Directeur d’école à la retraite, M. Trottier exhorte du coup la Municipalité – maître d’œuvre du projet de relocaliciation du Musée sur le site du Cosmodôme – à accentuer sa collaboration avec les commissions scolaires de Laval de manière à leur permettre d’y offrir un programme scientifique.
«Le Québec explore actuellement différentes options pour rendre l’école conviviale, créative et innovante, souligne-t-il. Offrir des classes scientifiques à l’intérieur du Musée est une solution à explorer pour désengorger nos écoles tout en faisant rayonner la grande culture scientifique de Laval. L’innovation est à nos portes, il faut simplement pousser la réflexion plus loin.»
Les salles de classes proposées s’ajouteraient, entre autres, aux quatre laboratoires éducatifs déjà prévus pour accueillir des groupes scolaires et camps de jour.
Pour Michel Trottier, ces laboratoires d’expérimentation «visent à accueillir ponctuellement des élèves dans le cadre de journées d’ateliers scientifiques», alors que l’aménagement de classes favoriserait «une fréquentation annuelle par des cohortes d’élèves […] pour qui la science est une passion».
Le chef de l’opposition y voit une façon de «rentabiliser au maximum» les nouveaux espaces du Centre d’interprétation des biosciences tout en développant la relève scientifique, et ce, à quelques pas de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine qu’abrite Laval.
Cette sortie publique de Parti Laval s’inscrit dans la foulée de la récente annonce d’une contribution de 2,7 M$ du fédéral dans la relocalisation du Musée Armand-Frappier, prévue en 2020.
Directeur d’école à la retraite, M. Trottier exhorte du coup la Municipalité – maître d’œuvre du projet de relocaliciation du Musée sur le site du Cosmodôme – à accentuer sa collaboration avec les commissions scolaires de Laval de manière à leur permettre d’y offrir un programme scientifique.
Michel Trottier, chef de l’opposition. ©Photo – Photo TC Media – Mario Beauregard
«Le Québec explore actuellement différentes options pour rendre l’école conviviale, créative et innovante, souligne-t-il. Offrir des classes scientifiques à l’intérieur du Musée est une solution à explorer pour désengorger nos écoles tout en faisant rayonner la grande culture scientifique de Laval. L’innovation est à nos portes, il faut simplement pousser la réflexion plus loin.»
Les salles de classes proposées s’ajouteraient, entre autres, aux quatre laboratoires éducatifs déjà prévus pour accueillir des groupes scolaires et camps de jour.
Pour Michel Trottier, ces laboratoires d’expérimentation «visent à accueillir ponctuellement des élèves dans le cadre de journées d’ateliers scientifiques», alors que l’aménagement de classes favoriserait «une fréquentation annuelle par des cohortes d’élèves […] pour qui la science est une passion».
Le chef de l’opposition y voit une façon de «rentabiliser au maximum» les nouveaux espaces du Centre d’interprétation des biosciences tout en développant la relève scientifique, et ce, à quelques pas de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine qu’abrite Laval.
Cette sortie publique de Parti Laval s’inscrit dans la foulée de la récente annonce d’une contribution de 2,7 M$ du fédéral dans la relocalisation du Musée Armand-Frappier, prévue en 2020.