Voilà ce qu’a exprimé récemment le maire Marc Demers, très confiant qu’il y aura du stationnement pour tout le monde lorsque la Place Bell ouvrira ses portes à la fin du mois, à débuter par les centaines d’espaces à l’hôtel de ville et derrière le 1333, boulevard Chomedey, deux endroits reliés à l’amphithéâtre par un service de navettes.
«Les gens d’affaires et notamment evenko se sont montrés intéressés à gérer le mise en commun du stationnement», poursuit M. Demers.
Il base ses commentaires sur un modèle d’affaires qui pourrait être implanté à Laval. «On fait l’inventaire des stationnements, evenko sort son horaire de spectacles et il sait si ça va attirer 500, 800, 5000 ou éventuellement 10 000 personnes. Les billets sont mis en vente et le citoyen peut payer son stationnement. L’information est envoyée dans un logiciel avec dans lequel il y a des ententes avec différents commerçants, indiquant qu’on a besoin de tant d’espace de stationnement.»
Le propriétaire d’un commerce avoisinant, par exemple Brault et Martineau, peut ensuite montrer son intérêt à rendre disponibles des espaces sur son terrain. «C’est gagnant pour tout le monde. Le commerçant fait du profit, evenko aussi s’il se prend un ou deux dollars sur le coût du stationnement et le citoyen, sur son billet, sait déjà où il va se garer, sans avoir à chercher partout», explique Marc Demers, ajoutant que des avenues du genre étaient analysées, de même que la gestion des vignettes.
Pratiques
Le premier magistrat a souligné la tenue de «pratiques» lors des premiers événements présentés à la Place Bell. «Il arrivera sciemment que nous n’occuperons pas tout le stationnement souterrain pour pratiquer la navette», révèle-t-il.
Également, Marc Demers fait valoir l’utilisation de la ligne 360 de la Société de transport de Laval pour les déplacements dans le centre-ville. «Nous allons regarder les horaires et je le dis, nous sommes en train d’évaluer la possibilité de mettre le transport en commun gratuit dans le centre-ville sept jours sur sept. Je vais aller encore plus loin, on pourrait évaluer l’autobus sans conducteur sur ce circuit.»
En terminant, le maire a fait valoir qu’il n’y a aucune ville ailleurs au Québec qui dispose d’autant d’espaces de stationnement public. «Il s’agit d’apprendre à bien les gérer», conclut-il.
Voilà ce qu’a exprimé récemment le maire Marc Demers, très confiant qu’il y aura du stationnement pour tout le monde lorsque la Place Bell ouvrira ses portes à la fin du mois, à débuter par les centaines d’espaces à l’hôtel de ville et derrière le 1333, boulevard Chomedey, deux endroits reliés à l’amphithéâtre par un service de navettes.
«Les gens d’affaires et notamment evenko se sont montrés intéressés à gérer le mise en commun du stationnement», poursuit M. Demers.
Il base ses commentaires sur un modèle d’affaires qui pourrait être implanté à Laval. «On fait l’inventaire des stationnements, evenko sort son horaire de spectacles et il sait si ça va attirer 500, 800, 5000 ou éventuellement 10 000 personnes. Les billets sont mis en vente et le citoyen peut payer son stationnement. L’information est envoyée dans un logiciel avec dans lequel il y a des ententes avec différents commerçants, indiquant qu’on a besoin de tant d’espace de stationnement.»
Le propriétaire d’un commerce avoisinant, par exemple Brault et Martineau, peut ensuite montrer son intérêt à rendre disponibles des espaces sur son terrain. «C’est gagnant pour tout le monde. Le commerçant fait du profit, evenko aussi s’il se prend un ou deux dollars sur le coût du stationnement et le citoyen, sur son billet, sait déjà où il va se garer, sans avoir à chercher partout», explique Marc Demers, ajoutant que des avenues du genre étaient analysées, de même que la gestion des vignettes.
Pratiques
Le premier magistrat a souligné la tenue de «pratiques» lors des premiers événements présentés à la Place Bell. «Il arrivera sciemment que nous n’occuperons pas tout le stationnement souterrain pour pratiquer la navette», révèle-t-il.
Également, Marc Demers fait valoir l’utilisation de la ligne 360 de la Société de transport de Laval pour les déplacements dans le centre-ville. «Nous allons regarder les horaires et je le dis, nous sommes en train d’évaluer la possibilité de mettre le transport en commun gratuit dans le centre-ville sept jours sur sept. Je vais aller encore plus loin, on pourrait évaluer l’autobus sans conducteur sur ce circuit.»
En terminant, le maire a fait valoir qu’il n’y a aucune ville ailleurs au Québec qui dispose d’autant d’espaces de stationnement public. «Il s’agit d’apprendre à bien les gérer», conclut-il.