À l’époque des faits qui lui sont reprochés, en 2008 et 2009, M. Lavoie était responsable du service d’infrastructure pour la région métropolitaine chez CIMA+.
Durant cette période, il a contrevenu à plusieurs articles du Code de déontologie des ingénieurs, notamment ceux relatifs aux conflits d’intérêts et au manque d’intégrité.
M. Lavoie agissait sous l’égide d’Yves Théberge, alors vice-président de la firme de génie qui est d’ailleurs toujours sous le coup d’une importante sanction rendue le 20 juin 2017 par le tribunal de l’Ordre.
Dans sa plus récente décision, le Conseil de discipline condamne également M. Lavoie à payer l’ensemble des déboursés relatifs à l’instruction de la plainte, incluant les frais de publication.
Cartel
À ce jour, Michel Lavoie est le 5e ingénieur sanctionné par son Ordre professionnel en lien avec la corruption et la collusion longtemps érigées en système à Laval. Les autres étant Serge Duplessis (radiation permanente), Yves Théberge (radiation de 42 mois), Normand Bédard (18 mois et 10 000 $ d’amende) et Nicholas Théberge (8 mois et une amende de 8000 $).
Relativement à ce sombre chapitre de l’histoire de Laval, le Bureau du syndic a déposé d’autres plaintes pour lesquelles le processus disciplinaire se poursuit.
Précisons qu’à l’exception de Robert N. Cloutier, décédé avant même que ne débute l’enquête préliminaire en 2014, les 10 autres ingénieurs arrêtés en 2013 dans le cadre du projet Honorer ont tous plaidé coupables à l’une ou l’autre des accusations de complot, fraude et corruption dans les affaires municipales liées au scandale du partage des contrats publics à Vaillancourtville.
Il s’agit de Rosaire Sauriol et Serge Duplessis (Dessau), Yves Théberge, Louis Farley et Laval Gagnon (CIMA+), François Perreault et Yanick Bouchard (Genivar), Normand Bédard (Sintra), Alain Filiatrault (Filiatrault McNeil & Associés) et Guy Jobin (Equilux).
À l’époque des faits qui lui sont reprochés, en 2008 et 2009, M. Lavoie était responsable du service d’infrastructure pour la région métropolitaine chez CIMA+.
Durant cette période, il a contrevenu à plusieurs articles du Code de déontologie des ingénieurs, notamment ceux relatifs aux conflits d’intérêts et au manque d’intégrité.
M. Lavoie agissait sous l’égide d’Yves Théberge, alors vice-président de la firme de génie qui est d’ailleurs toujours sous le coup d’une importante sanction rendue le 20 juin 2017 par le tribunal de l’Ordre.
Dans sa plus récente décision, le Conseil de discipline condamne également M. Lavoie à payer l’ensemble des déboursés relatifs à l’instruction de la plainte, incluant les frais de publication.
Cartel
À ce jour, Michel Lavoie est le 5e ingénieur sanctionné par son Ordre professionnel en lien avec la corruption et la collusion longtemps érigées en système à Laval. Les autres étant Serge Duplessis (radiation permanente), Yves Théberge (radiation de 42 mois), Normand Bédard (18 mois et 10 000 $ d’amende) et Nicholas Théberge (8 mois et une amende de 8000 $).
Relativement à ce sombre chapitre de l’histoire de Laval, le Bureau du syndic a déposé d’autres plaintes pour lesquelles le processus disciplinaire se poursuit.
Précisons qu’à l’exception de Robert N. Cloutier, décédé avant même que ne débute l’enquête préliminaire en 2014, les 10 autres ingénieurs arrêtés en 2013 dans le cadre du projet Honorer ont tous plaidé coupables à l’une ou l’autre des accusations de complot, fraude et corruption dans les affaires municipales liées au scandale du partage des contrats publics à Vaillancourtville.
Il s’agit de Rosaire Sauriol et Serge Duplessis (Dessau), Yves Théberge, Louis Farley et Laval Gagnon (CIMA+), François Perreault et Yanick Bouchard (Genivar), Normand Bédard (Sintra), Alain Filiatrault (Filiatrault McNeil & Associés) et Guy Jobin (Equilux).