:«J’étais sur la scène en compagnie des invités d’honneur, a-t-elle souligné lors d’un bref entretien téléphonique, mercredi matin. Les affrontements étaient à l’extérieur des chapiteaux, pas à l’intérieur. Ça n’avait rien à voir avec les Fêtes. J’en ai entendu parler lorsqu’on m’a appelée parce qu’un artiste ne pouvait pas faire entrer son matériel.»
Fatima Maarouf a également mentionné que les activités du dimanche, au lendemain des incidents, s’étaient déroulées sans anicroche. «Ç’a été une belle journée de réussite et ça nous a fait oublier le samedi.»
Les tristes événements du 12 août ont défrayé la manchette et les premiers propos de la présidente rapportés par un média montréalais laissaient croire que des jeunes d’origines algérienne et marocaine étaient à les auteurs du grabuge. Elle aurait également déploré la présence de ces mêmes adolescents à une fête marocaine tenue au parc Jarry en juillet.
Le 13 août, elle a tenu à réfuter ces dires à Radio-Canada, précisant qu’elle n’avait jamais mentionné une bagarre entre ces jeunes. Comme au Courrier Laval, elle a indiqué qu’elle n’avait pas été témoin des faits.
Réaction de la police
Par ailleurs, la Police de Laval a tenu à commenter des propos publiés sur un blog, La Voix du Maghreb, dans lequel on rapporte que les incidents mettaient en cause des Québécois de différentes origines et que les forces de l’ordre n’avaient pas su gérer la situation correctement, selon Najahi Rachid, directeur général de Atlas medias, présent sur les lieux. Atlas medias est un journal de la diaspora marocaine à Montréal.
La lieutenante Geneviève Villemure a invité les gens à faire preuve de prudence en ce qui concerne les affirmations qui circulent sur la Toile. Elle confirme qu’entre 150 et 200 jeunes sont tous arrivés en même temps aux Fêtes marocaines et que la bagarre a éclaté. Une cinquantaine de policiers sont alors intervenus. «Ils ont été encerclés et des roches leur ont été lancées», a écrit la porte-parole des Affaires publiques.
Dans l’échauffourée, 2 personnes ont été légèrement blessées, dont un policier, et un jeune de 15 ans a été arrêté.
:«J’étais sur la scène en compagnie des invités d’honneur, a-t-elle souligné lors d’un bref entretien téléphonique, mercredi matin. Les affrontements étaient à l’extérieur des chapiteaux, pas à l’intérieur. Ça n’avait rien à voir avec les Fêtes. J’en ai entendu parler lorsqu’on m’a appelée parce qu’un artiste ne pouvait pas faire entrer son matériel.»
Fatima Maarouf a également mentionné que les activités du dimanche, au lendemain des incidents, s’étaient déroulées sans anicroche. «Ç’a été une belle journée de réussite et ça nous a fait oublier le samedi.»
Les tristes événements du 12 août ont défrayé la manchette et les premiers propos de la présidente rapportés par un média montréalais laissaient croire que des jeunes d’origines algérienne et marocaine étaient à les auteurs du grabuge. Elle aurait également déploré la présence de ces mêmes adolescents à une fête marocaine tenue au parc Jarry en juillet.
Le 13 août, elle a tenu à réfuter ces dires à Radio-Canada, précisant qu’elle n’avait jamais mentionné une bagarre entre ces jeunes. Comme au Courrier Laval, elle a indiqué qu’elle n’avait pas été témoin des faits.
Réaction de la police
Par ailleurs, la Police de Laval a tenu à commenter des propos publiés sur un blog, La Voix du Maghreb, dans lequel on rapporte que les incidents mettaient en cause des Québécois de différentes origines et que les forces de l’ordre n’avaient pas su gérer la situation correctement, selon Najahi Rachid, directeur général de Atlas medias, présent sur les lieux. Atlas medias est un journal de la diaspora marocaine à Montréal.
La lieutenante Geneviève Villemure a invité les gens à faire preuve de prudence en ce qui concerne les affirmations qui circulent sur la Toile. Elle confirme qu’entre 150 et 200 jeunes sont tous arrivés en même temps aux Fêtes marocaines et que la bagarre a éclaté. Une cinquantaine de policiers sont alors intervenus. «Ils ont été encerclés et des roches leur ont été lancées», a écrit la porte-parole des Affaires publiques.
Dans l’échauffourée, 2 personnes ont été légèrement blessées, dont un policier, et un jeune de 15 ans a été arrêté.