Cet arbre, où qu’il soit sur le territoire québécois, deviendra peut-être l’Arbre de l’année 2016.
L’objectif de ce concours singulier n’est pas de récompenser l’arbre le plus vénérable, le plus grand ou le plus rare. Les magazines souhaitent davantage faire valoir l’importance des relations entre les individus et leur environnement, en favorisant la découverte de ces arbres auxquels nous sommes profondément attachés pour diverses raisons. En d’autres mots, il s’agit de trouver l’arbre le plus aimé du Québec.
En plus d’apprécier les caractéristiques botaniques et esthétiques des candidatures soumises, le jury tiendra compte de l’histoire de l’arbre, ainsi que de son importance culturelle, affective, sociale, symbolique et historique.
Par vote électronique, le public sera ensuite invité à élire, parmi les finalistes, l’Arbre de l’année Québec 2016. L’arbre gagnant sera dévoilé à l’automne. La candidature de l’arbre doit être présentée d’ici le 31 mai. Détails et règlements sur le site www.arbredelanneequebec.com.
Venu d’Europe
Mis en place pour la première fois en République tchèque, au début des années 2000, cette initiative rejoint aujourd’hui des centaines de milliers de personnes dans le monde.
Le volet québécois est organisé par les magazines et organismes de vulgarisation scientifique francophones suivants: Agence Science-Presse, Les Amis du Jardin botanique de Montréal, Les Cercles des Jeunes Naturalistes, Curium, Les Débrouillards, Les Explorateurs, Nature sauvage, QuébecOiseaux, Québec Science, Science pour tous, l’Association pour l’enseignement de la science et de la technologie au Québec (AESTQ) et l’Association francophone pour le savoir (ACFAS). (B.L.)