Au conseil municipal de décembre, les deux porte-paroles des pétitionnaires ont sollicité une rencontre avec leur conseiller municipal et maire suppléant, David De Cotis.
En entrevue au Courrier Laval, ce dernier a rappelé que la mesure contestée se voulait temporaire et que la Ville effectuait présentement un sondage auprès des gens directement touchés par cette mesure d’apaisement de la circulation.
«Si plus de 50 % sont contre, on va les retirer et trouver une autre solution pour assurer la sécurité de nos enfants. Sinon, les cloches de béton vont demeurer», a-t-il dit, rappelant que cette rue affiche un débit moyen de 3000 véhicules par jour qui, souvent, excèdent la limite de vitesse permise.
«Le problème, c’est les automobilistes qui, le matin, empruntent de Palerme par le boulevard Bellerose pour se rendre sur le boulevard René-Laennec, poursuit M. De Cotis. Le soir, ils prennent René-Laennec jusqu’à Palerme pour rejoindre Bellerose.»
Or, l’objectif de cette fermeture partielle de rue est de maintenir la circulation de transit sur les grandes artères conçues à cette fin, tels les boulevard des Laurentides et René-Laennec.
Et si le sondage s’avérait défavorable à la présente mesure? «Il faudra alors trouver d’autres moyens comme d’interdire la circulation sur la rue de Palerme en direction sud le matin entre 6h et 9h et de l’interdire en direction nord entre 15h et 18h», suggère le conseiller municipal de Saint-Bruno.
Depuis l’implantation des cloches de béton sur la rue de Palerme, la portion de cette rue collectrice se trouvant au sud de la rue de Murcie est exclusivement réservée à ceux qui y résident.
En contrepartie, les domiciliés du tronçon de Palerme compris entre de Murcie et de Clèves sont contraints à un détour de deux kilomètre par le boulevard René-Laennec pour rejoindre le boulevard Bellerose, situé à 270 mètres au nord de la rue de Murcie.
Au conseil municipal de décembre, les deux porte-paroles des pétitionnaires ont sollicité une rencontre avec leur conseiller municipal et maire suppléant, David De Cotis.
En entrevue au Courrier Laval, ce dernier a rappelé que la mesure contestée se voulait temporaire et que la Ville effectuait présentement un sondage auprès des gens directement touchés par cette mesure d’apaisement de la circulation.
«Si plus de 50 % sont contre, on va les retirer et trouver une autre solution pour assurer la sécurité de nos enfants. Sinon, les cloches de béton vont demeurer», a-t-il dit, rappelant que cette rue affiche un débit moyen de 3000 véhicules par jour qui, souvent, excèdent la limite de vitesse permise.
«Le problème, c’est les automobilistes qui, le matin, empruntent de Palerme par le boulevard Bellerose pour se rendre sur le boulevard René-Laennec, poursuit M. De Cotis. Le soir, ils prennent René-Laennec jusqu’à Palerme pour rejoindre Bellerose.»
Or, l’objectif de cette fermeture partielle de rue est de maintenir la circulation de transit sur les grandes artères conçues à cette fin, tels les boulevard des Laurentides et René-Laennec.
Et si le sondage s’avérait défavorable à la présente mesure? «Il faudra alors trouver d’autres moyens comme d’interdire la circulation sur la rue de Palerme en direction sud le matin entre 6h et 9h et de l’interdire en direction nord entre 15h et 18h», suggère le conseiller municipal de Saint-Bruno.
Depuis l’implantation des cloches de béton sur la rue de Palerme, la portion de cette rue collectrice se trouvant au sud de la rue de Murcie est exclusivement réservée à ceux qui y résident.
En contrepartie, les domiciliés du tronçon de Palerme compris entre de Murcie et de Clèves sont contraints à un détour de deux kilomètre par le boulevard René-Laennec pour rejoindre le boulevard Bellerose, situé à 270 mètres au nord de la rue de Murcie.