Cette aile de près de 10 500 mètres carrés accueillera des classes, bureaux de professeurs, laboratoires, aires communes ainsi qu’un atrium pouvant se transformer en salle polyvalente. L’environnement n’a pas été oublié pour ce bâtiment dont la construction est prévue dès l’automne, avec l’aménagement d’un toit vert.
Les programmes de Soins infirmiers, de Techniques d’orthèses et de prothèses orthopédiques et de Techniques de physiothérapie se regrouperont dans ce nouvel édifice de quatre étages. L’ajout d’espace permettra à plus d’étudiants de fréquenter le Collège Montmorency.
«Nous avons actuellement 7500 étudiants et avec cet agrandissement, nous pourrons monter jusqu’à 8200-8300, indique Yves Carignan, directeur des affaires étudiantes. La clinique jeunesse du Collège y déménagera également et on l’agrandira en collaboration avec le Centre intégré de la santé et des services sociaux de Laval. Elle ne desservira pas uniquement les élèves du Collège, mais aussi des universités et des écoles secondaires francophones et anglophones à proximité, ce qui représente 25 000 jeunes.»
La population lavalloise en tirera également des bénéfices avec des cliniques-écoles qui devraient ouvrir leurs portes peu après l’ouverture officielle prévue en janvier 2019.
Autres investissements
L’enveloppe d’investissement globale se chiffrant à 16,69 M$, (8,01 M$ du fédéral; 8,68 M$ du provincial), le Collège Montmorency profitera aussi de 1,19 M$, afin d’intégrer une clientèle autochtone et créer trois classes pédagogiques actives.
«Depuis août 2016, nous avons 16 étudiantes et étudiantes inuits, explique Yves Carignan. Ça fait partie d’une entente avec la Commission scolaire Kativik qui dit que les étudiants voulant étudier en français viennent au Collège Montmorency. Nous avons fait l’implantation l’automne dernier et on veut poursuivre ce développement, l’élargir et avec cette nouvelle construction, cela nous donnera d’autres possibilités pour ces jeunes.»
En ce qui a trait aux classes pédagogiques actives, elles viendront se greffer aux sept déjà existantes. «C’est un concept que l’on a développé avec les années et ça fait peut-être trois ans qu’on l’offre, fait valoir France Lamarche, directrice des études au Collège Montmorency. C’est une classe où l’étudiant se retrouve en activité et où le professeur n’est pas en avant, mais au centre. Les étudiants prennent place sur du mobilier qui bouge, donc on peut faire des équipes. Il y a des tableaux blanc interactifs partout dans la classe et l’étudiant peut se brancher avec son téléphone pour travailler directement sur des écrans.»
Au départ, sept professeurs participaient à ce concept, qui a demandé la collaboration de conseillers pédagogiques et informatiques. Maintenant, une cinquantaine fait partie des classes actives. «Cela veut dire que ces classes sont utilisées 52 heures par semaine», ajoute Mme Lamarche, confirmant que les 3 nouvelles seront en fonction dès la prochaine rentrée.
Soulignons que la contribution du gouvernement Trudeau au collège lavallois se fait par l’entremise du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires, qui vise à aider les campus canadiens à moderniser leurs installations de recherche, alors que l’apport des libéraux de Philippe Couillard provient du Plan québécois des infrastructures.
Cette aile de près de 10 500 mètres carrés accueillera des classes, bureaux de professeurs, laboratoires, aires communes ainsi qu’un atrium pouvant se transformer en salle polyvalente. L’environnement n’a pas été oublié pour ce bâtiment dont la construction est prévue dès l’automne, avec l’aménagement d’un toit vert.
Les programmes de Soins infirmiers, de Techniques d’orthèses et de prothèses orthopédiques et de Techniques de physiothérapie se regrouperont dans ce nouvel édifice de quatre étages. L’ajout d’espace permettra à plus d’étudiants de fréquenter le Collège Montmorency.
«Nous avons actuellement 7500 étudiants et avec cet agrandissement, nous pourrons monter jusqu’à 8200-8300, indique Yves Carignan, directeur des affaires étudiantes. La clinique jeunesse du Collège y déménagera également et on l’agrandira en collaboration avec le Centre intégré de la santé et des services sociaux de Laval. Elle ne desservira pas uniquement les élèves du Collège, mais aussi des universités et des écoles secondaires francophones et anglophones à proximité, ce qui représente 25 000 jeunes.»
La population lavalloise en tirera également des bénéfices avec des cliniques-écoles qui devraient ouvrir leurs portes peu après l’ouverture officielle prévue en janvier 2019.
Autres investissements
L’enveloppe d’investissement globale se chiffrant à 16,69 M$, (8,01 M$ du fédéral; 8,68 M$ du provincial), le Collège Montmorency profitera aussi de 1,19 M$, afin d’intégrer une clientèle autochtone et créer trois classes pédagogiques actives.
«Depuis août 2016, nous avons 16 étudiantes et étudiantes inuits, explique Yves Carignan. Ça fait partie d’une entente avec la Commission scolaire Kativik qui dit que les étudiants voulant étudier en français viennent au Collège Montmorency. Nous avons fait l’implantation l’automne dernier et on veut poursuivre ce développement, l’élargir et avec cette nouvelle construction, cela nous donnera d’autres possibilités pour ces jeunes.»
En ce qui a trait aux classes pédagogiques actives, elles viendront se greffer aux sept déjà existantes. «C’est un concept que l’on a développé avec les années et ça fait peut-être trois ans qu’on l’offre, fait valoir France Lamarche, directrice des études au Collège Montmorency. C’est une classe où l’étudiant se retrouve en activité et où le professeur n’est pas en avant, mais au centre. Les étudiants prennent place sur du mobilier qui bouge, donc on peut faire des équipes. Il y a des tableaux blanc interactifs partout dans la classe et l’étudiant peut se brancher avec son téléphone pour travailler directement sur des écrans.»
Au départ, sept professeurs participaient à ce concept, qui a demandé la collaboration de conseillers pédagogiques et informatiques. Maintenant, une cinquantaine fait partie des classes actives. «Cela veut dire que ces classes sont utilisées 52 heures par semaine», ajoute Mme Lamarche, confirmant que les 3 nouvelles seront en fonction dès la prochaine rentrée.
Soulignons que la contribution du gouvernement Trudeau au collège lavallois se fait par l’entremise du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires, qui vise à aider les campus canadiens à moderniser leurs installations de recherche, alors que l’apport des libéraux de Philippe Couillard provient du Plan québécois des infrastructures.