Une récente caractérisation environnementale des sols, menée dans la démarche d’acquisition de terrains par la Ville, aurait décelé des poches de contamination, dues à du remblai de mauvaise qualité.
Voilà qui explique l’inscription du site dans le registre gouvernemental des terrains contaminés, mis au jour par une enquête du journal Les Affaires.
La situation est actuellement sous analyse, explique le directeur du Service de l’environnement à la Ville de Laval, Gilles Benoît.
La Ville et le ministère du Développement durable sont à évaluer deux options: l’aménagement d’une voie avec ou sans infrastructures.
L’excavation de tranchées pour l’implantation de services d’égout et d’aqueduc impliquerait une facture plutôt salée en matière de gestion des sols, laisse entendre M. Benoît.