Quelques jours après l’annonce confirmant l’achat sauvegardant le bois du Trait- Carré, le conseiller de Laval-des-Rapides Pierre Anthian a ajouté 148 signatures aux 2098 déjà existantes d’une pétition en faveur de cette acquisition.
Quelques minutes plus tard, Virginie Dufour, conseillère de Sainte-Rose et responsable de l’environnement au comité exécutif, a salué et remercié le travail effectué depuis des décennies par les organismes communautaires et leurs bénévoles engagés dans la défense des différents boisés du territoire, dont ceux du Souvenir, de l’Équerre et les trois grandes îles.
Mme Dufour a également relevé le travail «remarquable et souvent très solitaire» des responsables du Conseil régional de l’environnement, dont Guy Garand.
Peu avant, Paolo Galati déposait une autre pétition, celle-là au nom de résidents de son district, Saint-Vincent-de-Paul, qui se plaignent du bruit provenant de l’autoroute Jean-Noël-Lavoie. À suivre.
Les affaires nouvelles ont aussi permis d’apprendre que deux élues, Jocelyne Frédéric-Gauthier et Aline Dib, allaient garder un œil sur la migration importante de nouveaux venus haïtiens traversant actuellement la frontière canado-américaine. «Nous serons présents comme nous l’avons été pour les réfugiés syriens», a dit Mme Frédéric-Gauthier.
Période de questions
Un débat autour de l’utilisation de la période de questions a occupé une bonne partie de la soirée. Tôt durant la séance, le conseiller Michel Trottier et chef de Parti Laval a dénoncé l’opposition officielle, Action Laval, qui ferait défiler ses représentants, accaparant de précieuses minutes pour faire de la politique au détriment du temps de parole laissé aux citoyens.
De nombreux propos acerbes entre de futurs candidats d’Action Laval et le maire Demers ont ensuite été échangés sur cette question en cours de soirée. Depuis, le parti de Jean-Claude Gobé a réagi au débat par communiqué, alléguant que le maire leur a accordé un traitement préjudiciable.
Espoir pour Jolibourg
Après le dépôt d’une pétition de près de 200 noms récoltés en quelques heures seulement, 7 citoyens de Sainte-Dorothée ont reproché de nouveau à l’administration municipale l’installation de roulottes de chantier au parc Jolibourg, une large bande de gazon ayant été sacrifiée pour faire place au bitume sans préavis ni consultation, le 17 juillet.
On a rappelé au maire Marc Demers et son équipe la vocation d’un parc et espace vert. Une liste comprenant des sites alternatifs a été soumise au conseiller Nicholas Borne.
«On est en train d’évaluer toutes les alternatives pour prendre la meilleure décision possible dont celle de déménager le tout, mais ça aura un coût et des frais, a répondu Marc Demers. C’est une question de jours et semaines. Des négos sont en jeu dans certains cas. Nous faisons face au défi de construire quatre ponts, deux temporaires et deux permanents, en plus des contraintes du REM (Réseau Électrique Métropolitain).»
Mesures d’apaisement et heures de glace
La grogne populaire contre les mesures d’apaisement temporaires aménagées dans Auteuil s’est transportée dans la salle du conseil par la voix de deux résidents du parc-école de l’Odyssée-des-jeunes, alors qu’au contraire, du côté de la 59e Avenue, à Laval-Ouest, deux voisins ont réclamé d’urgence des solutions pour réduire le flux d’automobiles et la vitesse dans leur secteur résidentiel.
Le président des Loisirs Saint-François, un organisme sans but lucratif, est aussi revenu à la charge au conseil pour demander la permission de louer une seule heure de glace, les vendredis soir, entre 22h et 23h, pour l’unique ligue récréative du quartier.
En réaction à cette intervention, le conseiller du district depuis 24 ans, Jacques Saint-Jean, a rappelé qu’«on n’a jamais analysé en profondeur les heures d’usage des glaces, comment sont-elles utilisées à Laval?» avant que le maire affirme que ce dossier serait de nouveau étudié.
Centre périnatal en péril
Premières citoyennes à intervenir, deux utilisatrices du centre de ressources périnatales Mieux-Naître à Laval ont interpelé le maire sur la survie en péril de l’organisme, dont les activités sont suspendues et employées mises à pied, lui demandant s’il allait faire quelque chose de plus que la lettre d’appui déjà envoyée au premier ministre, Philippe Couillard, et ministre de la Santé, Gaétan Barrette.
Marc Demers a réaffirmé qu’un tel centre n’était pas un luxe dans la région. «Je vais en rediscuter avec les députés lavallois, a-t-il soutenu. On cherche la meilleure façon non pas de confronter qui que ce soit, mais d’obtenir la meilleure solution.»
Quelques jours après l’annonce confirmant l’achat sauvegardant le bois du Trait- Carré, le conseiller de Laval-des-Rapides Pierre Anthian a ajouté 148 signatures aux 2098 déjà existantes d’une pétition en faveur de cette acquisition.
Quelques minutes plus tard, Virginie Dufour, conseillère de Sainte-Rose et responsable de l’environnement au comité exécutif, a salué et remercié le travail effectué depuis des décennies par les organismes communautaires et leurs bénévoles engagés dans la défense des différents boisés du territoire, dont ceux du Souvenir, de l’Équerre et les trois grandes îles.
Mme Dufour a également relevé le travail «remarquable et souvent très solitaire» des responsables du Conseil régional de l’environnement, dont Guy Garand.
Peu avant, Paolo Galati déposait une autre pétition, celle-là au nom de résidents de son district, Saint-Vincent-de-Paul, qui se plaignent du bruit provenant de l’autoroute Jean-Noël-Lavoie. À suivre.
Les affaires nouvelles ont aussi permis d’apprendre que deux élues, Jocelyne Frédéric-Gauthier et Aline Dib, allaient garder un œil sur la migration importante de nouveaux venus haïtiens traversant actuellement la frontière canado-américaine. «Nous serons présents comme nous l’avons été pour les réfugiés syriens», a dit Mme Frédéric-Gauthier.
Période de questions
Un débat autour de l’utilisation de la période de questions a occupé une bonne partie de la soirée. Tôt durant la séance, le conseiller Michel Trottier et chef de Parti Laval a dénoncé l’opposition officielle, Action Laval, qui ferait défiler ses représentants, accaparant de précieuses minutes pour faire de la politique au détriment du temps de parole laissé aux citoyens.
De nombreux propos acerbes entre de futurs candidats d’Action Laval et le maire Demers ont ensuite été échangés sur cette question en cours de soirée. Depuis, le parti de Jean-Claude Gobé a réagi au débat par communiqué, alléguant que le maire leur a accordé un traitement préjudiciable.
Espoir pour Jolibourg
Après le dépôt d’une pétition de près de 200 noms récoltés en quelques heures seulement, 7 citoyens de Sainte-Dorothée ont reproché de nouveau à l’administration municipale l’installation de roulottes de chantier au parc Jolibourg, une large bande de gazon ayant été sacrifiée pour faire place au bitume sans préavis ni consultation, le 17 juillet.
On a rappelé au maire Marc Demers et son équipe la vocation d’un parc et espace vert. Une liste comprenant des sites alternatifs a été soumise au conseiller Nicholas Borne.
«On est en train d’évaluer toutes les alternatives pour prendre la meilleure décision possible dont celle de déménager le tout, mais ça aura un coût et des frais, a répondu Marc Demers. C’est une question de jours et semaines. Des négos sont en jeu dans certains cas. Nous faisons face au défi de construire quatre ponts, deux temporaires et deux permanents, en plus des contraintes du REM (Réseau Électrique Métropolitain).»
Mesures d’apaisement et heures de glace
La grogne populaire contre les mesures d’apaisement temporaires aménagées dans Auteuil s’est transportée dans la salle du conseil par la voix de deux résidents du parc-école de l’Odyssée-des-jeunes, alors qu’au contraire, du côté de la 59e Avenue, à Laval-Ouest, deux voisins ont réclamé d’urgence des solutions pour réduire le flux d’automobiles et la vitesse dans leur secteur résidentiel.
Le président des Loisirs Saint-François, un organisme sans but lucratif, est aussi revenu à la charge au conseil pour demander la permission de louer une seule heure de glace, les vendredis soir, entre 22h et 23h, pour l’unique ligue récréative du quartier.
En réaction à cette intervention, le conseiller du district depuis 24 ans, Jacques Saint-Jean, a rappelé qu’«on n’a jamais analysé en profondeur les heures d’usage des glaces, comment sont-elles utilisées à Laval?» avant que le maire affirme que ce dossier serait de nouveau étudié.
Centre périnatal en péril
Premières citoyennes à intervenir, deux utilisatrices du centre de ressources périnatales Mieux-Naître à Laval ont interpelé le maire sur la survie en péril de l’organisme, dont les activités sont suspendues et employées mises à pied, lui demandant s’il allait faire quelque chose de plus que la lettre d’appui déjà envoyée au premier ministre, Philippe Couillard, et ministre de la Santé, Gaétan Barrette.
Marc Demers a réaffirmé qu’un tel centre n’était pas un luxe dans la région. «Je vais en rediscuter avec les députés lavallois, a-t-il soutenu. On cherche la meilleure façon non pas de confronter qui que ce soit, mais d’obtenir la meilleure solution.»