«C’est extrêmement courageux. Je pouvais sentir leur stress pendant tout le conseil», a-t-il déclaré.
Le chef de Parti Laval interprète leur geste comme un désaveu envers «le style de gestion» du maire, «la ligne de parti imposée» à ses élus et le fait «de toujours considérer que l’opposition, ce n’est jamais bon».
C’est d’ailleurs la principale raison qu’avaient invoquée les ex-élus démissionnaires du ML Pierre Anthian et Alain Lecompte, en 2014, puis Jean Coupal, en 2015, pour justifier leur défection.
Commentant la nouvelle dynamique qui semble s’être installée, M. Trottier s’est réjoui qu’«enfin, nous pouvons envisager le conseil municipal ouvert, collaboratif et non partisan à la hauteur de ce que les Lavallois méritent. C’est l’opportunité de cesser l’imposition d’une pensée unique et de débattre sainement dans l’intérêt des citoyens».
Nominations
Rappelons que depuis que le Mouvement lavallois a pris le pouvoir en 2013, Michel Trottier n’a cessé de dénoncer les nominations partisanes au sein des différents comités, commissions et organismes municipaux et paramunicipaux.
«L’objectif de M. De Cotis, il est noble», dit-il, précisant qu’il vise la participation de tous les élus, indépendamment de la formation politique à laquelle ils appartiennent.
Même son de cloche du côté du chef intérimaire d’Action Laval, Achille T. Cifelli, et de la conseillère dans Chomedey, Aglaia Revelakis.
Ils estiment que tout le monde va profiter d’un meilleur partage des rôles et responsabilités entre les différents élus et qu’il est souhaitable que ceux-ci aient leur mot à dire dans les nominations plutôt que de concentrer ce pouvoir entre les mains du maire et de sa garde rapprochée.
«C’est extrêmement courageux. Je pouvais sentir leur stress pendant tout le conseil», a-t-il déclaré.
Le chef de Parti Laval interprète leur geste comme un désaveu envers «le style de gestion» du maire, «la ligne de parti imposée» à ses élus et le fait «de toujours considérer que l’opposition, ce n’est jamais bon».
C’est d’ailleurs la principale raison qu’avaient invoquée les ex-élus démissionnaires du ML Pierre Anthian et Alain Lecompte, en 2014, puis Jean Coupal, en 2015, pour justifier leur défection.
Commentant la nouvelle dynamique qui semble s’être installée, M. Trottier s’est réjoui qu’«enfin, nous pouvons envisager le conseil municipal ouvert, collaboratif et non partisan à la hauteur de ce que les Lavallois méritent. C’est l’opportunité de cesser l’imposition d’une pensée unique et de débattre sainement dans l’intérêt des citoyens».
Nominations
Rappelons que depuis que le Mouvement lavallois a pris le pouvoir en 2013, Michel Trottier n’a cessé de dénoncer les nominations partisanes au sein des différents comités, commissions et organismes municipaux et paramunicipaux.
«L’objectif de M. De Cotis, il est noble», dit-il, précisant qu’il vise la participation de tous les élus, indépendamment de la formation politique à laquelle ils appartiennent.
Même son de cloche du côté du chef intérimaire d’Action Laval, Achille T. Cifelli, et de la conseillère dans Chomedey, Aglaia Revelakis.
Ils estiment que tout le monde va profiter d’un meilleur partage des rôles et responsabilités entre les différents élus et qu’il est souhaitable que ceux-ci aient leur mot à dire dans les nominations plutôt que de concentrer ce pouvoir entre les mains du maire et de sa garde rapprochée.