Dirigée par l’ancien président de Microsoft Canada, Frank Clegg, la coalition canadienne qui sensibilise la communauté au danger des radiations émises par les technologies souhaitait une représentation québécoise. «Ils voulaient aussi pouvoir rejoindre les francophones en dehors du Québec», explique Mme Lajoie.
Lutter différement
Cette transition s’est faite naturellement pour Francine Lajoie puisque depuis la création de Laval Refuse, en mars 2012, le contexte a évolué.
«Maintenant que le déploiement des compteurs a été fait, il faut lutter différemment», croit celle qui souhaite sensibiliser la population à la surexposition aux sources des radiofréquences de toutes sortes. «Mais on va continuer à suivre le dossier [des compteurs émetteurs] car dans certaines provinces comme dans les Maritimes, c’est encore à l’étude.»
Même si Laval Refuse n’existe plus, la page Comment refuser du site demeurera fonctionnelle pour un certain temps.