L’annonce a été faite ce matin en présence notamment des ministres Marc Garneau et André Fortin, respectivement délégués au transport à Ottawa et Québec, de la ministre Francine Charbonneau, responsable de la région de Laval, et du maire Marc Demers.
Les investissements les plus importants seront l’acquisition et le remplacement d’autobus en 2018-2019 pour une facture allant au-delà de 40 M$.
Parmi les autres projets, notons le remplacement d’abribus, l’étude d’un programme d’électrification, l’acquisition de bornes à recharge lente et le remplacement de l’appareil pour l’équilibrage des pneus.
En détail, le fédéral injectera près de 23,7 M$, tandis que l’apport du provincial se chiffre à plus de 18,9 M$.
Prenant la parole à tour de rôle, Marc Garneau, Eva Nassif, André Fortin, Francine Charbonneau et Marc Demers ont tous salué «l’esprit d’innovation de la STL» et «la promotion du programme électrique», le maire indiquant également que «Laval est un laboratoire pour le développement du transport en commun et ce sera bénéfique pour tout le Canada».
Projet pilote
Au printemps, la STL veut d’aller de l’avant avec un projet pilote de mobilité durable avec vélos électriques. Dans une première étape, 10 vélos seront disponibles pour les citoyens, mais d’ici 3 ans, on vise augmenter la flotte à 300.
«Présentement, on regarde pour en mettre aux stations de métro Concorde, Cartier, Montmorency et au centre-ville, mais la localisation précise n’est pas encore faite», explique Guy Picard, directeur général de la STL, ajoutant que la technologie est actuellement testée en vue de la mise en oeuvre prochaine.
Ceux qui voudront emprunter un vélo n’auront pas besoin de réserver ou détenir de titre de transport de la STL, mais il y aura un coût qui reste à déterminer.
«On les utilisera pour de petits trajets et la station où se trouvera les vélos sera électrifiée, donc ils seront rechargés [au fur et à mesure]», révèle M. Picard, ajoutant que la compagnie qui travaille sur le projet est basée en Beauce.
Ce projet pilote est évalué à 115 000 $, une facture répartie entre le fédéral, provincial et l’ARTM.
L’annonce a été faite ce matin en présence notamment des ministres Marc Garneau et André Fortin, respectivement délégués au transport à Ottawa et Québec, de la ministre Francine Charbonneau, responsable de la région de Laval, et du maire Marc Demers.
Les investissements les plus importants seront l’acquisition et le remplacement d’autobus en 2018-2019 pour une facture allant au-delà de 40 M$.
Parmi les autres projets, notons le remplacement d’abribus, l’étude d’un programme d’électrification, l’acquisition de bornes à recharge lente et le remplacement de l’appareil pour l’équilibrage des pneus.
En détail, le fédéral injectera près de 23,7 M$, tandis que l’apport du provincial se chiffre à plus de 18,9 M$.
Prenant la parole à tour de rôle, Marc Garneau, Eva Nassif, André Fortin, Francine Charbonneau et Marc Demers ont tous salué «l’esprit d’innovation de la STL» et «la promotion du programme électrique», le maire indiquant également que «Laval est un laboratoire pour le développement du transport en commun et ce sera bénéfique pour tout le Canada».
Projet pilote
Au printemps, la STL veut d’aller de l’avant avec un projet pilote de mobilité durable avec vélos électriques. Dans une première étape, 10 vélos seront disponibles pour les citoyens, mais d’ici 3 ans, on vise augmenter la flotte à 300.
«Présentement, on regarde pour en mettre aux stations de métro Concorde, Cartier, Montmorency et au centre-ville, mais la localisation précise n’est pas encore faite», explique Guy Picard, directeur général de la STL, ajoutant que la technologie est actuellement testée en vue de la mise en oeuvre prochaine.
Ceux qui voudront emprunter un vélo n’auront pas besoin de réserver ou détenir de titre de transport de la STL, mais il y aura un coût qui reste à déterminer.
«On les utilisera pour de petits trajets et la station où se trouvera les vélos sera électrifiée, donc ils seront rechargés [au fur et à mesure]», révèle M. Picard, ajoutant que la compagnie qui travaille sur le projet est basée en Beauce.
Ce projet pilote est évalué à 115 000 $, une facture répartie entre le fédéral, provincial et l’ARTM.