En tournée depuis deux mois à travers le Québec, et ce, afin de jeter les bases de la première stratégie nationale de la main-d’œuvree dont le dépôt est prévu le printemps prochain, le ministre du gouvernement libéral a pris le pouls des régions de Laval, Lanaudière et des Laurentides.
«Nous voulions voir le sentiment et les idées des conseils régionaux face au défi de la main-d’œuvre, de déclarer François Blais. Ce qui est assez fort ici, c’est l’immigration. Laval est beaucoup plus avancée que d’autres régions dans la capacité d’accueil. Il y a peu d’ambiguïté sur cette question.»
«Il sera important d’avoir une adéquation entre la formation et l’emploi dans une stratégie qui réponde autant aux besoins des travailleurs que des employeurs, de poursuivre Jasmine Martin, présidente du Conseil régional des partenaires du marché du travail de Laval. Il faut penser à tous les domaines possibles que ce soit la francisation, la sécurité et santé au travail, les technologies et autres éléments cruciaux.»
Vaste consultation
Une dizaine de ministères sont impliqués pour répondre aux enjeux de la main-d’œuvre, a précisé le ministre Blais dans son allocution, ajoutant retenir certaines initiatives ou suggestions, notamment d’ouvrir les stages à des élèves n’ayant pas terminé leur secondaire 5 pour lutter contre le décrochage ou de permettre aux nouveaux arrivants de continuer leur francisation au sein d’une entreprise, question de contrer la rareté de main d’œuvre dans certains secteurs.
En janvier, il sera encore possible de soumettre des recommandations utiles à la rédaction de cette stratégie nationale de la main-d’œuvre.
Rappelons que formé en vertu d’un décret ministériel, le Conseil régional des partenaires du marché du travail de Laval comprend une vingtaine de membres provenant des milieux syndical, patronal, de l’éducation, communautaire, ainsi que trois représentants d’instances gouvernementales.
En tournée depuis deux mois à travers le Québec, et ce, afin de jeter les bases de la première stratégie nationale de la main-d’œuvree dont le dépôt est prévu le printemps prochain, le ministre du gouvernement libéral a pris le pouls des régions de Laval, Lanaudière et des Laurentides.
«Nous voulions voir le sentiment et les idées des conseils régionaux face au défi de la main-d’œuvre, de déclarer François Blais. Ce qui est assez fort ici, c’est l’immigration. Laval est beaucoup plus avancée que d’autres régions dans la capacité d’accueil. Il y a peu d’ambiguïté sur cette question.»
«Il sera important d’avoir une adéquation entre la formation et l’emploi dans une stratégie qui réponde autant aux besoins des travailleurs que des employeurs, de poursuivre Jasmine Martin, présidente du Conseil régional des partenaires du marché du travail de Laval. Il faut penser à tous les domaines possibles que ce soit la francisation, la sécurité et santé au travail, les technologies et autres éléments cruciaux.»
Vaste consultation
Une dizaine de ministères sont impliqués pour répondre aux enjeux de la main-d’œuvre, a précisé le ministre Blais dans son allocution, ajoutant retenir certaines initiatives ou suggestions, notamment d’ouvrir les stages à des élèves n’ayant pas terminé leur secondaire 5 pour lutter contre le décrochage ou de permettre aux nouveaux arrivants de continuer leur francisation au sein d’une entreprise, question de contrer la rareté de main d’œuvre dans certains secteurs.
En janvier, il sera encore possible de soumettre des recommandations utiles à la rédaction de cette stratégie nationale de la main-d’œuvre.
Rappelons que formé en vertu d’un décret ministériel, le Conseil régional des partenaires du marché du travail de Laval comprend une vingtaine de membres provenant des milieux syndical, patronal, de l’éducation, communautaire, ainsi que trois représentants d’instances gouvernementales.