Le Groupe Triforce, rue Morane, a été notamment visé parmi les neuf lieux perquisitionnés.
L’opération s’est aussi déployée à Blainville, Mirabel et Montréal. Aucune arrestation n’a été effectuée.
«Ce sont bien les contrats qui sont en cause et non Hydro-Québec qui collabore bien à l’enquête», d’affirmer Anne−Frédérick Laurence, porte-parole de l’UPAC.
Mme Laurence ajoute qu’il s’agit ici de recueillir de l’information afin de prouver des infractions et possiblement porter des accusations.
C’est la première fois que des contrats publics impliquant Hydro-Québec font l’objet d’une intervention de l’UPAC.