Ils ont ainsi pris part au 8e Tour du silence de Laval, dont le départ avait lieu au Centre de la nature. Le Club de vélo Détente de Laval, avec en tête le coordonnateur de l’activité Alain Sylvestre, a tenu cette randonnée de 21 km dans les rues de la municipalité.
«Je suis un peu déçu de la participation des gens, lance d’entrée de jeu M. Sylvestre. Pourtant le beau temps était au rendez-vous. Je pense que les célébrations du 375e anniversaire de Montréal nous ont fait mal.»
Les participants avaient tous une raison bien à eux d’y prendre part, que ce soit la mort d’un proche en vélo, un accident dont ils ont été victimes ou tout simplement des difficultés dans la cohabitation avec les automobilistes.
«Pour la 9e édition, il faudra faire plus de promotions. Même si plusieurs participants étaient vêtus de maillot, ce n’est pas une course. Tout le monde est bienvenu.»
Sécurité
L’objectif du Tour du silence est de sensibiliser la population à l’importance du partage de la route et surtout tenter d’éviter les accidents qui peuvent être fatals.
«Tous les cyclistes réunis ont roulé en silence, escortés par des policiers. Des arrêts symboliques sont effectués à quelques endroits, afin d’honorer la mémoire de défunts cyclistes. On pouvait entendre une mouche voler lors de la minute de silence observée devant l’hôtel de ville», mentionne Alain Sylvestre.
L’organisateur a souligné que le Tour du silence permet de rappeler l’importance de la courtoisie sur les routes. «En vélo, on a des droits, mais aussi des responsabilités. C’est important de respecter nous aussi le code de la sécurité.»
Incident
Comme le dit si bien le responsable de l’événement, la pratique du vélo comporte des risques et les chutes en font partie. Virginie Dufour, conseillère de Sainte-Rose, a d’ailleurs chuté après avoir heurté un parasol qui s’est retrouvé sur la chaussée en raison des vents violents. Elle a eu quelques ecchymoses aux bras et genoux, tandis qu’un autre cycliste saignait un peu à la jambe après une collision. «Il y a eu plus de peur que de mal. Nous avons repris la route, sans blessure grave», mentionne Virginie Dufour, une habituée du Tour du silence.
Né aux États-Unis
Les cyclistes lavallois n’étaient pas les seuls à prendre part à cette activité organisée simultanément à plusieurs endroits sur le globe, dont une trentaine de villes au Québec. Le Tour du silence tient son nom de The Ride of Silence qui est né au Texas, en 2003.
Ils ont ainsi pris part au 8e Tour du silence de Laval, dont le départ avait lieu au Centre de la nature. Le Club de vélo Détente de Laval, avec en tête le coordonnateur de l’activité Alain Sylvestre, a tenu cette randonnée de 21 km dans les rues de la municipalité.
«Je suis un peu déçu de la participation des gens, lance d’entrée de jeu M. Sylvestre. Pourtant le beau temps était au rendez-vous. Je pense que les célébrations du 375e anniversaire de Montréal nous ont fait mal.»
Les participants avaient tous une raison bien à eux d’y prendre part, que ce soit la mort d’un proche en vélo, un accident dont ils ont été victimes ou tout simplement des difficultés dans la cohabitation avec les automobilistes.
«Pour la 9e édition, il faudra faire plus de promotions. Même si plusieurs participants étaient vêtus de maillot, ce n’est pas une course. Tout le monde est bienvenu.»
Sécurité
L’objectif du Tour du silence est de sensibiliser la population à l’importance du partage de la route et surtout tenter d’éviter les accidents qui peuvent être fatals.
«Tous les cyclistes réunis ont roulé en silence, escortés par des policiers. Des arrêts symboliques sont effectués à quelques endroits, afin d’honorer la mémoire de défunts cyclistes. On pouvait entendre une mouche voler lors de la minute de silence observée devant l’hôtel de ville», mentionne Alain Sylvestre.
L’organisateur a souligné que le Tour du silence permet de rappeler l’importance de la courtoisie sur les routes. «En vélo, on a des droits, mais aussi des responsabilités. C’est important de respecter nous aussi le code de la sécurité.»
Incident
Comme le dit si bien le responsable de l’événement, la pratique du vélo comporte des risques et les chutes en font partie. Virginie Dufour, conseillère de Sainte-Rose, a d’ailleurs chuté après avoir heurté un parasol qui s’est retrouvé sur la chaussée en raison des vents violents. Elle a eu quelques ecchymoses aux bras et genoux, tandis qu’un autre cycliste saignait un peu à la jambe après une collision. «Il y a eu plus de peur que de mal. Nous avons repris la route, sans blessure grave», mentionne Virginie Dufour, une habituée du Tour du silence.
Né aux États-Unis
Les cyclistes lavallois n’étaient pas les seuls à prendre part à cette activité organisée simultanément à plusieurs endroits sur le globe, dont une trentaine de villes au Québec. Le Tour du silence tient son nom de The Ride of Silence qui est né au Texas, en 2003.