Close Menu
Courrier LavalCourrier Laval

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    À la une

    Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

    12 Décembre 2025

    Dernière chance pour visiter 4 marchés de Noël lavallois

    12 Décembre 2025

    Le premier tronçon du TGV Québec-Toronto passera par Laval

    12 Décembre 2025
    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    • Nous joindre
    • Service aux annonceurs
    • Courrier Laval EN
    • Faire un don
    La météo à Laval
    Vendredi 12 Décembre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Courrier LavalCourrier Laval
    • Actualités
      1. Économie
      2. Politique
      3. Politique municipale
      4. Société
      5. Voir tout

      Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

      12 Décembre 2025

      Budget 2026: hausse de taxes nettement supérieure à l’inflation

      10 Décembre 2025

      Hôtel de ville : Magil Construction décroche le contrat pour 51,3 M$

      10 Décembre 2025

      Hausse de 12 % des ventes d’unifamiliales… malgré l’inabordabilité

      8 Décembre 2025

      Une 6e nomination pour la conseillère Carole St-Denis

      11 Décembre 2025

      Budget 2026: hausse de taxes nettement supérieure à l’inflation

      10 Décembre 2025

      Hôtel de ville : Magil Construction décroche le contrat pour 51,3 M$

      10 Décembre 2025

      Le chef de la police de Laval Pierre Brochet quittera en janvier

      8 Décembre 2025

      Une 6e nomination pour la conseillère Carole St-Denis

      11 Décembre 2025

      Budget 2026: hausse de taxes nettement supérieure à l’inflation

      10 Décembre 2025

      Hôtel de ville : Magil Construction décroche le contrat pour 51,3 M$

      10 Décembre 2025

      Le chef de la police de Laval Pierre Brochet quittera en janvier

      8 Décembre 2025

      Le Centre de pédiatrie sociale de Laval souhaite amasser 180 000$

      12 Décembre 2025

      Plus de 120 000 Lavallois vivent de l’insécurité alimentaire

      11 Décembre 2025

      L’Association des popotes roulantes de Laval a 30 ans

      8 Décembre 2025

      Les Alcooliques anonymes de Laval redoublent d’effort pour les Fêtes

      7 Décembre 2025

      Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

      12 Décembre 2025

      Dernière chance pour visiter 4 marchés de Noël lavallois

      12 Décembre 2025

      Le premier tronçon du TGV Québec-Toronto passera par Laval

      12 Décembre 2025

      Le spectacle Circus Opus à Laval

      12 Décembre 2025
    • Faits divers
    • Culture
    • Sports

      Melina Di Lauro à l’aventure avec Disney sur glace

      10 Décembre 2025

      Les Canadiens rappellent trois joueurs, dont Jacob Fowler

      9 Décembre 2025

      Cinq étudiants-athlètes lavallois boursiers de la Fondation Aléo

      9 Décembre 2025

      Un automne ponctué de succès pour le Club d’aviron de Laval

      8 Décembre 2025

      Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

      6 Décembre 2025
    • Édition virtuelle
      • Édition de la semaine
      • Archives
    • Inspiration
    • MAG Laval
    • Plus +
      • Jeux
      • Concours
      • Emploi
      • Points de dépôt
      • Zone Aubaines
    Courrier LavalCourrier Laval
    Home - Actualités - Les intervenants pour jeunes vulnérables font le point

    Les intervenants pour jeunes vulnérables font le point

    Benoit LeBlancPar Benoit LeBlanc20 avril 2018
    Facebook Twitter LinkedIn
    L’inspecteur Martin Lachance du Service de police de Laval et Jean Fallon, chef de l'administration du programme LSJPA et du service aux jeunes contrevenants au CISSS de Laval.
    L’inspecteur Martin Lachance du Service de police de Laval et Jean Fallon, chef de l'administration du programme LSJPA et du service aux jeunes contrevenants au CISSS de Laval. ©Photo - Photo 2M.Media - Mario Beauregard
    Partager
    Facebook Twitter LinkedIn

    Mis à jour le 20 avril 2018 à 13h34

    Appelé La collaboration au cœur des approches d’intervention lavalloises, l’événement a mis en lumière de nombreuses actions dont celles du Projet SAJ (Service aux jeunes) qui avait organisé cette rencontre.

    «Notre approche globale de lutte au phénomène de gangs de rue prend fin bientôt, de mentionner Marylou Bossé, coordonnatrice du SAJ. On souhaite bien sûr continuer, car il y a beaucoup de demandes. Nous coordonnons des activités de prévention, réhabilitation et d’intervention auprès de jeunes susceptibles d’être recrutés par un gang de rue en l’accompagnant et l’aidant à s’en sortir.»

    Depuis sa création, l’organisme a reçu près de 140 références jeunes à risques ou affiliés aux gangs criminalisés. Un fonds de soutien a permis à une vingtaine d’entre eux de retourner sur les bancs d’école ou d’en accrocher plus de 60 à des activités sociorécréatives positives.

    Une trentaine de partenaires lavallois ont pris part à cette mission notamment via plus de 400 comités cliniques servant à des suivis d’adolescents et jeunes adultes.

    «Les approches collaboratives, nous y croyons, de continuer Sandra Desmeules, membre du comité exécutif et responsable des dossiers de sécurité publique à la Ville de Laval. On s’offre une occasion d’améliorer notre façon d’intervenir à l’écoute de notre collectivité»

    Police et communautaire

    Jean Fallon, chef du service aux jeunes contrevenants du Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) de Laval, et  l’inspecteur Martin Lachance, du Service de police de Laval (SPL), ont vite démontré la valeur d’une collaboration interdisciplinaire.

    «À mes débuts, il y a 32 ans, ce que vous vivez en ce moment, ç’aurait été un événement psychédélique!» a déclaré avec humour Jean Fallon, alors que Martin Lachance prenait le relais pour illustrer concrètement l’efficacité d’un décloisonnement en intervention, parlant d’un parc redonné aux enfants et citoyens après des problèmes de trafic de stupéfiants.

    «Nous avons, entre autres, créé une table avec OASIS, unité mobile d’intervention, pour régler la situation, en collaboration avec nos policiers à vélo qui continuent d’y faire un tout pour éviter une possible détérioration», de dire l’inspecteur Lachance.

    La preuve par l’exemple

    Par la suite, un panel de discussion a donné une idée de l’étendue des collaborations plus étroites établies depuis cinq ans depuis une première conscientisation vécue en 2008 après des incidents violents liés à des gangs. À cette époque, la Police de Laval avait montré une volonté de lutter contre le phénomène par une approche plus complète que juste la répression.

    Peu à peu, on s’est alors inspiré du programme américain Gang Reduction Program. Il a été déterminé de travailler ensemble sans nuire aux jeunes, via un échange plus fréquent d’information, du suivi auprès de jeunes incarcérés, une prévention un universelle, des actions en psychoéducation et toxicomanie, dans un réajustement constant pour s’adapter aux besoins de cette clientèle fragilisée et vulnérable.

    Se sont exprimés des gens d’A-GIR, un comité en gestion des dossiers à haut risque d’homicide, de suicide ou de blessures graves qui agit aussi en matière de violence conjugale; Les Survivantes, ce groupe de policières qui offre informe et forme différents professionnels ayant affaire à des victimes d’exploitation sexuelle, en tentant de les sensibiliser aux ressources capables de les sortir de leur milieu destructeur; ainsi que le PCA (Plan de cheminement vers l’autonomie), qui s’adresse aux jeunes de 16 à 24 ans en difficulté en leur donnant les outils nécessaires au passage à la vie adulte, soit une préparation axée sur le socioprofessionnel, résidentiel et relationnel.

    «Nous avons tous réalisé que nous sommes confrontés à des réalités trop complexes et lourdes pour une seule organisation, tout en nous heurtant à l’enjeu majeur de la confidentialité, d’affirmer  Martin Périgny d’A-GIR. Nous avions besoin de comités pour briser ces silos-là afin d’interagir et donner accès à un ensemble plus complet de services profitables pour ces jeunes.»

    Appelé La collaboration au cœur des approches d’intervention lavalloises, l’événement a mis en lumière de nombreuses actions dont celles du Projet SAJ (Service aux jeunes) qui avait organisé cette rencontre.

    «Notre approche globale de lutte au phénomène de gangs de rue prend fin bientôt, de mentionner Marylou Bossé, coordonnatrice du SAJ. On souhaite bien sûr continuer, car il y a beaucoup de demandes. Nous coordonnons des activités de prévention, réhabilitation et d’intervention auprès de jeunes susceptibles d’être recrutés par un gang de rue en l’accompagnant et l’aidant à s’en sortir.»

    Depuis sa création, l’organisme a reçu près de 140 références jeunes à risques ou affiliés aux gangs criminalisés. Un fonds de soutien a permis à une vingtaine d’entre eux de retourner sur les bancs d’école ou d’en accrocher plus de 60 à des activités sociorécréatives positives.

    Une trentaine de partenaires lavallois ont pris part à cette mission notamment via plus de 400 comités cliniques servant à des suivis d’adolescents et jeunes adultes.

    «Les approches collaboratives, nous y croyons, de continuer Sandra Desmeules, membre du comité exécutif et responsable des dossiers de sécurité publique à la Ville de Laval. On s’offre une occasion d’améliorer notre façon d’intervenir à l’écoute de notre collectivité»

    Police et communautaire

    Jean Fallon, chef du service aux jeunes contrevenants du Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) de Laval, et  l’inspecteur Martin Lachance, du Service de police de Laval (SPL), ont vite démontré la valeur d’une collaboration interdisciplinaire.

    «À mes débuts, il y a 32 ans, ce que vous vivez en ce moment, ç’aurait été un événement psychédélique!» a déclaré avec humour Jean Fallon, alors que Martin Lachance prenait le relais pour illustrer concrètement l’efficacité d’un décloisonnement en intervention, parlant d’un parc redonné aux enfants et citoyens après des problèmes de trafic de stupéfiants.

    «Nous avons, entre autres, créé une table avec OASIS, unité mobile d’intervention, pour régler la situation, en collaboration avec nos policiers à vélo qui continuent d’y faire un tout pour éviter une possible détérioration», de dire l’inspecteur Lachance.

    La preuve par l’exemple

    Par la suite, un panel de discussion a donné une idée de l’étendue des collaborations plus étroites établies depuis cinq ans depuis une première conscientisation vécue en 2008 après des incidents violents liés à des gangs. À cette époque, la Police de Laval avait montré une volonté de lutter contre le phénomène par une approche plus complète que juste la répression.

    Peu à peu, on s’est alors inspiré du programme américain Gang Reduction Program. Il a été déterminé de travailler ensemble sans nuire aux jeunes, via un échange plus fréquent d’information, du suivi auprès de jeunes incarcérés, une prévention un universelle, des actions en psychoéducation et toxicomanie, dans un réajustement constant pour s’adapter aux besoins de cette clientèle fragilisée et vulnérable.

    Se sont exprimés des gens d’A-GIR, un comité en gestion des dossiers à haut risque d’homicide, de suicide ou de blessures graves qui agit aussi en matière de violence conjugale; Les Survivantes, ce groupe de policières qui offre informe et forme différents professionnels ayant affaire à des victimes d’exploitation sexuelle, en tentant de les sensibiliser aux ressources capables de les sortir de leur milieu destructeur; ainsi que le PCA (Plan de cheminement vers l’autonomie), qui s’adresse aux jeunes de 16 à 24 ans en difficulté en leur donnant les outils nécessaires au passage à la vie adulte, soit une préparation axée sur le socioprofessionnel, résidentiel et relationnel.

    «Nous avons tous réalisé que nous sommes confrontés à des réalités trop complexes et lourdes pour une seule organisation, tout en nous heurtant à l’enjeu majeur de la confidentialité, d’affirmer  Martin Périgny d’A-GIR. Nous avions besoin de comités pour briser ces silos-là afin d’interagir et donner accès à un ensemble plus complet de services profitables pour ces jeunes.»

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte
    Partager Facebook Twitter LinkedIn
    Benoit LeBlanc

    Articles Similaires

    Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

    12 Décembre 2025

    Dernière chance pour visiter 4 marchés de Noël lavallois

    12 Décembre 2025

    Le premier tronçon du TGV Québec-Toronto passera par Laval

    12 Décembre 2025
    Tour d’actualité

    Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

    Actualités 12 Décembre 2025

    La pénurie de logements se résorbe, mais la crise de l’abordabilité s’aggrave dangereusement, constate le…

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte

    Dernière chance pour visiter 4 marchés de Noël lavallois

    12 Décembre 2025

    Le premier tronçon du TGV Québec-Toronto passera par Laval

    12 Décembre 2025
    Suivez-nous
    • Facebook
    • Twitter
    • Instagram
    • YouTube
    Notre Mission
    Notre Mission

    Rejoindre l’ensemble des citoyens de Laval, et ce, par notre réseau de diffusion unique constitué de publications imprimées, de sites web, de blogues, et par une présence importante dans la communauté et dans les réseaux sociaux.

    Financé par le gouvernement du Canada

    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    Sur le vif

    Hausse des loyers de 8,3 % en un an à Laval

    12 Décembre 2025

    Dernière chance pour visiter 4 marchés de Noël lavallois

    12 Décembre 2025

    Le premier tronçon du TGV Québec-Toronto passera par Laval

    12 Décembre 2025

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    © 2025 Tous droits réservés - Création 2M MEDIA
    • Contactez-nous
    • Conditions d’utilisation et politique de confidentialité
    • Service aux annonceurs
    • Qui sommes-nous ?

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Échap pour annuler.