Cette conciliation entre le Parti Laval et Action Laval survient deux jours après la tenue de l’assemblée générale annuelle du Mouvement lavallois, de laquelle le chef et maire de Laval, Marc Demers, est ressorti affaibli d’un vote de confiance sous la barre des 60 %.
Le rapprochement avec la 2e opposition au conseil municipal réjouit le chef de l’opposition officielle, Michel Trottier. Ce dernier rappelle qu’au lendemain du scrutin du 5 novembre, il avait pris l’engagement «d’incarner une opposition non partisane, ouverte et constructive».
«Avec la volonté d’améliorer Laval et la qualité de vie des citoyens, il devient urgent de rallier les oppositions en une seule et unique alternative à l’Équipe Marc Demers qui s’essouffle», a indiqué le lendemain par voie de communiqué M. Trottier tout en saluant l’ouverture démontrée par M. Cifelli.
Le chef intérimaire d’Action Laval est revenu quant à lui sur la volonté exprimée en début de semaine, lors d’un point de presse marquant la relance de sa formation politique, à l’effet de s’«ouvrir aux parties prenantes de Laval, incluant les autres partis politiques».
Pas de ralliement en vue
Qualifiant les échanges avec M. Trottier et son équipe de «belles discussions» dans un communiqué publié le 30 mai, Archie Cifelli a toutefois tenu à apporter cette précision: «Action Laval est ouvert à la discussion et à la collaboration, mais le ralliement à une autre formation politique ne figure pas dans les plans».
Le successeur intérimaire de Jean-Claude Gobé ajoute: «Notre objectif de servir les citoyens du mieux [possible] est le point central de nos discussions. Nous allons continuer de collaborer là où ça compte. Tout comme les discussions et la collaboration avec les conseillers d’autres partis vont également se poursuivre. Nous avons un plan pour offrir aux citoyens l’administration qu’ils méritent en 2021».
Attaque contre Demers
Par ailleurs, le chef de l’opposition officielle s’est dit «empressé de changer les orientations, les pratiques et surtout le climat au conseil municipal imposés par Marc Demers».
Michel Trottier estime que «l’augmentation inutile des taxes, la destruction du dernier espace vierge au centre-ville, le financement politique illégal et l’effritement de ses appuis au sein de son propre parti politique ne sont que quelques exemples qui reflètent le besoin pressant de changer l’administration de la Ville et d’insuffler une direction visionnaire pour Laval».
Cette conciliation entre le Parti Laval et Action Laval survient deux jours après la tenue de l’assemblée générale annuelle du Mouvement lavallois, de laquelle le chef et maire de Laval, Marc Demers, est ressorti affaibli d’un vote de confiance sous la barre des 60 %.
Le rapprochement avec la 2e opposition au conseil municipal réjouit le chef de l’opposition officielle, Michel Trottier. Ce dernier rappelle qu’au lendemain du scrutin du 5 novembre, il avait pris l’engagement «d’incarner une opposition non partisane, ouverte et constructive».
Le chef de l’opposition officielle, Michel Trottier. ©Photo – Photo gracieuseté
«Avec la volonté d’améliorer Laval et la qualité de vie des citoyens, il devient urgent de rallier les oppositions en une seule et unique alternative à l’Équipe Marc Demers qui s’essouffle», a indiqué le lendemain par voie de communiqué M. Trottier tout en saluant l’ouverture démontrée par M. Cifelli.
Le chef intérimaire d’Action Laval est revenu quant à lui sur la volonté exprimée en début de semaine, lors d’un point de presse marquant la relance de sa formation politique, à l’effet de s’«ouvrir aux parties prenantes de Laval, incluant les autres partis politiques».
Pas de ralliement en vue
Qualifiant les échanges avec M. Trottier et son équipe de «belles discussions» dans un communiqué publié le 30 mai, Archie Cifelli a toutefois tenu à apporter cette précision: «Action Laval est ouvert à la discussion et à la collaboration, mais le ralliement à une autre formation politique ne figure pas dans les plans».
Le successeur intérimaire de Jean-Claude Gobé ajoute: «Notre objectif de servir les citoyens du mieux [possible] est le point central de nos discussions. Nous allons continuer de collaborer là où ça compte. Tout comme les discussions et la collaboration avec les conseillers d’autres partis vont également se poursuivre. Nous avons un plan pour offrir aux citoyens l’administration qu’ils méritent en 2021».
Attaque contre Demers
Par ailleurs, le chef de l’opposition officielle s’est dit «empressé de changer les orientations, les pratiques et surtout le climat au conseil municipal imposés par Marc Demers».
Michel Trottier estime que «l’augmentation inutile des taxes, la destruction du dernier espace vierge au centre-ville, le financement politique illégal et l’effritement de ses appuis au sein de son propre parti politique ne sont que quelques exemples qui reflètent le besoin pressant de changer l’administration de la Ville et d’insuffler une direction visionnaire pour Laval».