Devant l’insatisfaction citoyenne relativement à la gestion du déneigement cet hiver, fait-il valoir dans un communiqué publié le 21 février, Michel Trottier demande non seulement au maire Marc Demers de rendre des comptes aux Lavallois, mais surtout d’abolir la hausse de taxes imposée à quelque 50 000 ménages lavallois qui, jusqu’à cette année, n’étaient pas tarifés pour la disposition de la neige.
À leur compte de taxes 2018 qu’ils recevront ces jours-ci, 47 542 propriétaires d’unités résidentielles unifamiliales et 2925 propriétaires de condos constateront une hausse respective de 1,5 % et de 1,1 % attribuable spécifiquement à la réforme fiscale liée à la neige, ces hausses s’ajoutant à celle de 1,4 % du compte de taxes moyen.
Cette réforme, rappelons-le, visait à corriger une «aberration fiscale» qui perdurait à Laval depuis 1995, justifiait-on lors du dépôt du budget en décembre dernier.
Le maire Demers en avait minimisé l’impact en rappelant que «pendant des années, ils ont eu le privilège de payer moins cher que l’ensemble des citoyens qui, eux, étaient taxés de façon que l’on considère tout à fait anormale et irrégulière».
Chef de Parti Laval, Michel Trottier termine en jugeant sévèrement les derniers budgets présentés par l’administration Demers: «Chaque année depuis déjà 4 ans, l’augmentation de taxes représente le double de l’inflation réelle, alors que les services municipaux ne s’améliorent pas.»
En fin de journée, le 22 février, le cabinet du maire déclinait notre demande d’entrevue du matin auprès de M. Demers et nous informait qu’il ne commenterait pas les propos du chef de l’opposition.
Devant l’insatisfaction citoyenne relativement à la gestion du déneigement cet hiver, fait-il valoir dans un communiqué publié le 21 février, Michel Trottier demande non seulement au maire Marc Demers de rendre des comptes aux Lavallois, mais surtout d’abolir la hausse de taxes imposée à quelque 50 000 ménages lavallois qui, jusqu’à cette année, n’étaient pas tarifés pour la disposition de la neige.
À leur compte de taxes 2018 qu’ils recevront ces jours-ci, 47 542 propriétaires d’unités résidentielles unifamiliales et 2925 propriétaires de condos constateront une hausse respective de 1,5 % et de 1,1 % attribuable spécifiquement à la réforme fiscale liée à la neige, ces hausses s’ajoutant à celle de 1,4 % du compte de taxes moyen.
Cette réforme, rappelons-le, visait à corriger une «aberration fiscale» qui perdurait à Laval depuis 1995, justifiait-on lors du dépôt du budget en décembre dernier.
Le maire Demers en avait minimisé l’impact en rappelant que «pendant des années, ils ont eu le privilège de payer moins cher que l’ensemble des citoyens qui, eux, étaient taxés de façon que l’on considère tout à fait anormale et irrégulière».
Chef de Parti Laval, Michel Trottier termine en jugeant sévèrement les derniers budgets présentés par l’administration Demers: «Chaque année depuis déjà 4 ans, l’augmentation de taxes représente le double de l’inflation réelle, alors que les services municipaux ne s’améliorent pas.»
En fin de journée, le 22 février, le cabinet du maire déclinait notre demande d’entrevue du matin auprès de M. Demers et nous informait qu’il ne commenterait pas les propos du chef de l’opposition.