L’auteure de cette missive, dont le Courrier Laval a obtenu copie, termine en réclamant l’engagement de chacun des 100 candidats en ces termes qui apparaissent en caractère gras: «Nous vous demandons de confirmer par un prochain courriel que vous avez l’intention de respecter le présent avis ainsi toute règle applicable en matière électorale, et ce, dans le but commun d’assurer le bon déroulement du scrutin, le dimanche 5 novembre 2017.»
On se rappellera que la présence de candidats et bénévoles à la porte de certains bureaux de vote, le 29 octobre, avait été dénoncée au bureau de la présidente d’élection. À cet égard, nous rapportions ces dernier jours ce cas qui avait nécessité l’intervention d’une avocate d’Élection Laval, dépêchée dans un bureau de votation à Laval-des-Rapides, pour régler une situation que le préposé à l’information et au maintien de l’ordre (PRIMO) jugeait inacceptable.
Sur le trottoir
«[…] soyez avisés qu’aucun candidat, bénévole, agent officiel ou représentant ne sera toléré dans l’entrée, passage, corridor ou local de l’immeuble où sont établis les bureaux de vote, ainsi que sur les terrains, incluant les stationnements des bureaux de vote, beau temps, mauvais temps», précise d’entrée de jeu Mme Sainte-Marie.
Toujours dans le dessein de permettre aux électeurs d’exercer leur droit de vote en toute quiétude, la présidente d’élection ajoute que «seuls les candidats pourront être présents sur le trottoir situé dans l’emprise de la voie publique et en façade du bureau de vote».
Pour être bien certaine de se faire comprendre, elle va même jusqu’à dicter la règle à suivre en l’absence de trottoir ou de bordure. En pareil cas, les candidats «pourront se tenir à l’intérieur d’une bande de terrain n’excédant pas 5 pieds à partir du pavage de la rue, sans être sur le terrain du bureau de vote».
À l’intérieur des bureaux de vote
Dans la même foulée, Mme Sainte-Marie énumère les trois seules situations où la présence d’un candidat sera autorisée dans un bureau de vote, la première étant évidemment pour exercer son droit de vote.
Un candidat pourra «saluer une seule fois dans la journée le personnel électoral aux tables de votation dans la mesure où aucun électeur ne s’y trouve», précise-t-elle.
Enfin, si un candidat exerce le rôle de représentant, il lui sera permis de s’assoir à une table de votation «sans toutefois dicter la conduite aux scrutateurs et secrétaires» d’élection ni «en aucun temps s’adresser aux électeurs».
Surveillance policière
Par ailleurs, Mme Sainte-Marie invite les candidats à prendre note «que le Service de police procédera à une surveillance particulière des salles de votation» et que «les policiers seront en alerte et répondront d’urgence à toute demande provenant du bureau de la présidente d’élection».
Dimanche dernier, un organisateur politique d’un candidat au poste de conseiller dans Val-des-Arbres aurait été expulsé par la police d’un bureau de votation après avoir intimidé le PRIMO, une information qui n’a toutefois jamais été confirmée par le Service de police de Laval.
L’auteure de cette missive, dont le Courrier Laval a obtenu copie, termine en réclamant l’engagement de chacun des 100 candidats en ces termes qui apparaissent en caractère gras: «Nous vous demandons de confirmer par un prochain courriel que vous avez l’intention de respecter le présent avis ainsi toute règle applicable en matière électorale, et ce, dans le but commun d’assurer le bon déroulement du scrutin, le dimanche 5 novembre 2017.»
On se rappellera que la présence de candidats et bénévoles à la porte de certains bureaux de vote, le 29 octobre, avait été dénoncée au bureau de la présidente d’élection. À cet égard, nous rapportions ces dernier jours ce cas qui avait nécessité l’intervention d’une avocate d’Élection Laval, dépêchée dans un bureau de votation à Laval-des-Rapides, pour régler une situation que le préposé à l’information et au maintien de l’ordre (PRIMO) jugeait inacceptable.
Sur le trottoir
«[…] soyez avisés qu’aucun candidat, bénévole, agent officiel ou représentant ne sera toléré dans l’entrée, passage, corridor ou local de l’immeuble où sont établis les bureaux de vote, ainsi que sur les terrains, incluant les stationnements des bureaux de vote, beau temps, mauvais temps», précise d’entrée de jeu Mme Sainte-Marie.
Toujours dans le dessein de permettre aux électeurs d’exercer leur droit de vote en toute quiétude, la présidente d’élection ajoute que «seuls les candidats pourront être présents sur le trottoir situé dans l’emprise de la voie publique et en façade du bureau de vote».
Pour être bien certaine de se faire comprendre, elle va même jusqu’à dicter la règle à suivre en l’absence de trottoir ou de bordure. En pareil cas, les candidats «pourront se tenir à l’intérieur d’une bande de terrain n’excédant pas 5 pieds à partir du pavage de la rue, sans être sur le terrain du bureau de vote».
À l’intérieur des bureaux de vote
Dans la même foulée, Mme Sainte-Marie énumère les trois seules situations où la présence d’un candidat sera autorisée dans un bureau de vote, la première étant évidemment pour exercer son droit de vote.
Un candidat pourra «saluer une seule fois dans la journée le personnel électoral aux tables de votation dans la mesure où aucun électeur ne s’y trouve», précise-t-elle.
Enfin, si un candidat exerce le rôle de représentant, il lui sera permis de s’assoir à une table de votation «sans toutefois dicter la conduite aux scrutateurs et secrétaires» d’élection ni «en aucun temps s’adresser aux électeurs».
Surveillance policière
Par ailleurs, Mme Sainte-Marie invite les candidats à prendre note «que le Service de police procédera à une surveillance particulière des salles de votation» et que «les policiers seront en alerte et répondront d’urgence à toute demande provenant du bureau de la présidente d’élection».
Dimanche dernier, un organisateur politique d’un candidat au poste de conseiller dans Val-des-Arbres aurait été expulsé par la police d’un bureau de votation après avoir intimidé le PRIMO, une information qui n’a toutefois jamais été confirmée par le Service de police de Laval.