Parmi les nombreux festivaliers présents, le maire suppléant David De Cotis était particulièrement fier de voir autant de monde réuni près du parc de Lausanne dans sa portion comprise entre les rues de Marbella et de Ronchamp, alors fermées à la circulation.
Pari gagné
«Je remercie le Congrès qui a cru en l’idée», a d’abord commenté M. De Cotis qui, avec son collègue Paolo Galati, avait tenté une première approche auprès de cet organisme représentatif de la communauté italienne du Québec, à l’automne 2016.
Si au départ ils ne semblaient pas très chauds à l’idée de sortir l’événement de l’île de Montréal, les organisateurs de la 24e édition de la Semaine italienne se sont finalement rendus, en février dernier, aux arguments des deux élus lavallois d’origine italienne.
Le dimanche 6 août en après-midi, le maire Marc Demers saluait d’ailleurs leur initiative en ces mots: «Quand la population est au rendez-vous, c’est notre devoir de le faire.»
À ses yeux, ce genre de rassemblement est un élément essentiel pour célébrer l’ouverture, l’intégration et la diversité culturelle lavalloise, citant au passage les festivals libanais, arménien, grec et portugais qui se déroulent annuellement sur l’île Jésus.
Sens de la fête
Chef de l’opposition officielle et d’Action Laval, Jean-Claude Gobé était également de la fête, profitant de ce bain de foule comme tous les élus municipaux et candidats aux prochaines élections présents.
«Je reconnais leur sens de la fête», a indiqué celui qui pendant 20 ans fut député de la circonscription provinciale de LaFontaine, qui englobe l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles où la communauté italienne est fortement représentée.
Enfin, il était hors de question pour le député fédéral du comté Alfred-Pellan, Angelo Iacono, de manquer ce premier rendez-vous en sol lavallois de la Semaine italienne de Montréal, lui qui participe depuis 24 ans à ces festivités estivales.
Parmi les nombreux festivaliers présents, le maire suppléant David De Cotis était particulièrement fier de voir autant de monde réuni près du parc de Lausanne dans sa portion comprise entre les rues de Marbella et de Ronchamp, alors fermées à la circulation.
Ce four à bois érigé en bordure de rue comptait parmi les kiosques de nourriture et camions-restaurants pris d’assaut par les festivaliers, le 6 août. ©Photo – Photo TC Media – Vincent Graton
Pari gagné
«Je remercie le Congrès qui a cru en l’idée», a d’abord commenté M. De Cotis qui, avec son collègue Paolo Galati, avait tenté une première approche auprès de cet organisme représentatif de la communauté italienne du Québec, à l’automne 2016.
Si au départ ils ne semblaient pas très chauds à l’idée de sortir l’événement de l’île de Montréal, les organisateurs de la 24e édition de la Semaine italienne se sont finalement rendus, en février dernier, aux arguments des deux élus lavallois d’origine italienne.
Le dimanche 6 août en après-midi, le maire Marc Demers saluait d’ailleurs leur initiative en ces mots: «Quand la population est au rendez-vous, c’est notre devoir de le faire.»
À ses yeux, ce genre de rassemblement est un élément essentiel pour célébrer l’ouverture, l’intégration et la diversité culturelle lavalloise, citant au passage les festivals libanais, arménien, grec et portugais qui se déroulent annuellement sur l’île Jésus.
Sens de la fête
Chef de l’opposition officielle et d’Action Laval, Jean-Claude Gobé était également de la fête, profitant de ce bain de foule comme tous les élus municipaux et candidats aux prochaines élections présents.
«Je reconnais leur sens de la fête», a indiqué celui qui pendant 20 ans fut député de la circonscription provinciale de LaFontaine, qui englobe l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles où la communauté italienne est fortement représentée.
Enfin, il était hors de question pour le député fédéral du comté Alfred-Pellan, Angelo Iacono, de manquer ce premier rendez-vous en sol lavallois de la Semaine italienne de Montréal, lui qui participe depuis 24 ans à ces festivités estivales.
Parmi les kiosques les plus courus, celui du député fédéral de la circonscription d’Alfred-Pellan offrait, entres autre gratuités, de la barbe à papa à tous. ©Photo – Photo TC Media – Vincent Graton