Le président de Hockey Laval, Michel Demers, et ses bénévoles sont en mode réflexion, car ils recevront entre 350 et 500 équipes d’un peu partout au Québec dans le temps des fêtes.
«Pas question d’annuler les tournois, assure Michel Demers. On se serait passés de tout cela. Les cols bleus ne savent pas tout le travail que ça représente pour nous les bénévoles. Ils n’ont aucune idée.»
«Aucun respect»
M. Demers croit revivre le scénario de 2012 alors que son organisme avait dû déménager les Championnats provinciaux dans les arénas de Montréal, car les cols bleus avaient bloqué les arénas lavallois. Le président se sent entre l’arbre et l’écorce. «Si je blâme la Ville, Michel Demers et Hockey Laval ne sont pas corrects. C’est la même chose, si je blâme les cols bleus. Ce n’est pas moi qui paie la note, ce sont les jeunes hockeyeurs. C’est déplorable.»
M. Demers affirme que les cols bleus ne s’attaquent pas à la Ville quand ils posent un tel geste. «Je comprends qu’ils ont le droit de faire la grève, mais ils n’ont aucun respect pour les jeunes et les bénévoles, fustige-t-il. Ça dérange tout le monde et ça frappe solide!»
Saison compromise?
Michel Demers est inquiet pour la saison de hockey. La fermeture des huit arénas est catastrophique pour son organisation. «La saison est-elle compromise? se demande-t-il. Les cols bleus ont annoncé une grève illimitée. Nous allons regarder nos options. Comment peut-on s’en sortir?»
Autre texte à lire: Grève illimitée des cols bleus dès le 9 décembre.
Le président de Hockey Laval, Michel Demers, et ses bénévoles sont en mode réflexion, car ils recevront entre 350 et 500 équipes d’un peu partout au Québec dans le temps des fêtes.
«Pas question d’annuler les tournois, assure Michel Demers. On se serait passés de tout cela. Les cols bleus ne savent pas tout le travail que ça représente pour nous les bénévoles. Ils n’ont aucune idée.»
«Aucun respect»
M. Demers croit revivre le scénario de 2012 alors que son organisme avait dû déménager les Championnats provinciaux dans les arénas de Montréal, car les cols bleus avaient bloqué les arénas lavallois. Le président se sent entre l’arbre et l’écorce. «Si je blâme la Ville, Michel Demers et Hockey Laval ne sont pas corrects. C’est la même chose, si je blâme les cols bleus. Ce n’est pas moi qui paie la note, ce sont les jeunes hockeyeurs. C’est déplorable.»
M. Demers affirme que les cols bleus ne s’attaquent pas à la Ville quand ils posent un tel geste. «Je comprends qu’ils ont le droit de faire la grève, mais ils n’ont aucun respect pour les jeunes et les bénévoles, fustige-t-il. Ça dérange tout le monde et ça frappe solide!»
Saison compromise?
Michel Demers est inquiet pour la saison de hockey. La fermeture des huit arénas est catastrophique pour son organisation. «La saison est-elle compromise? se demande-t-il. Les cols bleus ont annoncé une grève illimitée. Nous allons regarder nos options. Comment peut-on s’en sortir?»
Autre texte à lire: Grève illimitée des cols bleus dès le 9 décembre.