Dans un premier temps, Textil’Art, qui créé et fabrique des produits textiles éthiques sous le nom de Falako, a procédé le 30 octobre à l’ouverture officielle de sa nouvelle friperie, aménagée dans un espace de 4000 pieds carrés au 2601, boulevard Le Corbusier.
«Pour le moment, nous avons en grande partie des vêtements pour femmes et enfants, explique la directrice Jocelyne Arbic, qui vise toutefois développer le département pour hommes dans un avenir rapproché. Nous avons aussi quelques articles, comme des sacs, des fleurs réalisées avec du tissu recyclé et pour le temps des fêtes, nous avions fait des bas de Noël.»
Pour remplir la friperie, Textil’Art comptera sur l’appui de ses clients et d’organismes, alors que des boîtes seront installées dans divers endroits pour la cueillette. Les dons de la population sont aussi la bienvenue.
«Les vêtements qui ne pourront être vendus ou exportés seront transformés en chiffons à usage industriel», mentionne la directrice.
Autres volets
Outre le soutien à la friperie, l’argent versé par la Ville servira à l’achat de machines à coudre industrielles supplémentaires. «Il y a de plus en plus de demandes de sous-traitance», indique Mme Arbic.
Également, dès le début de 2018, possiblement en février, des cours de couture domestique seront offerts afin d’apprendre à faire un sac et réparer ses vêtements.
Finalement, une partie de la subvention sera utilisée pour un nouveau site Internet.
Depuis les débuts de Textil’Art il y a près de 20 ans, autrefois connue sous le vocable du Centre Régional de Récupération et de Recyclage Laval, plus de 1200 personnes ont pu intégrer le marché du travail et l’expansion permettra d’augmenter le nombre d’employés et de participants, fait valoir Jocelyne Arbic.
Dans un premier temps, Textil’Art, qui créé et fabrique des produits textiles éthiques sous le nom de Falako, a procédé le 30 octobre à l’ouverture officielle de sa nouvelle friperie, aménagée dans un espace de 4000 pieds carrés au 2601, boulevard Le Corbusier.
«Pour le moment, nous avons en grande partie des vêtements pour femmes et enfants, explique la directrice Jocelyne Arbic, qui vise toutefois développer le département pour hommes dans un avenir rapproché. Nous avons aussi quelques articles, comme des sacs, des fleurs réalisées avec du tissu recyclé et pour le temps des fêtes, nous avions fait des bas de Noël.»
Pour remplir la friperie, Textil’Art comptera sur l’appui de ses clients et d’organismes, alors que des boîtes seront installées dans divers endroits pour la cueillette. Les dons de la population sont aussi la bienvenue.
«Les vêtements qui ne pourront être vendus ou exportés seront transformés en chiffons à usage industriel», mentionne la directrice.
Autres volets
Outre le soutien à la friperie, l’argent versé par la Ville servira à l’achat de machines à coudre industrielles supplémentaires. «Il y a de plus en plus de demandes de sous-traitance», indique Mme Arbic.
Également, dès le début de 2018, possiblement en février, des cours de couture domestique seront offerts afin d’apprendre à faire un sac et réparer ses vêtements.
Finalement, une partie de la subvention sera utilisée pour un nouveau site Internet.
Depuis les débuts de Textil’Art il y a près de 20 ans, autrefois connue sous le vocable du Centre Régional de Récupération et de Recyclage Laval, plus de 1200 personnes ont pu intégrer le marché du travail et l’expansion permettra d’augmenter le nombre d’employés et de participants, fait valoir Jocelyne Arbic.