En 24 heures, ils ont recueilli 175 signatures. Une pétition papier circule également dans les rues du quartier a spécifié Roxane Borgès-Da Silva, présidente du conseil d’établissement de l’école de l’Arc-en-ciel.
Mme Borgès-Da Silva et quelques parents ont créé un groupe Facebook auquel 250 personnes ont adhéré. La porte-parole a également proposé un vote aux gens. Ils devaient se prononcer sur deux choix: on s’oppose à la construction de l’école au parc Cluny ou on accepte la construction au parc Cluny avec les paniers de basketball et modules de jeux. 70 % des répondants ont choisi la première option.
Deux sites
Lors du conseil municipal, le maire Demers a rappelé aux citoyens que la Commission scolaire de Laval (CSDL) faisait face à deux défis énormes: ériger une école le plus rapidement possible dans un quartier déjà construit, où il y a peu de terrains disponibles et combler le besoin criant d’un établissement scolaire à Laval-des-Rapides.
M. Demers a confirmé qu’un inventaire majeur avait été fait et que deux emplacements avaient été mis sur la table: Compétences-2000 et le parc Cluny.
Tout comme la présidente de la CSDL, Louise Lortie, l’avait expliqué au conseil des commissaires du 26 avril, le maire a indiqué que le parc Cluny s’avérait le site idéal pour la construction d’une nouvelle école.
«Compétences-2000 est le seul lieu à Laval qui permet d’avoir des compétitions de soccer étant donné le nombre de terrains disponibles», a-t-il précisé.
Parc-école
Marc Demers a spécifié qu’un peu plus de la moitié du parc Cluny, soit 16 000 m2, serait utilisée pour la construction de l’école. Il resterait 13 600 m2 pour maintenir un parc, sur lequel les gens du secteur seront consultés. Le terrain de soccer disparaîtrait.
«Le parc Cluny est la solution la plus rapide qui minimise les coûts et maximise les bénéfices et les installations dans le quartier.»
Le maire a également indiqué qu’il partageait les mêmes inquiétudes que les citoyens concernant les places de stationnement. «Je n’ai pas de réponse à vous donner ce soir, mais je vais vous tenir au courant des démarches, Mme Borgès-Da Silva», de conclure Marc Demers.
En 24 heures, ils ont recueilli 175 signatures. Une pétition papier circule également dans les rues du quartier a spécifié Roxane Borgès-Da Silva, présidente du conseil d’établissement de l’école de l’Arc-en-ciel.
Mme Borgès-Da Silva et quelques parents ont créé un groupe Facebook auquel 250 personnes ont adhéré. La porte-parole a également proposé un vote aux gens. Ils devaient se prononcer sur deux choix: on s’oppose à la construction de l’école au parc Cluny ou on accepte la construction au parc Cluny avec les paniers de basketball et modules de jeux. 70 % des répondants ont choisi la première option.
Deux sites
Lors du conseil municipal, le maire Demers a rappelé aux citoyens que la Commission scolaire de Laval (CSDL) faisait face à deux défis énormes: ériger une école le plus rapidement possible dans un quartier déjà construit, où il y a peu de terrains disponibles et combler le besoin criant d’un établissement scolaire à Laval-des-Rapides.
M. Demers a confirmé qu’un inventaire majeur avait été fait et que deux emplacements avaient été mis sur la table: Compétences-2000 et le parc Cluny.
Tout comme la présidente de la CSDL, Louise Lortie, l’avait expliqué au conseil des commissaires du 26 avril, le maire a indiqué que le parc Cluny s’avérait le site idéal pour la construction d’une nouvelle école.
«Compétences-2000 est le seul lieu à Laval qui permet d’avoir des compétitions de soccer étant donné le nombre de terrains disponibles», a-t-il précisé.
Parc-école
Marc Demers a spécifié qu’un peu plus de la moitié du parc Cluny, soit 16 000 m2, serait utilisée pour la construction de l’école. Il resterait 13 600 m2 pour maintenir un parc, sur lequel les gens du secteur seront consultés. Le terrain de soccer disparaîtrait.
«Le parc Cluny est la solution la plus rapide qui minimise les coûts et maximise les bénéfices et les installations dans le quartier.»
Le maire a également indiqué qu’il partageait les mêmes inquiétudes que les citoyens concernant les places de stationnement. «Je n’ai pas de réponse à vous donner ce soir, mais je vais vous tenir au courant des démarches, Mme Borgès-Da Silva», de conclure Marc Demers.