom Vincent d’Amérique orne la devanture de 21 boutiques et 2 portent le nom de Félix Homme.
La troisième entreprise lavalloise sélectionnée est Airpura Industries, située sur le boulevard des Rossignols. Elle fabrique des purificateurs d’air et des systèmes de filtration d’air de haute gamme.
L’élue provinciale était de passage chez Précision J.L.M. une compagnie de pièces de précision pour les secteurs de l’aérospatiale et avionique ainsi que les systèmes satellitaires. Les autres projets choisis proviennent de Félix Homme (boutiques de vêtements) et Airpura Industries (épurateurs d’air).
Ces trois entreprises bénéficieront des services d’accompagnement d’une équipe d’accélération de projets chapeautée par un conseiller en développement économique du ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation. «Ils auront également un accès simplifié au capital financier requis afin de réaliser leur projet», a mentionné la ministre Thériault lors du point de presse, rappelant du même coup le fonds de 50 M$ créé par cinq partenaires dans le cadre de la stratégie performe.
Chez Précision J.L.M. l’adoption du virage numérique menant à une usine sans papier a retenu l’attention parmi les projets proposés. «On veut mettre en place un système de gestion manufacturière afin que les employés aient accès à toute l’information en ligne, explique Mariana Miglioli, vice-présidente et directrice générale de Précision JLM, dont le père Julio fut le fondateur en 1989. Nous développerons une interface pour les employés sur le plancher et elle servira à communiquer les normes des clients ainsi qu’à éliminer tout ce papier en trop qui provoque parfois des entrées en double, de la perte de productivité ou de l’information qui n’est pas en temps réel.»
L’entreprise de la rue le Chatelier, qui emploie 42 personnes, prévoit débuter son virage à l’automne. «On se donne six mois pour l’intégration parce qu’il y aura notamment beaucoup de formation à faire avec les employés. Éventuellement, il y aura de la création d’emplois parce qu’actuellement, dans la façon de fonctionner avec le papier, nous faisons beaucoup de suivi et on ne maximise pas notre capacité. Le souhait est d’offrir encore plus de capacité à nos clients, pouvoir acheter plus de machinerie et avoir plus de main-d’oeuvre», ajoute Mme Miglioli, qui évalue l’investissement du projet entre 200 000 et 250 000 $.
Exportation
Chez Félix Homme (Vincent d’Amérique), on projette d’exporter les collections de vêtements aux États-Unis dès l’an prochain. «Nous avons une exclusivité de produits et ça va bien, alors on a décidé d’en faire profiter d’autres marchés, souligne Michel Grondine, vice-président et directeur général. Nous avons commencé par le Canada pour la saison printemps-été 2017 et nous nous attaquerons ensuite au marché américain, tout d’abord dans le Midwest.»
Pour le moment, aucune ouverture de boutique n’est prévue chez nos voisins du sud. «Le risque est moins élevé en vendant nos collections à d’autres détaillants. Pour ce qui est de l’investissement, il est difficile à chiffrer puisque nous avons déjà une structure en place. La seule chose à faire sera de trouver des représentants», indique M. Grondine.
La compagnie Félix Homme existe depuis 1980. La première boutique s’est installée au centre-ville de Montréal et une deuxième a vu le jour au Carrefour Laval en 1983.
En 2004, Mario Lamanque, président-fondateur, a acheté Vincent d’Amérique et fusionné les deux bannières. Aujourd’hui, le nom Vincent d’Amérique orne la devanture de 21 boutiques et 2 portent le nom de Félix Homme.
La troisième entreprise lavalloise sélectionnée est Airpura Industries, située sur le boulevard des Rossignols. Elle fabrique des purificateurs d’air et des systèmes de filtration d’air de haute gamme.