Étrangement, quelques minutes plus tôt, une touriste venue de Québec, croisée dans le hall d’entrée de l’édifice, avait utilisé exactement la même formule pour décrire la sensation éprouvée dans le simulateur de chute libre du Centropolis.
Âgée dans la jeune trentaine, elle s’était sentie, au départ, un brin intimidée par la présence des gens sur le pont d’observation. «Mais une fois à l’intérieur [de la chambre d’envol], tu n’y penses plus», a expliqué celle qui, accompagnée d’une amie, entamait tout juste ses vacances.
Quant au jeune Kieran, également à sa première expérience, il avait fait le trajet Beloeil-Laval avec sa mère, qui improvisait cette sortie le matin même.
«Au début, j’étais assez stressé, mais ça s’est passé dès la première envolée», explique l’ado dont le forfait donnait droit à quatre envolées d’une minute chacune.
Soixante secondes, c’est ce qui correspond à la portion chute libre que vivent les parachutistes entre 13 500 et 3500 pieds d’altitude.
Vol en tandem
En plus de goûter aux sensations de la chute libre à une vitesse avoisinant les 200 km à l’heure, tous les participants observés lors de notre passage ont expérimenté le vol en tandem jusqu’au sommet du tunnel, qui se déploie sur une hauteur de 45 pieds.
Mais pour être plus juste, disons que cette option consiste en une série de spectaculaires ascensions de 13 mètres sous escorte.
«Ça ajoute à l’expérience, note l’instructeur Fred Livernois. C’est la partie la plus facile, puisque c’est nous qui contrôlons [les montées et descentes]. Les clients n’ont qu’à se laisser aller et profiter de l’activité.»
Dans le groupe de Kieran, il y avait, entre autres, Anastasia Bilous et Luis Perez, deux amis originaires de l’Ukraine et du Venezuela qui habitent aujourd’hui à Montréal.
«Je voulais crier, mais je n’y arrivais pas», a commenté Anastasia encore soufflée par cette intense poussée d’adrénaline.
Avant de quitter, elle a fait l’achat d’un certificat-cadeau valide pour quatre envolées pour souligner l’anniversaire d’une amie.
«C’était vraiment excitant; j’ai beaucoup aimé la sensation», a renchéri Luis qui promet de s’offrir pour ses 40 ans, l’an prochain, un saut en parachute.
Haute voltige
Après que le dernier participant du groupe eut réintégré l’antichambre, l’instructeur Fred Livernois s’est livré à une séance de Bodyflight de très haute voltige, léchant littéralement de son corps les parois du tunnel de 14 pieds de diamètre.
Celui qu’on pouvait aisément confondre avec l’homme-araignée participera d’ailleurs aux Championnats du monde de chute libre intérieure que Laval accueillera du 19 au 22 octobre.
Étrangement, quelques minutes plus tôt, une touriste venue de Québec, croisée dans le hall d’entrée de l’édifice, avait utilisé exactement la même formule pour décrire la sensation éprouvée dans le simulateur de chute libre du Centropolis.
Âgée dans la jeune trentaine, elle s’était sentie, au départ, un brin intimidée par la présence des gens sur le pont d’observation. «Mais une fois à l’intérieur [de la chambre d’envol], tu n’y penses plus», a expliqué celle qui, accompagnée d’une amie, entamait tout juste ses vacances.
Quant au jeune Kieran, également à sa première expérience, il avait fait le trajet Beloeil-Laval avec sa mère, qui improvisait cette sortie le matin même.
«Au début, j’étais assez stressé, mais ça s’est passé dès la première envolée», explique l’ado dont le forfait donnait droit à quatre envolées d’une minute chacune.
Soixante secondes, c’est ce qui correspond à la portion chute libre que vivent les parachutistes entre 13 500 et 3500 pieds d’altitude.
Vol en tandem
En plus de goûter aux sensations de la chute libre à une vitesse avoisinant les 200 km à l’heure, tous les participants observés lors de notre passage ont expérimenté le vol en tandem jusqu’au sommet du tunnel, qui se déploie sur une hauteur de 45 pieds.
Mais pour être plus juste, disons que cette option consiste en une série de spectaculaires ascensions de 13 mètres sous escorte.
«Ça ajoute à l’expérience, note l’instructeur Fred Livernois. C’est la partie la plus facile, puisque c’est nous qui contrôlons [les montées et descentes]. Les clients n’ont qu’à se laisser aller et profiter de l’activité.»
Dans le groupe de Kieran, il y avait, entre autres, Anastasia Bilous et Luis Perez, deux amis originaires de l’Ukraine et du Venezuela qui habitent aujourd’hui à Montréal.
«Je voulais crier, mais je n’y arrivais pas», a commenté Anastasia encore soufflée par cette intense poussée d’adrénaline.
Avant de quitter, elle a fait l’achat d’un certificat-cadeau valide pour quatre envolées pour souligner l’anniversaire d’une amie.
«C’était vraiment excitant; j’ai beaucoup aimé la sensation», a renchéri Luis qui promet de s’offrir pour ses 40 ans, l’an prochain, un saut en parachute.
Haute voltige
Après que le dernier participant du groupe eut réintégré l’antichambre, l’instructeur Fred Livernois s’est livré à une séance de Bodyflight de très haute voltige, léchant littéralement de son corps les parois du tunnel de 14 pieds de diamètre.
Celui qu’on pouvait aisément confondre avec l’homme-araignée participera d’ailleurs aux Championnats du monde de chute libre intérieure que Laval accueillera du 19 au 22 octobre.