Il y a 2 ans, on enregistrait 333 kg de matières résiduelles éliminés par habitant lavallois au niveau du secteur résidentiel, contre une moyenne de 303 kg dans des villes de taille similaire. La moyenne provinciale se situait à 281 kg.
L’élimination totale à travers l’île Jésus se chiffrait alors à 526 kg par habitant, contre 559 kg pour des municipalités semblables et 495 kg dans l’ensemble de la province.
Chiffres de 2014
En 2014, la Ville avait reçu moins d’argent, soit quelque 3,4 M$, puisque les indicateurs du secteur résidentiel étaient légèrement plus hauts par habitant (341 kg). Laval montrait une meilleure performance que les autres villes similaires (314) et celle du Québec (297). Idem pour la totalité du territoire avec respectivement 569, 559 et 514 kg par habitant.
Nadine Lussier, chef de division, Communication et relations avec les médias, nous indique que «la Ville Laval est assujettie à l’application du Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles 2015-2020 de la Communauté métropolitaine et partage les mêmes objectifs et orientations».
Afin d’améliorer la performance municipal, des mesures ont été mises en place, dont «l’implantation de la collecte des matières organiques à 10 000 foyers en 2016 et 20 000 supplémentaires en 2017; la poursuite de programmes de subventions à l’achat de composteurs domestiques et de couches lavables; l’augmentation des efforts de sensibilisation à la collecte des matières recyclables dans les immeubles à logement».
En 2019, on prévoit également offrir un écocentre aux citoyens, «un site de réemploi et de récupération des matières résiduelles».
Bilan
Dans le bilan 2016 de la Division action environnement du Service de l’environnement de la Ville de Laval, on peut lire que l’an dernier «35 007 tonnes de matières recyclables, 239 tonnes de matières compostables, 122 tonnes de résidus domestiques dangereux, 411 tonnes de feuilles mortes et 7822 sapins de Noël» ont été valorisées. La Ville a également créé l’application Web les Pages vertes de Laval que les gens peuvent consulter afin de trouver un centre de récupération sur l’île.
«En encourageant les municipalités à mieux performer dans la gestion de leurs matières résiduelles, nous stimulons l’ensemble des citoyens de la région de Laval à moins gaspiller, note Francine Charbonneau, ministre responsable de la région Laval. C’est la preuve que toutes les actions comptent lorsqu’il est question de recyclage et de réduction des matières résiduelles.»
Pour sa part, le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, souligne que la collectivité doit s’engager dans cet enjeu et continuer le travail «afin de permettre à nos enfants de vivre dans un Québec plus vert et prospère».
Il y a 2 ans, on enregistrait 333 kg de matières résiduelles éliminés par habitant lavallois au niveau du secteur résidentiel, contre une moyenne de 303 kg dans des villes de taille similaire. La moyenne provinciale se situait à 281 kg.
L’élimination totale à travers l’île Jésus se chiffrait alors à 526 kg par habitant, contre 559 kg pour des municipalités semblables et 495 kg dans l’ensemble de la province.
Chiffres de 2014
En 2014, la Ville avait reçu moins d’argent, soit quelque 3,4 M$, puisque les indicateurs du secteur résidentiel étaient légèrement plus hauts par habitant (341 kg). Laval montrait une meilleure performance que les autres villes similaires (314) et celle du Québec (297). Idem pour la totalité du territoire avec respectivement 569, 559 et 514 kg par habitant.
Nadine Lussier, chef de division, Communication et relations avec les médias, nous indique que «la Ville Laval est assujettie à l’application du Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles 2015-2020 de la Communauté métropolitaine et partage les mêmes objectifs et orientations».
Afin d’améliorer la performance municipal, des mesures ont été mises en place, dont «l’implantation de la collecte des matières organiques à 10 000 foyers en 2016 et 20 000 supplémentaires en 2017; la poursuite de programmes de subventions à l’achat de composteurs domestiques et de couches lavables; l’augmentation des efforts de sensibilisation à la collecte des matières recyclables dans les immeubles à logement».
En 2019, on prévoit également offrir un écocentre aux citoyens, «un site de réemploi et de récupération des matières résiduelles».
Bilan
Dans le bilan 2016 de la Division action environnement du Service de l’environnement de la Ville de Laval, on peut lire que l’an dernier «35 007 tonnes de matières recyclables, 239 tonnes de matières compostables, 122 tonnes de résidus domestiques dangereux, 411 tonnes de feuilles mortes et 7822 sapins de Noël» ont été valorisées. La Ville a également créé l’application Web les Pages vertes de Laval que les gens peuvent consulter afin de trouver un centre de récupération sur l’île.
«En encourageant les municipalités à mieux performer dans la gestion de leurs matières résiduelles, nous stimulons l’ensemble des citoyens de la région de Laval à moins gaspiller, note Francine Charbonneau, ministre responsable de la région Laval. C’est la preuve que toutes les actions comptent lorsqu’il est question de recyclage et de réduction des matières résiduelles.»
Pour sa part, le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, souligne que la collectivité doit s’engager dans cet enjeu et continuer le travail «afin de permettre à nos enfants de vivre dans un Québec plus vert et prospère».