«Certains étaient déjà infestés, explique la porte-parole de la Ville, Nadine Lussier, en évoquant la présence de l’agrile du frêne. Ce qui veut dire que les arbres voisins l’auraient été au printemps.»
L’information nous avait été rapportée par un lecteur, Yvan Jérôme, après qu’il eut aperçu, le 27 janvier, des émondeurs raser tous les arbres qui bordaient de part et d’autre l’allée centrale du Centropolis sur son tronçon situé au nord du boulevard Saint-Martin.
«C’est toujours triste de voir disparaître de beaux grands arbres, dit-il. Il ne reste que des troncs de 10 pouces de diamètre à environ un pied du sol.»
Replantation
Convenant qu’il s’agit d’«une grande perte pour la canopée», Mme Lussier assure que l’ingénieur forestier privilégiera «une plus grande biodiversité» au moment de reverdir l’avenue Pierre-Péladeau au printemps.
«Une variété d’espèces d’arbre et d’arbustes, voire des graminées, permettra d’éviter de dénaturer certains secteurs en cas d’infestation d’une autre espèce d’arbre», fait-elle valoir.
On sait que pour prévenir la propagation de l’agrile du frêne, l’abattage des arbres malades doit être effectué en période de dormance de l’insecte ravageur, soit entre le 1er novembre et le 30 mars.
Au moment de mettre sous presse, l’administration municipale ne pouvait chiffrer ni le nombre de frênes rasés au cours des trois derniers mois ni le nombre d’arbres appelés à disparaître au cours des deux mois à venir.
Enfin, sur le site de la Ville, on apprend que la Municipalité prévoyait procéder en 2016 et 2017 à l’abattage de 500 à 1200 frênes sur le territoire public, lequel en recensait quelque 5000 au moment de l’apparition de l’agrile en 2012.
«À certains endroits, l’impact visuel aura l’effet d’une coupe à blanc», prévient-on.
«Certains étaient déjà infestés, explique la porte-parole de la Ville, Nadine Lussier, en évoquant la présence de l’agrile du frêne. Ce qui veut dire que les arbres voisins l’auraient été au printemps.»
L’information nous avait été rapportée par un lecteur, Yvan Jérôme, après qu’il eut aperçu, le 27 janvier, des émondeurs raser tous les arbres qui bordaient de part et d’autre l’allée centrale du Centropolis sur son tronçon situé au nord du boulevard Saint-Martin.
«C’est toujours triste de voir disparaître de beaux grands arbres, dit-il. Il ne reste que des troncs de 10 pouces de diamètre à environ un pied du sol.»
Replantation
Convenant qu’il s’agit d’«une grande perte pour la canopée», Mme Lussier assure que l’ingénieur forestier privilégiera «une plus grande biodiversité» au moment de reverdir l’avenue Pierre-Péladeau au printemps.
«Une variété d’espèces d’arbre et d’arbustes, voire des graminées, permettra d’éviter de dénaturer certains secteurs en cas d’infestation d’une autre espèce d’arbre», fait-elle valoir.
On sait que pour prévenir la propagation de l’agrile du frêne, l’abattage des arbres malades doit être effectué en période de dormance de l’insecte ravageur, soit entre le 1er novembre et le 30 mars.
Au moment de mettre sous presse, l’administration municipale ne pouvait chiffrer ni le nombre de frênes rasés au cours des trois derniers mois ni le nombre d’arbres appelés à disparaître au cours des deux mois à venir.
Enfin, sur le site de la Ville, on apprend que la Municipalité prévoyait procéder en 2016 et 2017 à l’abattage de 500 à 1200 frênes sur le territoire public, lequel en recensait quelque 5000 au moment de l’apparition de l’agrile en 2012.
«À certains endroits, l’impact visuel aura l’effet d’une coupe à blanc», prévient-on.