Le prodige issu du programme Il Sistema, mis en place au Vénézuéla pour sortir les enfants de la rue par l’amour de la musique, est apparu sur la scène de la salle André-Mathieu après une Marche des nobles, de Rimski-Korsakov, des plus enjouées.
En avant-concert, les jeunes musiciens de l’école de Catherine Parr avaient d’abord embelli l’attente du public.
Muni d’un cor, Pacho Flores a attaqué le programme avec un superbe Concerto pour trompette et cordes en mi bémol majeur de Neruda, avant d’émouvoir le public avec une pièce d’Efraìn Oscher et animer l’ambiance en jouant une composition originale d’Alain Trudel, chef de l’OSL, en variant les sourdines et instruments.
La première partie s’est terminée naturellement avec un morceau du maître du tango Astor Piazzolla.
Au retour de l’entracte, les musiciens de l’orchestre lavallois ont fait honneur à la Symphonie no 4 en fa mineur, op. 36, aussi appelée Symphonie du destin, écrite par Tchaïkovski.
Le prodige issu du programme Il Sistema, mis en place au Vénézuéla pour sortir les enfants de la rue par l’amour de la musique, est apparu sur la scène de la salle André-Mathieu après une Marche des nobles, de Rimski-Korsakov, des plus enjouées.
En avant-concert, les jeunes musiciens de l’école de Catherine Parr avaient d’abord embelli l’attente du public.
Muni d’un cor, Pacho Flores a attaqué le programme avec un superbe Concerto pour trompette et cordes en mi bémol majeur de Neruda, avant d’émouvoir le public avec une pièce d’Efraìn Oscher et animer l’ambiance en jouant une composition originale d’Alain Trudel, chef de l’OSL, en variant les sourdines et instruments.
La première partie s’est terminée naturellement avec un morceau du maître du tango Astor Piazzolla.
Au retour de l’entracte, les musiciens de l’orchestre lavallois ont fait honneur à la Symphonie no 4 en fa mineur, op. 36, aussi appelée Symphonie du destin, écrite par Tchaïkovski.