Dans un communiqué publié le 7 avril dernier, titré «La Ville soutient le projet de logements communautaires des Habitations L’Envolée», on apprend ce que l’on savait déjà, à la différence qu’on ne parle plus d’une emphytéose d’une durée de 100, mais bien de 50 ans.
Ce bail cédé pour la symbolique somme d’un dollar concerne une partie d’un terrain situé en bordure de la rue L’Allier, près du boulevard Je-me-souviens, dont la superficie est de 4800 mètres carrés, à Sainte-Rose.
L’entente a pour but de permettre la réalisation d’un projet d’habitation communautaire de 30 logements destiné à des jeunes de 18 à 25 aux prises avec des problèmes d’instabilité.
Prise 2
À l’hiver 2015, la présidente des Habitations L’Envolée, Elena Sauvageau, s’était réjouie de cette annonce, elle qui déclarait à l’époque qu’elle pouvait «maintenant procéder à la réservation des unités de logement» auprès de la Société d’habitation du Québec (SHQ).
Mais comme les résolutions municipales n’ont jamais suivi, le projet est demeuré en dormance tout ce temps.
En date du 11 avril dernier, Mme Sauvageau était toujours sans nouvelle de la municipalité.
À la Ville, c’est silence radio depuis une semaine.
Impossible de savoir à quel moment les résolutions seront adoptées afin que Les Habitations L’Envolée puisse enfin réserver ces 30 logements communautaires à la SHQ.
Quant à la question à savoir pourquoi avoir réduit de moitié la durée du bail emphytéotique, elle est aussi restée sans réponse.
Communiqué
Pour en revenir au communiqué officiel, le maire Marc Demers a déclaré: «Comme nous avons peu de ressources de ce genre dédiées aux jeunes de 18 à 25 ans sur le territoire, nous sommes très heureux de contribuer à ce superbe projet d’habitations communautaires, qui s’avère hautement pertinent.»
Outre l’emphytéose, la Ville assurera une participation financière correspondant à 15 % de la valeur des coûts admissibles de construction du projet, tel que prévu dans le cadre du programme AccèsLogis Québec.
Cette contribution sera remboursée par le Fonds du logement social de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). Les 30 unités de logement prévues seront également assujetties au Programme de supplément de loyer, pour lequel la participation de la Ville est requise à la hauteur de 10 % des coûts des suppléments.
Auberge du coeur
En plus de présider aux destinées de l’organisme d’habitation, Elena Sauvageau est directrice générale de l’Auberge du cœur L’Envolée, le promoteur derrière ce projet depuis 2011.
L’Auberge, faut-il le rappeler, est une ressource pouvant accueillir 16 jeunes âgés de 16 à 20 ans pour une période n’excédant pas 12 mois.
Aux prises avec des problèmes de santé mentale, d’isolement social et/ou de dépendance, ces jeunes sont soutenus et accompagnés dans leur quête vers l’autonomie.
Les Habitations L’Envolée, qui s’installera sur le terrain jouxtant l’Auberge du cœur, située rue des Patriotes, à Sainte-Rose, pourra ainsi prendre la relève une fois que les jeunes auront complété leur passage à l’Auberge.
Dans un communiqué publié le 7 avril dernier, titré «La Ville soutient le projet de logements communautaires des Habitations L’Envolée», on apprend ce que l’on savait déjà, à la différence qu’on ne parle plus d’une emphytéose d’une durée de 100, mais bien de 50 ans.
Ce bail cédé pour la symbolique somme d’un dollar concerne une partie d’un terrain situé en bordure de la rue L’Allier, près du boulevard Je-me-souviens, dont la superficie est de 4800 mètres carrés, à Sainte-Rose.
L’entente a pour but de permettre la réalisation d’un projet d’habitation communautaire de 30 logements destiné à des jeunes de 18 à 25 aux prises avec des problèmes d’instabilité.
Prise 2
À l’hiver 2015, la présidente des Habitations L’Envolée, Elena Sauvageau, s’était réjouie de cette annonce, elle qui déclarait à l’époque qu’elle pouvait «maintenant procéder à la réservation des unités de logement» auprès de la Société d’habitation du Québec (SHQ).
Mais comme les résolutions municipales n’ont jamais suivi, le projet est demeuré en dormance tout ce temps.
En date du 11 avril dernier, Mme Sauvageau était toujours sans nouvelle de la municipalité.
À la Ville, c’est silence radio depuis une semaine.
Impossible de savoir à quel moment les résolutions seront adoptées afin que Les Habitations L’Envolée puisse enfin réserver ces 30 logements communautaires à la SHQ.
Quant à la question à savoir pourquoi avoir réduit de moitié la durée du bail emphytéotique, elle est aussi restée sans réponse.
Communiqué
Pour en revenir au communiqué officiel, le maire Marc Demers a déclaré: «Comme nous avons peu de ressources de ce genre dédiées aux jeunes de 18 à 25 ans sur le territoire, nous sommes très heureux de contribuer à ce superbe projet d’habitations communautaires, qui s’avère hautement pertinent.»
Outre l’emphytéose, la Ville assurera une participation financière correspondant à 15 % de la valeur des coûts admissibles de construction du projet, tel que prévu dans le cadre du programme AccèsLogis Québec.
Cette contribution sera remboursée par le Fonds du logement social de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). Les 30 unités de logement prévues seront également assujetties au Programme de supplément de loyer, pour lequel la participation de la Ville est requise à la hauteur de 10 % des coûts des suppléments.
Auberge du coeur
En plus de présider aux destinées de l’organisme d’habitation, Elena Sauvageau est directrice générale de l’Auberge du cœur L’Envolée, le promoteur derrière ce projet depuis 2011.
L’Auberge, faut-il le rappeler, est une ressource pouvant accueillir 16 jeunes âgés de 16 à 20 ans pour une période n’excédant pas 12 mois.
Aux prises avec des problèmes de santé mentale, d’isolement social et/ou de dépendance, ces jeunes sont soutenus et accompagnés dans leur quête vers l’autonomie.
Les Habitations L’Envolée, qui s’installera sur le terrain jouxtant l’Auberge du cœur, située rue des Patriotes, à Sainte-Rose, pourra ainsi prendre la relève une fois que les jeunes auront complété leur passage à l’Auberge.