Dans le quadrilatère le plus achalandé de Laval, le conseiller municipal de Laval-des-Rapides, Pierre Anthian, craint des débordements dans les zones résidentielles.
«Les citoyens de Laval-des-Rapides ne sont pas protégés par un système de vignette fonctionnel, a-t-il déclaré. Demandez à n’importe quel étudiant, utilisateur du métro ou à un résident de Laval-des-Rapides, le quadrilatère de la Place Bell est saturé.
«Les citoyens du secteur craignent que la mauvaise prévision du stationnement de la Place Bell encourage les visiteurs à se stationner gratuitement dans les zones résidentielles et empire la problématique», d’ajouter Pierre Anthian.
Collaboration des commerces
«C’est une campagne de peur difficile à accepter, car tout a déjà été expliqué en long et en large aux gens de l’opposition, de répliquer le maire Marc Demers. Nous avons des études d’experts qui guident nos solutions en matière de stationnement.»
L’administration municipale soutient qu’il y a 12 400 cases de stationnement potentielles en vertu de la capacité d’accueil des ensembles commerciaux du Quartier Laval, Centre Laval, Galeries Laval, le Collège Montmorency, ministère des Transports du Québec et autres.
«Cela pourrait prendre la forme de gens qui achètent un billet de spectacle ou hockey avec une option de stationnement dans un des espaces commerciaux des alentours qui sont désertés en soirée, de continuer Marc Demers. Des gens d’evenko seraient chargés de coordonner la chose durant ces événements.»
Pour sa part, le conseiller municipal et candidat à la mairie Michel Trottier croit difficilement à cette solution, arguant que les stationnements commerciaux sont fortement utilisés les soirs et fins de semaine.
«Le site de la Place Bell a été mal choisi et nous devons conjuguer aujourd’hui avec une erreur de jugement, poursuit M. Trottier. Au total, les Lavallois auront payé plus de 122 millions de dollars pour bâtir la Place Bell, devront payer pour se stationner et la ville paiera pour profiter des glaces publiques. Une révision complète du développement du centre-ville et l’étude de stationnements étagés devraient être envisagées rapidement.»
«Le site était choisi à notre arrivée et il y avait déjà des procédures judiciaires d’entamées, a rappelé le maire Demers. En rajouter aurait tué ce projet qui va créer l’équivalent de 400 emplois, répondre au manque criant d’heures de glace, entre autres, pour nos équipes de compétition, en plus d’obtenir une visibilité jamais atteinte auprès des médias sportifs et culturels pour Laval. Sans oublier que des investissements de 46 M$ du gouvernement du Québec, 20 M $ de Bell et 32 M$ d’evenko avaient déjà été engagés!»
Revirement de situation?
Le Parti Laval reproche aussi à l’administration Demers de faire volte-face, après avoir mis en demeure la Ville de Laval et la Cité de la culture et des sports, en 2013, afin de cesser toute démarche visant à finaliser l’entente de gestion de la Place Bell avec Evenko.
«À l’époque, il n’y avait aucune transparence, personne ne fournissait de l’information, de rétorquer enfin M. Demers. Si les gens de l’opposition pensent que nous avantageons des intérêts privés, alors qu’on vient de recevoir un premier prix pour notre gestion autour de la gouvernance et l’éthique, qu’ils s’adressent à l’UPAC (Unité permanente anticorruption) ou le BIEL (Bureau d’intégrité et d’éthique de Laval)!»
Dans le quadrilatère le plus achalandé de Laval, le conseiller municipal de Laval-des-Rapides, Pierre Anthian, craint des débordements dans les zones résidentielles.
«Les citoyens de Laval-des-Rapides ne sont pas protégés par un système de vignette fonctionnel, a-t-il déclaré. Demandez à n’importe quel étudiant, utilisateur du métro ou à un résident de Laval-des-Rapides, le quadrilatère de la Place Bell est saturé.
«Les citoyens du secteur craignent que la mauvaise prévision du stationnement de la Place Bell encourage les visiteurs à se stationner gratuitement dans les zones résidentielles et empire la problématique», d’ajouter Pierre Anthian.
Collaboration des commerces
«C’est une campagne de peur difficile à accepter, car tout a déjà été expliqué en long et en large aux gens de l’opposition, de répliquer le maire Marc Demers. Nous avons des études d’experts qui guident nos solutions en matière de stationnement.»
L’administration municipale soutient qu’il y a 12 400 cases de stationnement potentielles en vertu de la capacité d’accueil des ensembles commerciaux du Quartier Laval, Centre Laval, Galeries Laval, le Collège Montmorency, ministère des Transports du Québec et autres.
«Cela pourrait prendre la forme de gens qui achètent un billet de spectacle ou hockey avec une option de stationnement dans un des espaces commerciaux des alentours qui sont désertés en soirée, de continuer Marc Demers. Des gens d’evenko seraient chargés de coordonner la chose durant ces événements.»
Pour sa part, le conseiller municipal et candidat à la mairie Michel Trottier croit difficilement à cette solution, arguant que les stationnements commerciaux sont fortement utilisés les soirs et fins de semaine.
«Le site de la Place Bell a été mal choisi et nous devons conjuguer aujourd’hui avec une erreur de jugement, poursuit M. Trottier. Au total, les Lavallois auront payé plus de 122 millions de dollars pour bâtir la Place Bell, devront payer pour se stationner et la ville paiera pour profiter des glaces publiques. Une révision complète du développement du centre-ville et l’étude de stationnements étagés devraient être envisagées rapidement.»
«Le site était choisi à notre arrivée et il y avait déjà des procédures judiciaires d’entamées, a rappelé le maire Demers. En rajouter aurait tué ce projet qui va créer l’équivalent de 400 emplois, répondre au manque criant d’heures de glace, entre autres, pour nos équipes de compétition, en plus d’obtenir une visibilité jamais atteinte auprès des médias sportifs et culturels pour Laval. Sans oublier que des investissements de 46 M$ du gouvernement du Québec, 20 M $ de Bell et 32 M$ d’evenko avaient déjà été engagés!»
Revirement de situation?
Le Parti Laval reproche aussi à l’administration Demers de faire volte-face, après avoir mis en demeure la Ville de Laval et la Cité de la culture et des sports, en 2013, afin de cesser toute démarche visant à finaliser l’entente de gestion de la Place Bell avec Evenko.
«À l’époque, il n’y avait aucune transparence, personne ne fournissait de l’information, de rétorquer enfin M. Demers. Si les gens de l’opposition pensent que nous avantageons des intérêts privés, alors qu’on vient de recevoir un premier prix pour notre gestion autour de la gouvernance et l’éthique, qu’ils s’adressent à l’UPAC (Unité permanente anticorruption) ou le BIEL (Bureau d’intégrité et d’éthique de Laval)!»