«Nous franchissons une nouvelle étape et il faut souligner qu’autant les trois élues que les trois représentantes de la Table de concertation lavalloise en condition féminine (TCLCF) et du Centre des femmes de Laval ont fait un travail minutieux», a déclaré par voie de communiqué, le 8 mars, le maire Marc Demers. La veille, il avait pris connaissance du rapport lors de son dépôt à la séance hebdomadaire du comité exécutif.
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Présidente de la TCLCF, Lucille Francoeur a salué «la mobilisation collective des groupes de femmes et de citoyennes» portée par son organisme, laquelle mobilisation fut le moteur de ce rigoureux exercice mené depuis juillet dernier, laisse-t-elle entendre.
De son côté, la porte-parole du Centre des femmes, Corine Vanderborght, applaudit la décision de la Ville de se doter d’une «instance consultative et participative […] réunissant élues, citoyennes et représentantes de groupes féministes afin de s’assurer que la voix de toutes soit entendue».
Entre autres responsable des dossiers de la condition féminine à la Ville et cosignataire du rapport, la conseillère municipale Virginie Dufour a expliqué que le groupe des six a «pu pousser l’analyse du dossier tout en étant conscientes que [leur] réflexion empruntait des corridors encore étonnamment peu fréquentés par les municipalités».
Le rapport sera déposé conjointement au conseil municipal du 13 mars par les élues Isabella Tassoni et Aglaia Revelakis, également membres du comité ad hoc qui fut formé à la séance du conseil de juillet 2017.
«Nous franchissons une nouvelle étape et il faut souligner qu’autant les trois élues que les trois représentantes de la Table de concertation lavalloise en condition féminine (TCLCF) et du Centre des femmes de Laval ont fait un travail minutieux», a déclaré par voie de communiqué, le 8 mars, le maire Marc Demers. La veille, il avait pris connaissance du rapport lors de son dépôt à la séance hebdomadaire du comité exécutif.
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Présidente de la TCLCF, Lucille Francoeur a salué «la mobilisation collective des groupes de femmes et de citoyennes» portée par son organisme, laquelle mobilisation fut le moteur de ce rigoureux exercice mené depuis juillet dernier, laisse-t-elle entendre.
De son côté, la porte-parole du Centre des femmes, Corine Vanderborght, applaudit la décision de la Ville de se doter d’une «instance consultative et participative […] réunissant élues, citoyennes et représentantes de groupes féministes afin de s’assurer que la voix de toutes soit entendue».
Entre autres responsable des dossiers de la condition féminine à la Ville et cosignataire du rapport, la conseillère municipale Virginie Dufour a expliqué que le groupe des six a «pu pousser l’analyse du dossier tout en étant conscientes que [leur] réflexion empruntait des corridors encore étonnamment peu fréquentés par les municipalités».
Le rapport sera déposé conjointement au conseil municipal du 13 mars par les élues Isabella Tassoni et Aglaia Revelakis, également membres du comité ad hoc qui fut formé à la séance du conseil de juillet 2017.