Cette bonification, qui portera à 84 000 le nombre de logements desservis, s’inscrit dans le cadre d’un plan visant à couvrir dès 2020 les 130 000 bâtiments de 7 logements et moins sur le territoire lavallois.
À terme, cette pleine couverture permettra de détourner annuellement des sites d’enfouissement plus de 40 000 tonnes de matière organique, soit l’équivalent de 4000 camions à ordures chaque année.
Coup de barre
«Un ajout de 46 000 portes, c’est plus du double que l’an dernier», a souligné le maire Marc Demers lors du dévoilement du budget, le 11 décembre.
De fait, la Ville avait en 2016 livré 20 000 bacs bruns aux citoyens lavallois, soit le double de l’année précédente alors que la première phase de ce vaste plan d’élargissement avait profité à 10 000 nouveaux ménages.
Depuis 2015, l’administration Demers met les bouchées doubles afin de combler un retard qui a longtemps valu à Laval le titre de dernier de classe parmi les cinq grandes villes du Québec en matière de gestion des matières putrescides.
Rappelons qu’après avoir été en 1996 la première Municipalité à implanter au Québec une collecte à 3 voies, la Ville de Laval s’était sérieusement endormie sur ses lauriers, elle qui avait obtenu le prix Phoenix environnemental pour ce projet-pilote ciblant 4000 résidences du quartier Champfleury.
À preuve, l’administration de l’époque aura mis 18 années bien comptées pour doubler à 8000 le nombre de portes desservies.
Cette bonification, qui portera à 84 000 le nombre de logements desservis, s’inscrit dans le cadre d’un plan visant à couvrir dès 2020 les 130 000 bâtiments de 7 logements et moins sur le territoire lavallois.
À terme, cette pleine couverture permettra de détourner annuellement des sites d’enfouissement plus de 40 000 tonnes de matière organique, soit l’équivalent de 4000 camions à ordures chaque année.
Coup de barre
«Un ajout de 46 000 portes, c’est plus du double que l’an dernier», a souligné le maire Marc Demers lors du dévoilement du budget, le 11 décembre.
De fait, la Ville avait en 2016 livré 20 000 bacs bruns aux citoyens lavallois, soit le double de l’année précédente alors que la première phase de ce vaste plan d’élargissement avait profité à 10 000 nouveaux ménages.
Depuis 2015, l’administration Demers met les bouchées doubles afin de combler un retard qui a longtemps valu à Laval le titre de dernier de classe parmi les cinq grandes villes du Québec en matière de gestion des matières putrescides.
Rappelons qu’après avoir été en 1996 la première Municipalité à implanter au Québec une collecte à 3 voies, la Ville de Laval s’était sérieusement endormie sur ses lauriers, elle qui avait obtenu le prix Phoenix environnemental pour ce projet-pilote ciblant 4000 résidences du quartier Champfleury.
À preuve, l’administration de l’époque aura mis 18 années bien comptées pour doubler à 8000 le nombre de portes desservies.