«Je ne m’y attendais pas! J’ai failli pleurer, c’est beaucoup d’émotion», a lancé la jeune femme de 29 ans. Après des applaudissements autant pour la candidate que Shawn Lalande Mc Lean, la native de Sainte-Dorothée, maintenant résidente de Montréal, s’est adressée aux participants réunis dans un local de la rue Principale et expliqué les différents enjeux dont elle se fera la porte-parole au cours des prochains mois.
«Je suis de la génération d’indépendantistes convaincus qui veulent concrétiser le projet de faire du Québec un pays, a d’abord souligné celle qui s’était présentée dans la circonscription de Viau, en 2014, terminant deuxième devant David Heurtel. Je travaille comme éducatrice au CPE La Giboulée, alors je voudrais voir des CPE encore plus répandus au Québec parce que c’est un endroit où on prône le mieux-être physique, moral et intellectuel des enfants. Le trafic est aussi un enjeu qui me touche. Il y a des parents qui me disent que ça leur prend une heure et demie pour faire le trajet Laval-Montréal aux heures de pointe. C’est pitoyable de voir la file d’attente qui se forme sur les routes.»
Santé et éducation
La militante du PQ depuis 2011 a également parlé de santé et d’éducation, rappelant l’importance au Parti québécois d’améliorer l’accès aux soins de santé et de favoriser le maintien à domicile ainsi que d’assurer un financement adéquat pour les études.
«Au PQ, on a des idées et vous êtes nos yeux et nos oreilles sur le terrain. Ce n’est pas ma campagne, mais notre campagne. Je suis mûre pour représenter les citoyens de Fabre et prête à prendre le flambeau», a révélé Odette Lavigne.
Un enjeu «impressionnant»
Dans une entrevue réalisée après les félicitations d’usage par les membres du PQ, Odette Lavigne est revenue sur la question de la congestion routière qui sera, selon elle, un enjeu «impressionnant» de la campagne à venir.
«Nous sommes vraiment touchés dans Fabre. Il y a beaucoup de développement immobilier et ça donne plus de personnes qui habitent certains quartiers devant prendre la 13 pour aller travailler. Tout ça brise notre budget parce qu’il y a des coûts, notamment pour l’essence.»
Mme Lavigne endosse le plan appelé Le Grand Débloquage et annoncé la semaine dernière par le chef du PQ, Jean-François Lisée. Sur le territoire, des voies rapides pour autobus sur les ponts seraient la solution privilégiée.
«On parle aussi depuis longtemps du prolongement du métro vers l’ouest à partir de Côte-Vertu. Un petit pont cyclique dans l’ouest, des offres de covoiturage, il y en a des pistes de solution. Le grand débloquage ne passe pas seulement par un train dans l’ouest.»
La santé sera également à l’agenda des partis politiques aspirant au pouvoir dans quelques mois. «L’occupation n’a pas baissé à la Cité-de-la-Santé, des infirmières font des sit-in pour dénoncer les heures supplémentaires, il y a pas mal de choses qui s’accumulent. L’accès aux soins, est-ce que ça va passer par un hôpital dans l’ouest?» se questionne l’ancienne présidente régionale de Laval.
Finalement, même si la campagne n’est pas encore lancée, Odette Lavigne a bien l’intention de se mettre au travail rapidement. «Moi personnellement, la campagne commence maintenant. Je suis investie, j’ai la légitimité, je peux aller voir les gens. J’ai envie de me faire connaître parce que je suis sensiblement nouvelle et il y a un travail [à faire] par rapport à nos membres avec le changement de candidat. Je pense qu’un membre convaincu de sa candidate va faire du bon travail de bouche-à-oreille sur le terrain.»
«Je ne m’y attendais pas! J’ai failli pleurer, c’est beaucoup d’émotion», a lancé la jeune femme de 29 ans. Après des applaudissements autant pour la candidate que Shawn Lalande Mc Lean, la native de Sainte-Dorothée, maintenant résidente de Montréal, s’est adressée aux participants réunis dans un local de la rue Principale et expliqué les différents enjeux dont elle se fera la porte-parole au cours des prochains mois.
«Je suis de la génération d’indépendantistes convaincus qui veulent concrétiser le projet de faire du Québec un pays, a d’abord souligné celle qui s’était présentée dans la circonscription de Viau, en 2014, terminant deuxième devant David Heurtel. Je travaille comme éducatrice au CPE La Giboulée, alors je voudrais voir des CPE encore plus répandus au Québec parce que c’est un endroit où on prône le mieux-être physique, moral et intellectuel des enfants. Le trafic est aussi un enjeu qui me touche. Il y a des parents qui me disent que ça leur prend une heure et demie pour faire le trajet Laval-Montréal aux heures de pointe. C’est pitoyable de voir la file d’attente qui se forme sur les routes.»
Santé et éducation
La militante du PQ depuis 2011 a également parlé de santé et d’éducation, rappelant l’importance au Parti québécois d’améliorer l’accès aux soins de santé et de favoriser le maintien à domicile ainsi que d’assurer un financement adéquat pour les études.
«Au PQ, on a des idées et vous êtes nos yeux et nos oreilles sur le terrain. Ce n’est pas ma campagne, mais notre campagne. Je suis mûre pour représenter les citoyens de Fabre et prête à prendre le flambeau», a révélé Odette Lavigne.
Un enjeu «impressionnant»
Dans une entrevue réalisée après les félicitations d’usage par les membres du PQ, Odette Lavigne est revenue sur la question de la congestion routière qui sera, selon elle, un enjeu «impressionnant» de la campagne à venir.
«Nous sommes vraiment touchés dans Fabre. Il y a beaucoup de développement immobilier et ça donne plus de personnes qui habitent certains quartiers devant prendre la 13 pour aller travailler. Tout ça brise notre budget parce qu’il y a des coûts, notamment pour l’essence.»
Mme Lavigne endosse le plan appelé Le Grand Débloquage et annoncé la semaine dernière par le chef du PQ, Jean-François Lisée. Sur le territoire, des voies rapides pour autobus sur les ponts seraient la solution privilégiée.
«On parle aussi depuis longtemps du prolongement du métro vers l’ouest à partir de Côte-Vertu. Un petit pont cyclique dans l’ouest, des offres de covoiturage, il y en a des pistes de solution. Le grand débloquage ne passe pas seulement par un train dans l’ouest.»
La santé sera également à l’agenda des partis politiques aspirant au pouvoir dans quelques mois. «L’occupation n’a pas baissé à la Cité-de-la-Santé, des infirmières font des sit-in pour dénoncer les heures supplémentaires, il y a pas mal de choses qui s’accumulent. L’accès aux soins, est-ce que ça va passer par un hôpital dans l’ouest?» se questionne l’ancienne présidente régionale de Laval.
Finalement, même si la campagne n’est pas encore lancée, Odette Lavigne a bien l’intention de se mettre au travail rapidement. «Moi personnellement, la campagne commence maintenant. Je suis investie, j’ai la légitimité, je peux aller voir les gens. J’ai envie de me faire connaître parce que je suis sensiblement nouvelle et il y a un travail [à faire] par rapport à nos membres avec le changement de candidat. Je pense qu’un membre convaincu de sa candidate va faire du bon travail de bouche-à-oreille sur le terrain.»