Ces villes s’étaient engagées à rendre public leur engagement lors des 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes, du 25 novembre au 6 décembre.
«L’an passé, les trois maisons d’hébergement pour femmes de Laval, soit De Lima, Le Prélude et L’Esther, nous ont remis une résolution, d’expliquer Sandra Desmeules. Elles nous demandaient de proclamer la Ville alliée contre la violence conjugale et de mettre de l’avant des mesures concrètes en ce sens.»
Actions et concertation
La conseillère de Concorde-Bois-de-Boulogne indique que plusieurs mesures étaient déjà en place parmi celles réclamées, notamment la présence d’une personne ressource à l’administration municipale, la formation du corps policier aux interventions dans des cas de violence conjugale et un investissement financier.
«Nous avons mis 300 000 $ pour lutter contre l’exploitation sexuelle puisque dans le contexte lavallois, la violence prend souvent cette forme, indique Sandra Desmeules. On essaie actuellement d’évaluer les besoins en concertation avec les organismes pour les femmes immigrantes et les maisons d’hébergement.»
Les listes d’attente se sont beaucoup allongées ces dernières années. La Ville de Laval veut soutenir ces organismes dans la recherche de terrains, puisque l’agrandissement et l’ajout de nouveaux espaces sont devenus une nécessité criante.
«Nous avons également fait parvenir des lettres d’appui aux autres paliers gouvernementaux pour que ces femmes obtiennent plus de subventions afin de rencontrer leurs objectifs», d’ajouter Mme Desmeules.
«Nous sommes très encouragées de constater que les municipalités du Québec prennent cette problématique au sérieux, car nous avons besoin que tous les acteurs de la société québécoise joignent leurs efforts aux nôtres pour mettre fin à la violence conjugale», mentionne finalement Sylvie Langlais, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugal qui a initié cette vaste campagne de sensibilisation à pareille date l’an dernier.
Ces villes s’étaient engagées à rendre public leur engagement lors des 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes, du 25 novembre au 6 décembre.
«L’an passé, les trois maisons d’hébergement pour femmes de Laval, soit De Lima, Le Prélude et L’Esther, nous ont remis une résolution, d’expliquer Sandra Desmeules. Elles nous demandaient de proclamer la Ville alliée contre la violence conjugale et de mettre de l’avant des mesures concrètes en ce sens.»
Actions et concertation
La conseillère de Concorde-Bois-de-Boulogne indique que plusieurs mesures étaient déjà en place parmi celles réclamées, notamment la présence d’une personne ressource à l’administration municipale, la formation du corps policier aux interventions dans des cas de violence conjugale et un investissement financier.
«Nous avons mis 300 000 $ pour lutter contre l’exploitation sexuelle puisque dans le contexte lavallois, la violence prend souvent cette forme, indique Sandra Desmeules. On essaie actuellement d’évaluer les besoins en concertation avec les organismes pour les femmes immigrantes et les maisons d’hébergement.»
Les listes d’attente se sont beaucoup allongées ces dernières années. La Ville de Laval veut soutenir ces organismes dans la recherche de terrains, puisque l’agrandissement et l’ajout de nouveaux espaces sont devenus une nécessité criante.
«Nous avons également fait parvenir des lettres d’appui aux autres paliers gouvernementaux pour que ces femmes obtiennent plus de subventions afin de rencontrer leurs objectifs», d’ajouter Mme Desmeules.
«Nous sommes très encouragées de constater que les municipalités du Québec prennent cette problématique au sérieux, car nous avons besoin que tous les acteurs de la société québécoise joignent leurs efforts aux nôtres pour mettre fin à la violence conjugale», mentionne finalement Sylvie Langlais, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugal qui a initié cette vaste campagne de sensibilisation à pareille date l’an dernier.