Les deux hommes ont été «un peu surpris» d’apprendre les doléances exprimées par des voisins au dernier conseil municipal.
«On est là depuis plus de 15 ans et on n’a jamais eu de plaintes directes pour un problème aussi aigu», disent-ils en évoquant l’achalandage que génère la présence de la mosquée sur cette rue résidentielle, tel que dénoncé par une demi-douzaine de citoyens excédés.
Problème ponctuel
S’il reconnaît que le centre est plus fréquenté aujourd’hui qu’il ne l’était à son ouverture en 2001, M. Sekkat soutient que le problème demeure très ponctuel.
«À part le vendredi, le stationnement du 1330 est largement suffisant pour les cinq prières quotidiennes», affirme-t-il.
En cette dernière journée de la semaine, les musulmans se réunissent sur le coup de 13h pour célébrer une prière en congrégation. Ils sont alors autour de 200 fidèles à converger vers la mosquée, ce qui a forcé les dirigeants à désigner des bénévoles pour contrôler le stationnement sur rue.
«C’est tolérance zéro, poursuit Rafik Sekkat en parlant des empiètements devant les entrées charretières des résidences de la rue Antonio. Ce n’est pas acceptable ni tolérable.»
Si bien que de leur propre initiative, les dirigeants du centre n’hésitent pas à faire remorquer le véhicule de contrevenants, font-ils valoir.
Solutions
«Le vendredi, on encourage nos gens à venir à pied, en vélo et à stationner dans les rues attenantes pour minimiser l’impact et on est prêts à faire encore plus pour qu’il y est une bonne symbiose entre le centre et le voisinage», insiste le porte-parole.
Parmi les options envisagées figure une possible acquisition d’un terrain attenant à la cour arrière du 1330, rue Antonio. Le commerce qui a pignon sur le boulevard Curé-Labelle est actuellement à vendre, précise-t-il.
«Il y a des solutions à tout. Il suffit de s’asseoir autour d’une table et de discuter.»
À cet égard, la direction du Centre culturel islamique de Laval entend ouvrir le dialogue avec ses voisins qu’elle invitera prochainement à une rencontre amicale.
Présentement en chantier, le nouveau bâtiment construit au coût de 2,5 M$ devrait être inauguré en novembre prochain.
À lire également: Nouvelle signalisation massivement rejetée
Les deux hommes ont été «un peu surpris» d’apprendre les doléances exprimées par des voisins au dernier conseil municipal.
«On est là depuis plus de 15 ans et on n’a jamais eu de plaintes directes pour un problème aussi aigu», disent-ils en évoquant l’achalandage que génère la présence de la mosquée sur cette rue résidentielle, tel que dénoncé par une demi-douzaine de citoyens excédés.
Problème ponctuel
S’il reconnaît que le centre est plus fréquenté aujourd’hui qu’il ne l’était à son ouverture en 2001, M. Sekkat soutient que le problème demeure très ponctuel.
«À part le vendredi, le stationnement du 1330 est largement suffisant pour les cinq prières quotidiennes», affirme-t-il.
En cette dernière journée de la semaine, les musulmans se réunissent sur le coup de 13h pour célébrer une prière en congrégation. Ils sont alors autour de 200 fidèles à converger vers la mosquée, ce qui a forcé les dirigeants à désigner des bénévoles pour contrôler le stationnement sur rue.
«C’est tolérance zéro, poursuit Rafik Sekkat en parlant des empiètements devant les entrées charretières des résidences de la rue Antonio. Ce n’est pas acceptable ni tolérable.»
Si bien que de leur propre initiative, les dirigeants du centre n’hésitent pas à faire remorquer le véhicule de contrevenants, font-ils valoir.
Solutions
«Le vendredi, on encourage nos gens à venir à pied, en vélo et à stationner dans les rues attenantes pour minimiser l’impact et on est prêts à faire encore plus pour qu’il y est une bonne symbiose entre le centre et le voisinage», insiste le porte-parole.
Parmi les options envisagées figure une possible acquisition d’un terrain attenant à la cour arrière du 1330, rue Antonio. Le commerce qui a pignon sur le boulevard Curé-Labelle est actuellement à vendre, précise-t-il.
«Il y a des solutions à tout. Il suffit de s’asseoir autour d’une table et de discuter.»
À cet égard, la direction du Centre culturel islamique de Laval entend ouvrir le dialogue avec ses voisins qu’elle invitera prochainement à une rencontre amicale.
Présentement en chantier, le nouveau bâtiment construit au coût de 2,5 M$ devrait être inauguré en novembre prochain.
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