Déjà excédés par un sérieux problème de stationnement dû à l’achalandage du Centre culturel islamique de Laval qui a pignon au 1330, Antonio, les citoyens contestent tout changement apporté sans avoir été préalablement consultés.
Cette pétition fait suite à un avis de la Ville livré à leur porte le 8 avril, les enjoignant à porter une attention particulière aux dates, jours et heures de cette nouvelle signalisation.
En vigueur à partir du 1er octobre, celle-ci prévoit le principe d’alternance où le stationnement sur rue sera interdit les lundis, mercredis et vendredis du côté ouest et les mardis et jeudis du côté est.
Actuellement, il est permis de stationner en tout temps du côté ouest.
Les pétitionnaires font valoir les 52 cases disponibles le long de leur rue côté ouest contre seulement 29 de l’autre côté. «Ce changement n’aura pour effet que d’aggraver la situation», écrivent-ils.
En réponse à cette rebuffade, le maire Marc Demers a laissé entendre que l’administration municipale réévaluerait les modifications apportées.
À lire également: La direction du Centre islamique en mode écoute et solution
Déjà excédés par un sérieux problème de stationnement dû à l’achalandage du Centre culturel islamique de Laval qui a pignon au 1330, Antonio, les citoyens contestent tout changement apporté sans avoir été préalablement consultés.
Cette pétition fait suite à un avis de la Ville livré à leur porte le 8 avril, les enjoignant à porter une attention particulière aux dates, jours et heures de cette nouvelle signalisation.
En vigueur à partir du 1er octobre, celle-ci prévoit le principe d’alternance où le stationnement sur rue sera interdit les lundis, mercredis et vendredis du côté ouest et les mardis et jeudis du côté est.
Actuellement, il est permis de stationner en tout temps du côté ouest.
Les pétitionnaires font valoir les 52 cases disponibles le long de leur rue côté ouest contre seulement 29 de l’autre côté. «Ce changement n’aura pour effet que d’aggraver la situation», écrivent-ils.
En réponse à cette rebuffade, le maire Marc Demers a laissé entendre que l’administration municipale réévaluerait les modifications apportées.
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