À la période de questions réservée aux citoyens, le candidat d’Action Laval dans Duvernay-Pont-Viau, Stéphane Bacon a jugé «pour le moins troublante» une information publiée par un hebdomadaire anglophone de la région.
«Le maire nomme une avocate collaboratrice au cabinet de Vaillancourt», a-t-il lancé en évoquant la présence de Lynda Tousignant au comité.
Marc Demers a aussitôt défendu l’intégrité de Mme Tousignant, rappelant ses nombreuses années de service à l’administration lavalloise: «Il n’est pas vrai que les 3500 employés de la Ville ont participé aux crimes de M. Vaillancourt ou sont malhonnêtes.»
Quant au reproche d’une nomination partisane, considérant que les deux ont milité au sein du Parti québécois à Laval, M. Demers a clairement laissé entendre que jamais une personne compétente côtoyée dans le passé se trouverait disqualifiée pour cette raison. À plus forte raison pour un poste non rémunéré.
Comité illégitime
À la fin du conseil, l’élu de Fabreville et chef de Parti Laval, Michel Trottier, est revenu sur le sujet, notamment pour décrier la nomination de «deux amis», l’autre étant Lugi Morabito, éditeur des mensuels Famille Laval Magazine et Laval Families Magazine.
«Ce n’est pas un comité indépendant; je trouve ça malheureux pour les trois autres qui se ramassent dans un nid de crabes involontairement. Ce comité n’est pas légitime.»
Puis, en réplique à Marc Demers qui l’a accusé de ternir injustement la réputation des gens, M. Trottier a tenu à préciser que jamais il n’avait remis en cause l’intégrité de Mme Tousignant, mais plutôt dénoncé «le manque de jugement gens qui l’ont nommée-là».
Le lendemain, par voie de communiqué, le chef de l’opposition officielle, Jean-Claude Gobé déclarait que «le maire doit agir avec discernement et utiliser son jugement, surtout lorsqu’il s’agit de collaborateurs de l’ère Vaillancourt.»
Enfin, le Parti Laval et Action Laval ont réaffirmé que les 10 M$ récupérés auprès des corrupteurs et corrompus doivent être retournés aux payeurs de taxes, reprochant du coup à l’administration Demers d’avoir créé à des fins électoralistes le Fonds Place-du-Souvenir en soutien aux jeunes défavorisés.
À la période de questions réservée aux citoyens, le candidat d’Action Laval dans Duvernay-Pont-Viau, Stéphane Bacon a jugé «pour le moins troublante» une information publiée par un hebdomadaire anglophone de la région.
«Le maire nomme une avocate collaboratrice au cabinet de Vaillancourt», a-t-il lancé en évoquant la présence de Lynda Tousignant au comité.
Marc Demers a aussitôt défendu l’intégrité de Mme Tousignant, rappelant ses nombreuses années de service à l’administration lavalloise: «Il n’est pas vrai que les 3500 employés de la Ville ont participé aux crimes de M. Vaillancourt ou sont malhonnêtes.»
Quant au reproche d’une nomination partisane, considérant que les deux ont milité au sein du Parti québécois à Laval, M. Demers a clairement laissé entendre que jamais une personne compétente côtoyée dans le passé se trouverait disqualifiée pour cette raison. À plus forte raison pour un poste non rémunéré.
Comité illégitime
À la fin du conseil, l’élu de Fabreville et chef de Parti Laval, Michel Trottier, est revenu sur le sujet, notamment pour décrier la nomination de «deux amis», l’autre étant Lugi Morabito, éditeur des mensuels Famille Laval Magazine et Laval Families Magazine.
«Ce n’est pas un comité indépendant; je trouve ça malheureux pour les trois autres qui se ramassent dans un nid de crabes involontairement. Ce comité n’est pas légitime.»
Puis, en réplique à Marc Demers qui l’a accusé de ternir injustement la réputation des gens, M. Trottier a tenu à préciser que jamais il n’avait remis en cause l’intégrité de Mme Tousignant, mais plutôt dénoncé «le manque de jugement gens qui l’ont nommée-là».
Le lendemain, par voie de communiqué, le chef de l’opposition officielle, Jean-Claude Gobé déclarait que «le maire doit agir avec discernement et utiliser son jugement, surtout lorsqu’il s’agit de collaborateurs de l’ère Vaillancourt.»
Enfin, le Parti Laval et Action Laval ont réaffirmé que les 10 M$ récupérés auprès des corrupteurs et corrompus doivent être retournés aux payeurs de taxes, reprochant du coup à l’administration Demers d’avoir créé à des fins électoralistes le Fonds Place-du-Souvenir en soutien aux jeunes défavorisés.