Les professeurs souhaitent rappeler à M. Proulx les nombreux problèmes qui affligent au quotidien les élèves et les enseignants.
«Les enseignants ont été consultés, mais ce qu’on veut c’est que nos revendications se retrouvent dans la politique. On avait été consultés dans le projet de loi 105, mais une fois fait, on a été laissés pour compte. On nous a écoutés, mais pas entendus.»
Réussite éducative
Le ministre de l’Éducation déposera sous peu la toute première Politique de réussite éducative québécoise. Le SERL avait profité du passage du ministre dans la région, en novembre dernier, pour déposer un mémoire contenant différentes revendications à ce sujet. Le SERL souhaite que ce projet reflète les opinions et les pistes de solutions proposées par les enseignants.
«Tout ce qui a un lien avec l’élève est d’une importance capitale pour nous. Nous voulons aussi un milieu salubre», précise M. Bellemare.
L’expert c’est le prof
Dans le cadre de la Semaine de mobilisation « L’expert dans la classe, c’est le prof! » à Laval, les enseignants ont accroché cette affiche à la poignée de porte des classes.
«Il faut reconnaître l’expertise des enseignants et leur redonner la place qui leur revient dans l’école publique. Après tout, l’expert dans la classe, c’est le prof!» insiste M. Bellemare.
«Les profs espèrent que le ministre ne manquera pas une autre chance de proposer des solutions concrètes aux nombreux problèmes qui affectent les élèves et le personnel», soutient celui qui a pris une marche de six kilomètres en partant du bureau du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, jusqu’à l’Assemblée nationale.
Lab-école
Lors de cette marche à Québec, les professeurs ont aussi dénoncé le nouveau projet «Lab-école» du gouvernement Couillard.
Notons que le projet vise à développer une école du futur avec l’aide de trois personnalités publiques québécoises dont l’expertise n’est pas l’éducation.
Pierre Lavoie, fondateur du Grand défi qui porte son nom, le chef cuisinier Ricardo Larrivée et l’architecte Pierre Thibault ont obtenu un budget de 1,5 M$ pour réfléchir à l’école de demain.
«On veut être consultés, être mis au cœur des solutions. Ce fut une surprise de voir des gens qui ne sont pas issus de l’éducation penser à l’école du futur. Ce n’est rien de personnel, mais c’est nous qui avons l’expertise. C’est insultant!» termine Guy Bellemare.
Les professeurs souhaitent rappeler à M. Proulx les nombreux problèmes qui affligent au quotidien les élèves et les enseignants.
«Les enseignants ont été consultés, mais ce qu’on veut c’est que nos revendications se retrouvent dans la politique. On avait été consultés dans le projet de loi 105, mais une fois fait, on a été laissés pour compte. On nous a écoutés, mais pas entendus.»
Réussite éducative
Le ministre de l’Éducation déposera sous peu la toute première Politique de réussite éducative québécoise. Le SERL avait profité du passage du ministre dans la région, en novembre dernier, pour déposer un mémoire contenant différentes revendications à ce sujet. Le SERL souhaite que ce projet reflète les opinions et les pistes de solutions proposées par les enseignants.
«Tout ce qui a un lien avec l’élève est d’une importance capitale pour nous. Nous voulons aussi un milieu salubre», précise M. Bellemare.
L’expert c’est le prof
Dans le cadre de la Semaine de mobilisation « L’expert dans la classe, c’est le prof! » à Laval, les enseignants ont accroché cette affiche à la poignée de porte des classes.
«Il faut reconnaître l’expertise des enseignants et leur redonner la place qui leur revient dans l’école publique. Après tout, l’expert dans la classe, c’est le prof!» insiste M. Bellemare.
«Les profs espèrent que le ministre ne manquera pas une autre chance de proposer des solutions concrètes aux nombreux problèmes qui affectent les élèves et le personnel», soutient celui qui a pris une marche de six kilomètres en partant du bureau du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, jusqu’à l’Assemblée nationale.
Lab-école
Lors de cette marche à Québec, les professeurs ont aussi dénoncé le nouveau projet «Lab-école» du gouvernement Couillard.
Notons que le projet vise à développer une école du futur avec l’aide de trois personnalités publiques québécoises dont l’expertise n’est pas l’éducation.
Pierre Lavoie, fondateur du Grand défi qui porte son nom, le chef cuisinier Ricardo Larrivée et l’architecte Pierre Thibault ont obtenu un budget de 1,5 M$ pour réfléchir à l’école de demain.
«On veut être consultés, être mis au cœur des solutions. Ce fut une surprise de voir des gens qui ne sont pas issus de l’éducation penser à l’école du futur. Ce n’est rien de personnel, mais c’est nous qui avons l’expertise. C’est insultant!» termine Guy Bellemare.