Il s’agit d’une série de vidéos, de matériel éducatif adapté et d’une trousse de sécurité destinés aux policiers, pompiers et autres intervenants d’urgence de même qu’aux personnes autistes et à leur famille.
«Il est extrêmement important que les intervenants comprennent le type de comportements qu’une personne autiste peut adopter dans une situation d’urgence afin d’y répondre de la façon la plus efficace possible», a expliqué Thomas Henderson, directeur général de l’école À pas de géant, seule institution d’éducation privée au Québec vouée aux jeunes âgés de 4 à 21 ans atteints des symptômes appartenant au spectre de l’autisme.
Les stratégies de communication à adopter et la manière d’interagir afin de réduire leur niveau de stress et d’anxiété sont d’autant plus importantes qu’une personne sur 68 est touchée par un trouble du spectre de l’autisme (TSA).
Produit par le Centre de ressources et de formation de cette école, le programme auquel ont collaboré les Services de police et de sécurité incendie de Laval est disponible à l’échelle nationale.
Pionnière
Faisant valoir que la Ville avait établi un protocole d’intervention pour l’ensemble de ses premiers répondants, le maire Marc Demers a émis le souhait d’«être contagieux» pour que d’autres municipalités emboîtent ainsi le pas.
«Adultes et familles d’enfants autistes sont très enthousiastes et soulagés de savoir que la ville de Laval forment ses premiers répondants et qu’il y a une contagion», a renchéri Marie Lauzon, organisatrice communautaire et consultante pour le programme de formation en autisme.
Citant au passage le Service de police de la ville de Montréal qui forme actuellement ses recrues, Mme Lauzon a enchaîné: «Espérons que d’autres villes au Québec et au Canada vont suivre l’exemple de Laval».
On se rappellera que l’administration Demers s’associait en décembre 2015 à l’école À pas de géant et son centre de ressources et de formation dans le but de devenir la première ville canadienne accessible et inclusive pour les personnes autistes.
Au-delà de la formation des intervenants d’urgence, ce partenariat favorise le développement de projets liés au transport collectif, au logement, à l’employabilité, à l’enseignement, au tourisme ainsi qu’aux arts et autres formes de divertissement.
Il s’agit d’une série de vidéos, de matériel éducatif adapté et d’une trousse de sécurité destinés aux policiers, pompiers et autres intervenants d’urgence de même qu’aux personnes autistes et à leur famille.
«Il est extrêmement important que les intervenants comprennent le type de comportements qu’une personne autiste peut adopter dans une situation d’urgence afin d’y répondre de la façon la plus efficace possible», a expliqué Thomas Henderson, directeur général de l’école À pas de géant, seule institution d’éducation privée au Québec vouée aux jeunes âgés de 4 à 21 ans atteints des symptômes appartenant au spectre de l’autisme.
Les stratégies de communication à adopter et la manière d’interagir afin de réduire leur niveau de stress et d’anxiété sont d’autant plus importantes qu’une personne sur 68 est touchée par un trouble du spectre de l’autisme (TSA).
Produit par le Centre de ressources et de formation de cette école, le programme auquel ont collaboré les Services de police et de sécurité incendie de Laval est disponible à l’échelle nationale.
Pionnière
Faisant valoir que la Ville avait établi un protocole d’intervention pour l’ensemble de ses premiers répondants, le maire Marc Demers a émis le souhait d’«être contagieux» pour que d’autres municipalités emboîtent ainsi le pas.
«Adultes et familles d’enfants autistes sont très enthousiastes et soulagés de savoir que la ville de Laval forment ses premiers répondants et qu’il y a une contagion», a renchéri Marie Lauzon, organisatrice communautaire et consultante pour le programme de formation en autisme.
Citant au passage le Service de police de la ville de Montréal qui forme actuellement ses recrues, Mme Lauzon a enchaîné: «Espérons que d’autres villes au Québec et au Canada vont suivre l’exemple de Laval».
On se rappellera que l’administration Demers s’associait en décembre 2015 à l’école À pas de géant et son centre de ressources et de formation dans le but de devenir la première ville canadienne accessible et inclusive pour les personnes autistes.
Au-delà de la formation des intervenants d’urgence, ce partenariat favorise le développement de projets liés au transport collectif, au logement, à l’employabilité, à l’enseignement, au tourisme ainsi qu’aux arts et autres formes de divertissement.