La clémence de Dame Nature combinée au prolongement des activités jusqu’à 22h les vendredi et samedi soir a directement contribué à ce record d’achalandage.
Pour mettre le tout en perspective, l’édition précédente avait attiré 12 500 personnes… sur 2 week-ends. En 2015, les organisateurs avaient enregistré la présence de 20 000 participants répartis cette fois sur 3 fins de semaine d’activité.
Nouveautés
Parmi les nouveautés cette année, l’illumination du site qui, en plus de conférer à la Berge des baigneurs un air féérique, a permis de prolonger de cinq heures l’accès à bon nombre d’activités, notamment le parc de structures de neige, la tyrolienne, les deux pentes de glisse, le sentier de glace, les ateliers de sculpture de neige et le jardin des glaces.
Toujours au rayon de la nouveauté, la présence d’un écran géant et d’une terrasse chauffée a également permis aux gens d’apprécier les concerts tout en jouissant de l’ambiance du site extérieur. Déployée sur une distance 76 mètres, la tyrolienne a fait courir les foules tout comme les activités de hockey et de soccer bulle.
Spectacles
Après le feux d’artifice marquant le coup d’envoi de la 13e édition de Laval en blanc, les festivaliers ont pu se déhancher sur les airs de Rock’n’Roll du groupe Cherry Chérie.
Le lendemain, la programmation culturelle faisait place au trad moderne de Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs en après-midi, puis à Dominique Hudson, sa musique latine et ses nombreux chanteurs et danseurs, le soir venu.
Pour la journée de clôture, les deux représentations de la comédie musicale Le chat botté et la projection du film L’Ère de glace – Les lois de l’univers étaient davantage destinées aux nombreuses familles présentes sur le site.