Lors de notre passage, un samedi du mois d’août super ensoleillé, un groupe privé de 15 personnes se restaurait après avoir surfé sur la vague artificielle de Maeva Surf, pendant que 3 jeunes âgés de 9, 12 et 14 ans affrontaient à leur tour les remous du FlowRider sous la supervision d’un instructeur.
«C’est super sécuritaire», affirme le propriétaire Jean-François Desrochers qui en veut pour preuve le fait que le flowboarding se pratique sans casque protecteur.
Le bassin de 185 mètres carrés où circulent 8 centimètres d’eau propulsée à 40 km/h est recouvert d’une toile similaire à celle d’un trampoline, permettant d’amortir les chutes.
«Ça ne fait pas mal lorsqu’on tombe», témoigne Humberto Valencia, un résident de Montréal qui en était à sa seconde visite depuis l’hiver. Si bien que cette fois, il était accompagné de ses 2 filles et d’un neveu âgés de 9, 10 et 11 ans. Tous trois ont été initiés aux différentes techniques du surf lors d’une formation théorique en salle avant d’enfiler leur maillot.
Première expérience
«Pour les enfants, c’est super. C’est beaucoup plus facile à apprendre», explique celui qui a l’habitude de se rendre à Wells, dans l’État du Maine, pour dompter les vagues.
Anabel, sa fille aînée, a préféré le bodyboard. «On peut se mettre à genoux, sur le ventre, tourner et même lancer la planche pour ensuite la récupérer.»
Idem pour Fabiola, 9 ans, et Raphaël, 10 ans. «Moi, j’ai beaucoup aimé être couché et à genoux sur la planche, mais j’ai vraiment eu peur debout, relate la plus jeune. J’ai dit à l’instructeur de ne pas me lâcher.»
Quant à son cousin, il a aussi adoré le bodyboard et «les glissades vers le haut» qui entraînent inévitablement les surfeurs lorsqu’ils perdent le contrôle de leur planche.
Habitués
Les trois autres jeunes rencontrés à la sortie du bassin n’en étaient pas à leur première visite au Maeva Surf.
Résidant à Prévost, Thomas et Maëlle Garneau, âgés de 14 et 9 ans, avaient découvert les joies du surf intérieur l’été dernier et insistaient auprès de leur mère depuis un bon moment pour y revenir. Bien que Thomas s’adonne au wakeboard durant l’été, il estime plus difficile de surfer sur une vague artificielle. Cela dit, tout comme sa sœur, il adore pratiquer le bodyboard.
Pour sa part, Izzedine Kanazoe, 12 ans, a pleinement profité de sa troisième visite.
«C’est amusant. On peut faire plein de figures», dit le jeune originaire du Burkina Faso en vacances à Laval avec ses parents, qui ont un pied-à-terre au Centropolis.
Premier centre de surf intérieur à ouvrir ses portes au Canada en 2010, Maeva Surf accueille bon an, mal an quelques dizaines de milliers de personnes dont 65 % habite dans un rayon de moins de 40 kilomètres.
Lors de notre passage, un samedi du mois d’août super ensoleillé, un groupe privé de 15 personnes se restaurait après avoir surfé sur la vague artificielle de Maeva Surf, pendant que 3 jeunes âgés de 9, 12 et 14 ans affrontaient à leur tour les remous du FlowRider sous la supervision d’un instructeur.
«C’est super sécuritaire», affirme le propriétaire Jean-François Desrochers qui en veut pour preuve le fait que le flowboarding se pratique sans casque protecteur.
Le bassin de 185 mètres carrés où circulent 8 centimètres d’eau propulsée à 40 km/h est recouvert d’une toile similaire à celle d’un trampoline, permettant d’amortir les chutes.
«Ça ne fait pas mal lorsqu’on tombe», témoigne Humberto Valencia, un résident de Montréal qui en était à sa seconde visite depuis l’hiver. Si bien que cette fois, il était accompagné de ses 2 filles et d’un neveu âgés de 9, 10 et 11 ans. Tous trois ont été initiés aux différentes techniques du surf lors d’une formation théorique en salle avant d’enfiler leur maillot.
Première expérience
«Pour les enfants, c’est super. C’est beaucoup plus facile à apprendre», explique celui qui a l’habitude de se rendre à Wells, dans l’État du Maine, pour dompter les vagues.
Anabel, sa fille aînée, a préféré le bodyboard. «On peut se mettre à genoux, sur le ventre, tourner et même lancer la planche pour ensuite la récupérer.»
Idem pour Fabiola, 9 ans, et Raphaël, 10 ans. «Moi, j’ai beaucoup aimé être couché et à genoux sur la planche, mais j’ai vraiment eu peur debout, relate la plus jeune. J’ai dit à l’instructeur de ne pas me lâcher.»
Quant à son cousin, il a aussi adoré le bodyboard et «les glissades vers le haut» qui entraînent inévitablement les surfeurs lorsqu’ils perdent le contrôle de leur planche.
Habitués
Les trois autres jeunes rencontrés à la sortie du bassin n’en étaient pas à leur première visite au Maeva Surf.
Résidant à Prévost, Thomas et Maëlle Garneau, âgés de 14 et 9 ans, avaient découvert les joies du surf intérieur l’été dernier et insistaient auprès de leur mère depuis un bon moment pour y revenir. Bien que Thomas s’adonne au wakeboard durant l’été, il estime plus difficile de surfer sur une vague artificielle. Cela dit, tout comme sa sœur, il adore pratiquer le bodyboard.
Pour sa part, Izzedine Kanazoe, 12 ans, a pleinement profité de sa troisième visite.
«C’est amusant. On peut faire plein de figures», dit le jeune originaire du Burkina Faso en vacances à Laval avec ses parents, qui ont un pied-à-terre au Centropolis.
Premier centre de surf intérieur à ouvrir ses portes au Canada en 2010, Maeva Surf accueille bon an, mal an quelques dizaines de milliers de personnes dont 65 % habite dans un rayon de moins de 40 kilomètres.