Bernard David entreprend une sixième année à la présidence de l’organisme sportif avec la ferme intention de conserver la stabilité et une certaine continuité.
«Au fil des ans, nous avons beaucoup fait pour les filles, la formation des entraîneurs, officiels et joueurs, insiste le directeur général de l’ARS de Laval, Jean-Philippe Mayrand. Nous poursuivons dans la même direction en 2017.»
Les nombreuses équipes provenant des six clubs évolueront au sein de quatre réseaux de compétitions différents: Ligue Élite de soccer du Québec, Ligue Laval-Laurentides-Lanaudière, Ligue Laval D1-D2 et Ligue Laval D3.
M. Mayrand a reconnu que Laval pourrait retrouver une formation au sein de la Première Ligue de soccer du Québec (semi-pro division 3) autant au niveau masculin que féminin dès l’an prochain. «On y travaille.»
LSÉQ
Un total de 15 formations jouent au sein de la LSÉQ, dont la saison a pris son envol le 15 avril. Les organisations de Chomedey, Étoiles de l’Est et Monteuil comptent sur la présence de quatre équipes, tandis que Fabrose en a trois.
Événements
De nombreuses activités retiendront l’attention au cours de la saison estivale. La Coupe de soccer internationale aura lieu les 24 et 25 juin ainsi que les 1er et 2 juillet au Complexe sportif Bois-de-Boulogne, Compétences-2000, parc Cartier et Collège Montmorency.
Le Festival récréatif est prévu les 8 et 9 juillet aux terrains de Compétences-2000 et du Complexe sportif Bois-de-Boulogne. Les finales de la Ligue Laval se tiendront les 9 et 10 septembre alors que les finales de la Ligue LLL (AA) auront lieu les 16 et 17 septembre.
Chaque année, Laval lève la main pour organiser des compétitions provinciales. La Fédération de soccer du Québec n’a pas fait appel à la région pour tenir de tels événements en 2017.
Inondations
Enfin, les inondations n’ont pas vraiment eu de répercussions sur les formations de soccer, touchant seulement deux terrains dans l’Ouest. «C’est certain que le mot d’ordre était de ne pas utiliser les terrains naturels, précise Jean-Philippe Mayrand. Par chance, nos équipes récréatives n’ont pas encore commencé à jouer.»
Bernard David entreprend une sixième année à la présidence de l’organisme sportif avec la ferme intention de conserver la stabilité et une certaine continuité.
«Au fil des ans, nous avons beaucoup fait pour les filles, la formation des entraîneurs, officiels et joueurs, insiste le directeur général de l’ARS de Laval, Jean-Philippe Mayrand. Nous poursuivons dans la même direction en 2017.»
Les nombreuses équipes provenant des six clubs évolueront au sein de quatre réseaux de compétitions différents: Ligue Élite de soccer du Québec, Ligue Laval-Laurentides-Lanaudière, Ligue Laval D1-D2 et Ligue Laval D3.
M. Mayrand a reconnu que Laval pourrait retrouver une formation au sein de la Première Ligue de soccer du Québec (semi-pro division 3) autant au niveau masculin que féminin dès l’an prochain. «On y travaille.»
LSÉQ
Un total de 15 formations jouent au sein de la LSÉQ, dont la saison a pris son envol le 15 avril. Les organisations de Chomedey, Étoiles de l’Est et Monteuil comptent sur la présence de quatre équipes, tandis que Fabrose en a trois.
Événements
De nombreuses activités retiendront l’attention au cours de la saison estivale. La Coupe de soccer internationale aura lieu les 24 et 25 juin ainsi que les 1er et 2 juillet au Complexe sportif Bois-de-Boulogne, Compétences-2000, parc Cartier et Collège Montmorency.
Le Festival récréatif est prévu les 8 et 9 juillet aux terrains de Compétences-2000 et du Complexe sportif Bois-de-Boulogne. Les finales de la Ligue Laval se tiendront les 9 et 10 septembre alors que les finales de la Ligue LLL (AA) auront lieu les 16 et 17 septembre.
Chaque année, Laval lève la main pour organiser des compétitions provinciales. La Fédération de soccer du Québec n’a pas fait appel à la région pour tenir de tels événements en 2017.
Inondations
Enfin, les inondations n’ont pas vraiment eu de répercussions sur les formations de soccer, touchant seulement deux terrains dans l’Ouest. «C’est certain que le mot d’ordre était de ne pas utiliser les terrains naturels, précise Jean-Philippe Mayrand. Par chance, nos équipes récréatives n’ont pas encore commencé à jouer.»