De fait, tous saluent d’emblée l’approche de prévention et de réduction des méfaits adoptée par le gouvernement Couillard dans l’élaboration de son projet de loi.
Devant la Commission de la santé et des services sociaux, qui présidait aux consultations particulières et auditions publiques, les DRSP ont levé le voile, le 19 janvier, sur les principales modifications proposées.
Interdiction
C’est ainsi qu’ils demandent au législateur d’interdire la publicité et la promotion du cannabis à usage récréatif comme thérapeutique, de n’autoriser la mise en place de projets pilotes liés à la distribution que lorsque le réseau de vente de la Société québécoise du cannabis couvrira l’ensemble de la province et de maintenir la possibilité de consommer de la mari dans les lieux publics extérieurs – tel que proposé dans le projet de loi – en prenant soin toutefois d’en bannir l’usage lors d’événements destinés aux familles et enfants.
Cette dernière recommandation rejoint non seulement une préoccupation exprimée par la Ville de Laval, mais elle va encore plus loin en termes d’exhortation.
Précisons que dans son mémoire déposé la veille, l’administration Demers demande au gouvernement de prévoir certaines dispositions permettant aux Villes de suspendre temporairement le droit de consommer de la marijuana sur la voie publique lors d’événements telles la Fête des pompiers ou la Fête de la famille.
Revendication
Par ailleurs, les directeurs régionaux de santé publique (DRSP) du Québec revendiquent la responsabilité de répartir – aux organismes oeuvrant en prévention et reconnus de leur territoire respectif – les fonds que Québec injectera dans la prévention et la recherche.
Tenant sur 13 pages, le plus récent mémoire des DRSP a été mené sous la direction de Julie Loslier (Montérégie), Richard Massé (Montréal), Jean-Pierre Trépanier (Laval) et François Desbiens (Capitale-Nationale) avec la collaboration des directeurs de santé publique en poste dans les 14 autres régions administratives au Québec.
De fait, tous saluent d’emblée l’approche de prévention et de réduction des méfaits adoptée par le gouvernement Couillard dans l’élaboration de son projet de loi.
Devant la Commission de la santé et des services sociaux, qui présidait aux consultations particulières et auditions publiques, les DRSP ont levé le voile, le 19 janvier, sur les principales modifications proposées.
Interdiction
C’est ainsi qu’ils demandent au législateur d’interdire la publicité et la promotion du cannabis à usage récréatif comme thérapeutique, de n’autoriser la mise en place de projets pilotes liés à la distribution que lorsque le réseau de vente de la Société québécoise du cannabis couvrira l’ensemble de la province et de maintenir la possibilité de consommer de la mari dans les lieux publics extérieurs – tel que proposé dans le projet de loi – en prenant soin toutefois d’en bannir l’usage lors d’événements destinés aux familles et enfants.
Cette dernière recommandation rejoint non seulement une préoccupation exprimée par la Ville de Laval, mais elle va encore plus loin en termes d’exhortation.
Précisons que dans son mémoire déposé la veille, l’administration Demers demande au gouvernement de prévoir certaines dispositions permettant aux Villes de suspendre temporairement le droit de consommer de la marijuana sur la voie publique lors d’événements telles la Fête des pompiers ou la Fête de la famille.
Revendication
Par ailleurs, les directeurs régionaux de santé publique (DRSP) du Québec revendiquent la responsabilité de répartir – aux organismes oeuvrant en prévention et reconnus de leur territoire respectif – les fonds que Québec injectera dans la prévention et la recherche.
Tenant sur 13 pages, le plus récent mémoire des DRSP a été mené sous la direction de Julie Loslier (Montérégie), Richard Massé (Montréal), Jean-Pierre Trépanier (Laval) et François Desbiens (Capitale-Nationale) avec la collaboration des directeurs de santé publique en poste dans les 14 autres régions administratives au Québec.