«Alors que l’élection de 2013 devait permettre aux Lavallois de tourner la page [sur] de difficiles années de fraudes et malversations, on apprend aujourd’hui qu’avant même d’être élu, Marc Demers s’adonnait à du financement politique illégal», déclare-t-il dans un communiqué le 23 mars.
M. Trottier «se désole pour les Lavallois qui se voient trahis, une fois encore, par leur premier magistrat».
Fonds du Souvenir
Invitant le maire à démissionner de ses fonctions, le chef de Parti Laval affirme que M. Demers n’a plus la crédibilité pour «défendre le discours d’intégrité de son parti» ni pour «réclamer quoi que ce soit [aux] entreprises collusionnaires».
Par ailleurs, M. Trottier demande au maire Demers de verser au Fonds du Souvenir – constitué des millions de dollars récupérés auprès des corrompus et collusionnaires – la somme de 18 000 $, soit la valeur du montant de son prêt au Mouvement lavallois qui excédait la limite légale.
«Je suis désolé, mais laisser un budget de 850 M$ année entre les mains d’un maire et d’une équipe qui ne se donnent pas la peine de connaître les règles de base du financement politique, c’est extrêmement dérangeant», a terminé Michel Trottier, qui déposera une plainte formelle au Bureau d’intégrité et d’éthique de Laval (BIEL).
Pas de commentaire
Du côté du cabinet du maire, on a préféré ne pas réagir à cette sortie publique de l’opposition. Par courriel en fin d’après-midi vendredi, le porte-parole du cabinet, Robert-Charles Longpré, s’est plutôt limité à reprendre les arguments du communiqué publié, la veille, par le parti du Mouvement lavallois, qui réagissait à la décision du Tribunal.
«Alors que l’élection de 2013 devait permettre aux Lavallois de tourner la page [sur] de difficiles années de fraudes et malversations, on apprend aujourd’hui qu’avant même d’être élu, Marc Demers s’adonnait à du financement politique illégal», déclare-t-il dans un communiqué le 23 mars.
M. Trottier «se désole pour les Lavallois qui se voient trahis, une fois encore, par leur premier magistrat».
Fonds du Souvenir
Invitant le maire à démissionner de ses fonctions, le chef de Parti Laval affirme que M. Demers n’a plus la crédibilité pour «défendre le discours d’intégrité de son parti» ni pour «réclamer quoi que ce soit [aux] entreprises collusionnaires».
Par ailleurs, M. Trottier demande au maire Demers de verser au Fonds du Souvenir – constitué des millions de dollars récupérés auprès des corrompus et collusionnaires – la somme de 18 000 $, soit la valeur du montant de son prêt au Mouvement lavallois qui excédait la limite légale.
«Je suis désolé, mais laisser un budget de 850 M$ année entre les mains d’un maire et d’une équipe qui ne se donnent pas la peine de connaître les règles de base du financement politique, c’est extrêmement dérangeant», a terminé Michel Trottier, qui déposera une plainte formelle au Bureau d’intégrité et d’éthique de Laval (BIEL).
Pas de commentaire
Du côté du cabinet du maire, on a préféré ne pas réagir à cette sortie publique de l’opposition. Par courriel en fin d’après-midi vendredi, le porte-parole du cabinet, Robert-Charles Longpré, s’est plutôt limité à reprendre les arguments du communiqué publié, la veille, par le parti du Mouvement lavallois, qui réagissait à la décision du Tribunal.