Le propriétaire Laurent Prémont, qui double sa superficie de plancher à 35 000 pieds carrés, a investi 8 M$ dans l’achat de l’immeuble et la reconfiguration du bâtiment sis au 3255, Jules-Brillant.
«Cet investissement est l’aboutissement d’un rêve», a déclaré l’entrepreneur à la tête du Groupe Prémont Harley-Davidson, lequel exploite deux autres points de vente à Québec et en Beauce.
En affaires depuis 1978 et concessionnaire Harley-Davidson depuis 32 ans, celui qui rêvait de «devenir un joueur majeur dans le Grand Montréal» augmentera ses effectifs de façon appréciable en sol lavallois. M. Prémont entend créer entre 10 et 15 postes en prévision de la haute saison, ce qui porterait le personnel à quelque 60 employés.
En janvier dernier, craignant pour la quiétude du voisinage, un groupe de résidents du Bergerac, ce développement domiciliaire avoisinant le nouvel emplacement du concessionnaire, avait déposé une pétition de quelque 200 signataires opposés au projet.
«On va vivre avec», a réagi le porte-parole du groupe, Émilio Migliozzi, résigné.
Du côté du concessionnaire, on a réitéré l’engagement d’entretenir des rapports de bon voisinage.
Le propriétaire Laurent Prémont, qui double sa superficie de plancher à 35 000 pieds carrés, a investi 8 M$ dans l’achat de l’immeuble et la reconfiguration du bâtiment sis au 3255, Jules-Brillant.
«Cet investissement est l’aboutissement d’un rêve», a déclaré l’entrepreneur à la tête du Groupe Prémont Harley-Davidson, lequel exploite deux autres points de vente à Québec et en Beauce.
En affaires depuis 1978 et concessionnaire Harley-Davidson depuis 32 ans, celui qui rêvait de «devenir un joueur majeur dans le Grand Montréal» augmentera ses effectifs de façon appréciable en sol lavallois. M. Prémont entend créer entre 10 et 15 postes en prévision de la haute saison, ce qui porterait le personnel à quelque 60 employés.
En janvier dernier, craignant pour la quiétude du voisinage, un groupe de résidents du Bergerac, ce développement domiciliaire avoisinant le nouvel emplacement du concessionnaire, avait déposé une pétition de quelque 200 signataires opposés au projet.
«On va vivre avec», a réagi le porte-parole du groupe, Émilio Migliozzi, résigné.
Du côté du concessionnaire, on a réitéré l’engagement d’entretenir des rapports de bon voisinage.