Pour y parvenir, le jeune pilote de 17 ans devait terminer parmi les deux meilleurs au Championnat canadien tenu cet été à Mosport, en Ontario, dans la catégorie DD2 Rotax Max. Cantin a pris le deuxième rang derrière l’Ontarien Jeffrey Kingsley.
Absent des circuits
Fait inusité, l’athlète de Sainte-Dorothée a délaissé les courses en karting pour se concentrer sur son entraînement en lutte olympique. Il a été absent durant un an sur les différents circuits, reprenant le volant deux semaines avant le Championnat canadien. «J’ai participé à une seule course, car je n’avais pas le temps de piloter, précise-t-il avec joie. Ce sera ma première présence au Championnat du monde.»
Cet exploit lui vaut donc de représenter son pays dans le cadre d’une confrontation qui réunira les plus méritants d’une soixantaine de pays. Au total, ils seront 360 pilotes à se disputer la victoire dans les 6 classes au programme. Dans sa catégorie, une soixantaine de coureurs prendront le départ.
Un top 5
Nataël aimerait bien terminer parmi les cinq meilleurs pilotes au monde. «Je sais que ce sera féroce sur la piste. La compétition sera très relevée.»
Le vice-champion canadien comptera sur l’aide de son mécanicien Jeff Ballo et son entraîneur Dan Cooper pour espérer connaître la meilleure course de sa carrière. «Tout le monde aura le même moteur et châssis, souligne Cantin. On part tous égaux sur la ligne de départ. Je devrai donc connaître du succès en qualifications.»
Troisième au pays
Par ailleurs, le jeune lutteur a brillamment représenté le Québec en décrochant une médaille de bronze aux Jeux du Canada au mois d’août. Son entraînement en lutte olympique lui permet d’ailleurs d’être un meilleur pilote. «Ça m’aide physiquement, car la lutte est un sport intense. Ça me permet également de garder le focus, ma concentration. L’olympienne Martine Dugrenier m’a beaucoup aidé à devenir un des meilleurs lutteurs au pays», termine Nataël Cantin.
Pour y parvenir, le jeune pilote de 17 ans devait terminer parmi les deux meilleurs au Championnat canadien tenu cet été à Mosport, en Ontario, dans la catégorie DD2 Rotax Max. Cantin a pris le deuxième rang derrière l’Ontarien Jeffrey Kingsley.
Absent des circuits
Fait inusité, l’athlète de Sainte-Dorothée a délaissé les courses en karting pour se concentrer sur son entraînement en lutte olympique. Il a été absent durant un an sur les différents circuits, reprenant le volant deux semaines avant le Championnat canadien. «J’ai participé à une seule course, car je n’avais pas le temps de piloter, précise-t-il avec joie. Ce sera ma première présence au Championnat du monde.»
Cet exploit lui vaut donc de représenter son pays dans le cadre d’une confrontation qui réunira les plus méritants d’une soixantaine de pays. Au total, ils seront 360 pilotes à se disputer la victoire dans les 6 classes au programme. Dans sa catégorie, une soixantaine de coureurs prendront le départ.
Un top 5
Nataël aimerait bien terminer parmi les cinq meilleurs pilotes au monde. «Je sais que ce sera féroce sur la piste. La compétition sera très relevée.»
Le vice-champion canadien comptera sur l’aide de son mécanicien Jeff Ballo et son entraîneur Dan Cooper pour espérer connaître la meilleure course de sa carrière. «Tout le monde aura le même moteur et châssis, souligne Cantin. On part tous égaux sur la ligne de départ. Je devrai donc connaître du succès en qualifications.»
Troisième au pays
Par ailleurs, le jeune lutteur a brillamment représenté le Québec en décrochant une médaille de bronze aux Jeux du Canada au mois d’août. Son entraînement en lutte olympique lui permet d’ailleurs d’être un meilleur pilote. «Ça m’aide physiquement, car la lutte est un sport intense. Ça me permet également de garder le focus, ma concentration. L’olympienne Martine Dugrenier m’a beaucoup aidé à devenir un des meilleurs lutteurs au pays», termine Nataël Cantin.