L’événement s’est déroulé en début soirée, hier, en présence des biologistes Louis Lazure et Anaïs Boutin, respectivement à l’emploi du Zoo de Granby et de l’organisme Éco-Nature, responsable de la gestion et de l’animation au PRMI.
«On attendait le retour du beau temps pour les relâcher», explique le coordonnateur du département de recherche et conservation au jardin zoologique de Granby.
En captivité
Capturées dans des résidences de la région du Grand Montréal au fil des six derniers mois, ces chauves-souris avaient trouvé refuge au Zoo, où elles étaient gardées en captivité.
«Elles sont notamment reconnues pour être fidèles à leur environnement, note M. Lazure, qui en avait libéré cinq autres dans les boisés Miner, à Granby, quelques jours plus tôt. La génétique d’une chauve-souris en Estrie n’est peut-être pas exactement la même que dans la région de Montréal.»
Une des premières choses que ces petites bêtes font à la sortie de l’hibernation est de chasser pour reprendre des forces, rappelle le biologiste.
En ce sens, le Parc de la Rivière-des-Mille-Îles avec ses étendues forestières et ses milieux humides se voulait un site idéal pour les retourner dans la nature, les chauves-souris se nourrissant de très grandes quantités d’insectes nuisibles.
«À la fin de la soirée, il y en avait encore quelques-unes qui volaient au-dessous de nous. Un spectacle magnifique», termine la directrice des programmes de protection et conservation chez Éco-Nature, Anaïs Boutin.
L’événement s’est déroulé en début soirée, hier, en présence des biologistes Louis Lazure et Anaïs Boutin, respectivement à l’emploi du Zoo de Granby et de l’organisme Éco-Nature, responsable de la gestion et de l’animation au PRMI.
«On attendait le retour du beau temps pour les relâcher», explique le coordonnateur du département de recherche et conservation au jardin zoologique de Granby.
En captivité
Capturées dans des résidences de la région du Grand Montréal au fil des six derniers mois, ces chauves-souris avaient trouvé refuge au Zoo, où elles étaient gardées en captivité.
«Elles sont notamment reconnues pour être fidèles à leur environnement, note M. Lazure, qui en avait libéré cinq autres dans les boisés Miner, à Granby, quelques jours plus tôt. La génétique d’une chauve-souris en Estrie n’est peut-être pas exactement la même que dans la région de Montréal.»
Une des premières choses que ces petites bêtes font à la sortie de l’hibernation est de chasser pour reprendre des forces, rappelle le biologiste.
En ce sens, le Parc de la Rivière-des-Mille-Îles avec ses étendues forestières et ses milieux humides se voulait un site idéal pour les retourner dans la nature, les chauves-souris se nourrissant de très grandes quantités d’insectes nuisibles.
«À la fin de la soirée, il y en avait encore quelques-unes qui volaient au-dessous de nous. Un spectacle magnifique», termine la directrice des programmes de protection et conservation chez Éco-Nature, Anaïs Boutin.